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Après avoir reconquis le championnat national, le FUS basketball entame ce samedi la deuxième phase de la Basketball Africa League (BAL), dans le cadre de la conférence Kalahari, dont les matchs se jouent à Pretoria. La délégation du FUS a atterri lundi en Afrique du Sud et son objectif est clair : rallier les phases finales, prévues en mai-juin à Kigali (Rwanda). À Pretoria, les hommes de Saïd El Bouzidi font face à une rude concurrence et disputeront 6 matchs, face aux Cape Town Tigers (Afrique du Sud), au Dynamo (Burundi) et à la redoutable formation de Petro Luanda (Angola), premier adversaire des Fussistes.
«On est dans un groupe relevé avec notre premier adversaire qui est l’équipe angolaise (Petro Luanda), indique El Bouzidi. C’est l’une des meilleures équipes en Afrique, qui était déjà compétitive lors des trois premières éditions et qui a recruté des renforts cette saison.» Deux fois champions d’Afrique, les Angolais ont atteint les demi-finales lors des trois premières éditions de la BAL. Face à une grosse écurie, le FUS compte sur l’homogénéité de son groupe, composé de joueurs chevronnés et de jeunes pousses. «De notre côté, on a une bonne équipe, pas des individualités, mais plutôt un groupe, assure le technicien. Ce sera dur. J’espère qu’on sera à la hauteur, parce qu’on ne représente pas que le FUS, mais tout le basketball marocain.»
«On est dans un groupe relevé avec notre premier adversaire qui est l’équipe angolaise (Petro Luanda), indique El Bouzidi. C’est l’une des meilleures équipes en Afrique, qui était déjà compétitive lors des trois premières éditions et qui a recruté des renforts cette saison.» Deux fois champions d’Afrique, les Angolais ont atteint les demi-finales lors des trois premières éditions de la BAL. Face à une grosse écurie, le FUS compte sur l’homogénéité de son groupe, composé de joueurs chevronnés et de jeunes pousses. «De notre côté, on a une bonne équipe, pas des individualités, mais plutôt un groupe, assure le technicien. Ce sera dur. J’espère qu’on sera à la hauteur, parce qu’on ne représente pas que le FUS, mais tout le basketball marocain.»
L’équilibre et la bonne préparation, principaux ingrédients d’une recette gagnante
Champion du Maroc en juillet 2023, après près de deux décennies d’attente, le FUS a recruté El Bouzidi en début de saison et a renforcé son effectif avec les arrivées des Américains Ken Brown et John Jordan, auteur d’un panier à 3 points décisif lors du premier tour. «L’équipe qui veut gagner des titres ne doit rien lâcher, même dans les mauvais jours. C’est vrai qu’on a la gnaque, avec des joueurs qui ont de l’orgueil. On a l’esprit d’équipe et c’est ce qui nous pousse à nous donner à fond. J’espère qu’on restera comme ça, durant toute la saison, pas seulement à la BAL.» Autrement dit, le FUS veut s’inscrire dans la durée et ses résultats en championnat national (premier avec une seule défaite en 17 matchs, ndlr) confirment cette dynamique.
La BAL est cependant une autre paire de manches et la préparation à un tournoi de cette envergure a une importance capitale. «Pour cette édition, nous avons eu un temps de préparation adéquat, même si on a été impactés par le rassemblement de l’équipe nationale, puisqu’il y avait quatre de nos joueurs sélectionnés. On a été obligés de travailler avec l’autre moitié», précise El Bouzidi. Appuyés par une direction jeune et motivée, la formation fussiste espère faire de sa participation à la BAL une réussite sportive qui remettrait la formation r’batie dans le bal des grandes équipes africaines. La réponse est attendue dès ce weekend et dans les autres matchs de la conférence Kalahari. «On a 5 jours en Afrique du Sud pour analyser nos adversaires et nous préparer de la meilleure des manières», conclut coach El Bouzidi.
