«Des clics au progrès : les parcours numériques des jeunes pour le développement durable» est le thème de la Journée internationale de la jeunesse 2024, célébrée le 12 août. Ce thème met l’accent sur le rôle du numérique dans la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030. Selon le document de synthèse des Nations unies au sujet de la Journée internationale de la jeunesse, la transformation numérique rapide en cours à l’échelle mondiale a été reconnue par le Groupe des Nations unies pour le développement durable (UNSDG) comme l’une des six transitions qui ont des effets catalyseurs et multiplicateurs sur l’ensemble des ODD. L’ONU appelle ainsi à aider les individus à faire face aux transitions technologiques, parallèlement aux changements démographiques et climatiques.
«La numérisation transforme notre monde et offre des possibilités sans précédent d’accélérer le développement durable. Les technologies numériques telles que les appareils et services mobiles et l’intelligence artificielle contribuent à faire progresser les objectifs de développement durable. Avec des répercussions profondes sur les dimensions économiques, sociales et environnementales, les technologies et les technologies numériques profitent directement à 70% des cibles des ODD tout en réduisant potentiellement le coût de la réalisation de ces objectifs jusqu’à 55.000 milliards de dollars», indique l’ONU. Et d’ajouter qu’«avec trois quarts des personnes âgées de 15 à 24 ans connectées en 2022, les jeunes mènent la charge en matière d’adoption et d’innovation numériques. Toutefois, des disparités persistent, en particulier dans les pays à faible revenu et parmi les jeunes femmes, qui ont souvent moins accès à Internet et aux compétences numériques que leurs homologues masculins. À l’approche de l’échéance de 2030 pour la réalisation des objectifs de développement durable, le rôle des jeunes dans l’innovation numérique est essentiel pour résoudre les problèmes mondiaux».
Il est à noter que le Maroc démontre, depuis quelques années, son engagement envers la transformation numérique en investissant massivement dans la formation de ses jeunes générations. En novembre dernier, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a présidé la cérémonie de signature d’une convention relative à la mise en œuvre du programme de renforcement des effectifs des inscrits et des diplômés en filières numériques dans les universités publiques marocaines, et ce conformément aux Hautes Orientations Royales appelant à mettre à profit la mutation numérique que connaît le monde. Cette convention a pour objectif de concevoir et mettre en place de nouvelles offres de formation universitaire en numérique au niveau de toutes les universités marocaines publiques, adaptées aux besoins du marché de l’emploi et aux attentes des investisseurs nationaux et étrangers. Elle vise à porter le nombre de lauréats, d’environ 8.000 actuellement dans les différents cycles de formation, à 22.500 lauréats annuellement à l’horizon 2027. Le Chef du gouvernement avait mis l’accent à cette occasion sur l’importance du développement de compétences et de talents digitaux dans notre pays, en tant que moteur de la transition numérique et levier de l’économie. Il avait également souligné que la mise en place d’effectifs suffisants en lauréats des spécialités numériques permettra d’accélérer la dynamique de la transition numérique et de répondre aux attentes des investisseurs nationaux et étrangers.
Ces efforts témoignent de l’importance accordée à la formation des jeunes dans un monde en pleine transformation numérique, soulignant la détermination du Royaume à préparer ses futures générations à relever les défis et à saisir les opportunités de demain.
«La numérisation transforme notre monde et offre des possibilités sans précédent d’accélérer le développement durable. Les technologies numériques telles que les appareils et services mobiles et l’intelligence artificielle contribuent à faire progresser les objectifs de développement durable. Avec des répercussions profondes sur les dimensions économiques, sociales et environnementales, les technologies et les technologies numériques profitent directement à 70% des cibles des ODD tout en réduisant potentiellement le coût de la réalisation de ces objectifs jusqu’à 55.000 milliards de dollars», indique l’ONU. Et d’ajouter qu’«avec trois quarts des personnes âgées de 15 à 24 ans connectées en 2022, les jeunes mènent la charge en matière d’adoption et d’innovation numériques. Toutefois, des disparités persistent, en particulier dans les pays à faible revenu et parmi les jeunes femmes, qui ont souvent moins accès à Internet et aux compétences numériques que leurs homologues masculins. À l’approche de l’échéance de 2030 pour la réalisation des objectifs de développement durable, le rôle des jeunes dans l’innovation numérique est essentiel pour résoudre les problèmes mondiaux».
Il est à noter que le Maroc démontre, depuis quelques années, son engagement envers la transformation numérique en investissant massivement dans la formation de ses jeunes générations. En novembre dernier, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a présidé la cérémonie de signature d’une convention relative à la mise en œuvre du programme de renforcement des effectifs des inscrits et des diplômés en filières numériques dans les universités publiques marocaines, et ce conformément aux Hautes Orientations Royales appelant à mettre à profit la mutation numérique que connaît le monde. Cette convention a pour objectif de concevoir et mettre en place de nouvelles offres de formation universitaire en numérique au niveau de toutes les universités marocaines publiques, adaptées aux besoins du marché de l’emploi et aux attentes des investisseurs nationaux et étrangers. Elle vise à porter le nombre de lauréats, d’environ 8.000 actuellement dans les différents cycles de formation, à 22.500 lauréats annuellement à l’horizon 2027. Le Chef du gouvernement avait mis l’accent à cette occasion sur l’importance du développement de compétences et de talents digitaux dans notre pays, en tant que moteur de la transition numérique et levier de l’économie. Il avait également souligné que la mise en place d’effectifs suffisants en lauréats des spécialités numériques permettra d’accélérer la dynamique de la transition numérique et de répondre aux attentes des investisseurs nationaux et étrangers.
Ces efforts témoignent de l’importance accordée à la formation des jeunes dans un monde en pleine transformation numérique, soulignant la détermination du Royaume à préparer ses futures générations à relever les défis et à saisir les opportunités de demain.