Dans la nuit du 9 au 10 Septembre 2024, une transplantation hépatique réalisée en urgence a permis de traiter une hépatite fulminante chez une jeune femme de 19 ans avec une défaillance hépatique aiguë au stade de coma à partir du don de l’hémi-foie gauche de son père de 53 ans, a indiqué le CHU Ibn Sina dans un communiqué.
Il s’agit d’une première au Maroc, précise la même source, soulignant que moins de 36 heures plus tard, une deuxième transplantation hépatique a pu être réalisée en faveur d’une patiente de 65 ans atteinte d’une cirrhose décompensée grâce au don de l’hémi-foie droit de sa fille de 33 ans.
La préparation, la coordination, la conduite et la gestion pré et postopératoire de ces quatre interventions complexes (2 donneurs et 2 receveurs) a permis de clore avec succès un programme innovant de transfert d’expertise multidisciplinaire médicale, chirurgicale et infirmière (hépatologie, réanimation, anesthésie, chirurgie, radiologie et anatomopathologie) dans le domaine de la transplantation à partir du donneur vivant démarré en 2019 à l’Institut national d’oncologie (CHU Ibn Sina), selon la même source.
Le recours au don vivant apparenté permet d’offrir, dans des cas très sélectionnés (compatibilité biologique, compatibilité anatomique et validation médico-juridique), une alternative au don à partir de l’état de mort encéphalique pour les patients marocains inscrits en liste d’attente de transplantation hépatique, précise-t-on.
Il s’agit d’une première au Maroc, précise la même source, soulignant que moins de 36 heures plus tard, une deuxième transplantation hépatique a pu être réalisée en faveur d’une patiente de 65 ans atteinte d’une cirrhose décompensée grâce au don de l’hémi-foie droit de sa fille de 33 ans.
La préparation, la coordination, la conduite et la gestion pré et postopératoire de ces quatre interventions complexes (2 donneurs et 2 receveurs) a permis de clore avec succès un programme innovant de transfert d’expertise multidisciplinaire médicale, chirurgicale et infirmière (hépatologie, réanimation, anesthésie, chirurgie, radiologie et anatomopathologie) dans le domaine de la transplantation à partir du donneur vivant démarré en 2019 à l’Institut national d’oncologie (CHU Ibn Sina), selon la même source.
Le recours au don vivant apparenté permet d’offrir, dans des cas très sélectionnés (compatibilité biologique, compatibilité anatomique et validation médico-juridique), une alternative au don à partir de l’état de mort encéphalique pour les patients marocains inscrits en liste d’attente de transplantation hépatique, précise-t-on.