Un petit appareil combinant technologie et médecine pourrait bien faciliter la vie de nombreuses personnes atteintes de diabète de type 2. Publiée récemment dans le New England Journal of Medicine, une étude nord-américaine met en évidence les bénéfices d’un système automatisé d’insuline.
Ce dispositif associe une pompe à insuline et un capteur fixé sur la peau. Le capteur mesure en continu le taux de sucre dans le sang et envoie les données à la pompe, qui ajuste automatiquement les doses, aussi bien le jour que la nuit. Cette régulation en temps réel permet de limiter les excès de sucre (hyperglycémie) et les chutes trop basses (hypoglycémie).
Pendant 13 semaines, 319 adultes sous insuline ont participé à l’essai. Deux tiers ont utilisé ce système automatisé, tandis que les autres ont poursuivi leur traitement habituel (injections ou pompe non automatisée), tous étant suivis par un capteur de glycémie.
Les résultats sont nets :
Les chercheurs soulignent que cette technologie, déjà répandue chez les personnes atteintes de diabète de type 1, pourrait aussi améliorer la vie des patients de type 2 qui utilisent l’insuline, en leur offrant un meilleur contrôle du sucre et une gestion plus fluide de leur traitement.
Ce dispositif associe une pompe à insuline et un capteur fixé sur la peau. Le capteur mesure en continu le taux de sucre dans le sang et envoie les données à la pompe, qui ajuste automatiquement les doses, aussi bien le jour que la nuit. Cette régulation en temps réel permet de limiter les excès de sucre (hyperglycémie) et les chutes trop basses (hypoglycémie).
Pendant 13 semaines, 319 adultes sous insuline ont participé à l’essai. Deux tiers ont utilisé ce système automatisé, tandis que les autres ont poursuivi leur traitement habituel (injections ou pompe non automatisée), tous étant suivis par un capteur de glycémie.
Les résultats sont nets :
- Baisse plus importante de l’hémoglobine glyquée (–0,9 point contre –0,3 point avec les méthodes classiques).
- En moyenne, 3 heures 30 supplémentaires par jour passées dans la plage idéale de sucre (70 à 180 mg/dl).
- Réduction marquée des épisodes d’hyperglycémie, avec un effet constaté dès la première semaine.
Les chercheurs soulignent que cette technologie, déjà répandue chez les personnes atteintes de diabète de type 1, pourrait aussi améliorer la vie des patients de type 2 qui utilisent l’insuline, en leur offrant un meilleur contrôle du sucre et une gestion plus fluide de leur traitement.
