Après avoir pris le temps de justifier ses choix au niveau de la liste finale pour la CAN 2023, le sélectionneur national Walid Regragui est revenu sur le programme de préparation des Lions de l’Atlas avant le premier match face à la Tanzanie. Il a ainsi assuré que l’équipe ne s’envolera pour la Côte d’Ivoire qu’une semaine avant son premier match.
“On va partir une semaine avant. Partir avant, physiologiquement, ce n’est pas vrai que c’est bénéfique pour nous et pour les joueurs. Il faut savoir jouer avec le rythme aussi, pendant les matchs, le rehausser quand il le faut et le baisser quand c’est nécessaire” a confié le maître à jouer des Lions de l’Atlas. Le sélectionneur national a également déclaré que le Maroc ne disputera qu’un seul match amical avant la Coupe d’Afrique des Nations 2023, celui qui devrait l’opposer à la Gambie.
Au sujet du statut de “favori” qui colle aux Lions de l’Atlas depuis leur campagne mémorable en Coupe du Monde 2022, Regragui a signifié que l’équipe nationale devra se faire à cette étiquette et en tirer profit au lieu de crouler sous la pression : “Nous devons nous faire au statut de favori, qui nous collera certainement à la peau à l’avenir. Il faut s’y habituer et l'assumer".
“On va partir une semaine avant. Partir avant, physiologiquement, ce n’est pas vrai que c’est bénéfique pour nous et pour les joueurs. Il faut savoir jouer avec le rythme aussi, pendant les matchs, le rehausser quand il le faut et le baisser quand c’est nécessaire” a confié le maître à jouer des Lions de l’Atlas. Le sélectionneur national a également déclaré que le Maroc ne disputera qu’un seul match amical avant la Coupe d’Afrique des Nations 2023, celui qui devrait l’opposer à la Gambie.
Au sujet du statut de “favori” qui colle aux Lions de l’Atlas depuis leur campagne mémorable en Coupe du Monde 2022, Regragui a signifié que l’équipe nationale devra se faire à cette étiquette et en tirer profit au lieu de crouler sous la pression : “Nous devons nous faire au statut de favori, qui nous collera certainement à la peau à l’avenir. Il faut s’y habituer et l'assumer".