Comme avant chaque grande compétition internationale, les premières tendances statistiques commencent à dessiner la hiérarchie des prétendants. Pour la Coupe d’Afrique des nations 2025, prévue au Maroc du 21 décembre au 18 janvier, la plateforme spécialisée Opta place clairement les Lions de l’Atlas en tête des favoris pour succéder à la Côte d’Ivoire.
Selon les simulations réalisées par le supercalculateur de l’entreprise britannique, le Maroc remporte le trophée dans 19,1 % des scénarios, soit la probabilité la plus élevée parmi les 24 sélections engagées. Les hommes de Walid Regragui atteignent également la finale dans 29,9 % des cas, confirmant leur statut de favoris aussi bien pour les analystes que pour les parieurs.
Derrière le pays hôte, l’Égypte se positionne comme le principal rival. Les Pharaons affichent 12,4 % de chances de sacre et 21,8 % de probabilité d’accéder à la finale, forts de leur expérience et d’un palmarès inégalé de sept titres continentaux. En cas de victoire dans leurs groupes respectifs, Marocains et Égyptiens se retrouveraient dans des parties opposées du tableau, repoussant une éventuelle confrontation directe aux derniers tours.
Le Sénégal complète ce trio de tête. Les Lions de la Teranga disposent de 12,3 % de chances de remporter la compétition et présentent la meilleure probabilité d’atteindre les huitièmes de finale, estimée à 95,4 %, signe d’une régularité et d’une solidité toujours reconnues sur la scène africaine.
Derrière ce podium, un quatuor de favoris élargis se dessine. L’Algérie occupe la quatrième place avec 12 % de chances de titre, confirmant son statut de prétendant sérieux. Le Nigeria suit en cinquième position (7,3 %), devant la Tunisie (6,8 %). La Côte d’Ivoire, pourtant tenante du titre, ne pointe qu’au septième rang avec 6,7 %, devancée également par le Mali (6,4 %), classé huitième.
Si ces prédictions restent purement statistiques et ne tiennent pas compte des aléas du terrain, elles mettent néanmoins en lumière une CAN 2025 qui s’annonce particulièrement disputée, avec un Maroc attendu au tournant. À domicile, les Lions de l’Atlas auront l’occasion de transformer leur statut de favori théorique en consécration continentale, près d’un demi-siècle après leur dernier sacre.
Selon les simulations réalisées par le supercalculateur de l’entreprise britannique, le Maroc remporte le trophée dans 19,1 % des scénarios, soit la probabilité la plus élevée parmi les 24 sélections engagées. Les hommes de Walid Regragui atteignent également la finale dans 29,9 % des cas, confirmant leur statut de favoris aussi bien pour les analystes que pour les parieurs.
Derrière le pays hôte, l’Égypte se positionne comme le principal rival. Les Pharaons affichent 12,4 % de chances de sacre et 21,8 % de probabilité d’accéder à la finale, forts de leur expérience et d’un palmarès inégalé de sept titres continentaux. En cas de victoire dans leurs groupes respectifs, Marocains et Égyptiens se retrouveraient dans des parties opposées du tableau, repoussant une éventuelle confrontation directe aux derniers tours.
Le Sénégal complète ce trio de tête. Les Lions de la Teranga disposent de 12,3 % de chances de remporter la compétition et présentent la meilleure probabilité d’atteindre les huitièmes de finale, estimée à 95,4 %, signe d’une régularité et d’une solidité toujours reconnues sur la scène africaine.
Derrière ce podium, un quatuor de favoris élargis se dessine. L’Algérie occupe la quatrième place avec 12 % de chances de titre, confirmant son statut de prétendant sérieux. Le Nigeria suit en cinquième position (7,3 %), devant la Tunisie (6,8 %). La Côte d’Ivoire, pourtant tenante du titre, ne pointe qu’au septième rang avec 6,7 %, devancée également par le Mali (6,4 %), classé huitième.
Si ces prédictions restent purement statistiques et ne tiennent pas compte des aléas du terrain, elles mettent néanmoins en lumière une CAN 2025 qui s’annonce particulièrement disputée, avec un Maroc attendu au tournant. À domicile, les Lions de l’Atlas auront l’occasion de transformer leur statut de favori théorique en consécration continentale, près d’un demi-siècle après leur dernier sacre.
