Des buts, du suspense et un niveau de jeu rarement atteint auparavant. La 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations est sur le point de rendre son dernier verdict, à l’occasion de la finale qui opposera, ce dimanche soir au stade Alassane Ouattara, la Côte d’Ivoire au Nigeria.
Ressuscitée à la faveur d’un concours de résultats, dont une victoire du Maroc sur la Zambie dans le dernier match de la phase de groupes, la Côte d’Ivoire brigue une troisième couronne continentale pour rejoindre ainsi au palmarès les Super Eagles. Les hommes d’Émerse Faé, qui a repris les rênes de la sélection après le limogeage de Jean-Louis Gasset, ont également sur le cœur une défaite contre ce même Nigeria lors de la phase de groupes (0-1), qui avait précipité les malheurs ivoiriens. Il faut reconnaître aux Éléphants une volonté de fer, qui leur a permis de renverser le Sénégal, champion en titre en huitième de finale, de revenir dans les arrêts de jeu face au Mali au stade des quarts et de maîtriser la RD Congo en demi-finale de la compétition. Sous les yeux de la légende Didier Drogba, les Ivoiriens espèrent devenir le premier pays hôte à remporter le titre, depuis l’Égypte en 2006, qui avait triomphé au terme des tirs au but face à... la Côte d’Ivoire. En face, le Nigeria était attendu comme une machine offensive avant le tournoi. Mais à l’image de son buteur et ballon d’or africain, Victor Osimhen, les individualités nigérianes sont diluées dans un collectif, dirigé savamment par le Portugais José Peseiro. Osimhen n’a certes marqué qu’un seul but pendant tout le tournoi, mais son apport à la tactique de l’équipe, à l’image d’Ademola Lookman ou encore Samuel Chukweze, a été inestimable. Les Super Eagles entendent ainsi renouer avec le succès, 11 ans après leur dernier sacre, où les tactiques de feu Stephen Keshi avaient valu le titre à la formation nigériane en terre sud-africaine.
Quel que soit le nom de la sélection qui sera gravé sur le trophée de la CAN dimanche soir, les observateurs s’accordent à dire que son triomphe sera juste, au terme d’une 34e édition qui a surpassé toutes les attentes, tant au niveau du jeu, du spectacle et des buts que même de l’arbitrage, souvent décrié à ce niveau de la compétition footballistique continentale.
Ressuscitée à la faveur d’un concours de résultats, dont une victoire du Maroc sur la Zambie dans le dernier match de la phase de groupes, la Côte d’Ivoire brigue une troisième couronne continentale pour rejoindre ainsi au palmarès les Super Eagles. Les hommes d’Émerse Faé, qui a repris les rênes de la sélection après le limogeage de Jean-Louis Gasset, ont également sur le cœur une défaite contre ce même Nigeria lors de la phase de groupes (0-1), qui avait précipité les malheurs ivoiriens. Il faut reconnaître aux Éléphants une volonté de fer, qui leur a permis de renverser le Sénégal, champion en titre en huitième de finale, de revenir dans les arrêts de jeu face au Mali au stade des quarts et de maîtriser la RD Congo en demi-finale de la compétition. Sous les yeux de la légende Didier Drogba, les Ivoiriens espèrent devenir le premier pays hôte à remporter le titre, depuis l’Égypte en 2006, qui avait triomphé au terme des tirs au but face à... la Côte d’Ivoire. En face, le Nigeria était attendu comme une machine offensive avant le tournoi. Mais à l’image de son buteur et ballon d’or africain, Victor Osimhen, les individualités nigérianes sont diluées dans un collectif, dirigé savamment par le Portugais José Peseiro. Osimhen n’a certes marqué qu’un seul but pendant tout le tournoi, mais son apport à la tactique de l’équipe, à l’image d’Ademola Lookman ou encore Samuel Chukweze, a été inestimable. Les Super Eagles entendent ainsi renouer avec le succès, 11 ans après leur dernier sacre, où les tactiques de feu Stephen Keshi avaient valu le titre à la formation nigériane en terre sud-africaine.
Quel que soit le nom de la sélection qui sera gravé sur le trophée de la CAN dimanche soir, les observateurs s’accordent à dire que son triomphe sera juste, au terme d’une 34e édition qui a surpassé toutes les attentes, tant au niveau du jeu, du spectacle et des buts que même de l’arbitrage, souvent décrié à ce niveau de la compétition footballistique continentale.