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Les Lions de l’Atlas ne sont pas parvenus à valider leur billet pour les huitièmes de finale de la CAN 2025 après ce nul concédé face au Mali au Complexe Moulay Abdellah de Rabat. La première période de ce duel au sommet a pourtant tenu toutes ses promesses, offrant une opposition de styles particulièrement intense. Dès l’entame du match, les Marocains ont confisqué le ballon, cherchant à imposer leur partition habituelle faite de transmissions courtes et d’une occupation maximale de la largeur. Cependant, ils se sont heurtés à un bloc malien parfaitement organisé, capable de réduire les espaces et d’imposer un défi physique intense dans chaque duel.
Les hommes de Walid Regragui se sont procuré plusieurs occasions franches, mais le dernier geste a manqué de précision, à l’image des opportunités gâchées par Saibari et El Kaabi. Malgré ces échecs, les Lions ont poursuivi leur assaut sur le verrou défensif adverse. C’est finalement Brahim Diaz qui a provoqué la faille : sur une incursion tranchante côté droit, l’étoile du Real Madrid a obtenu un penalty qu’il a transformé avec sang-froid, permettant aux siens de regagner les vestiaires avec un avantage mérité.
Lassine Sinayoko, imperturbable malgré la pression du stade, a transformé la sentence avec une précision chirurgicale. Ce but a totalement renversé la dynamique du match, transformant les vingt dernières minutes en un véritable bras de fer, où le K.-O. semblait imminent. Le Maroc a multiplié les assauts pour reprendre l’avantage, mais s’est heurté à une défense malienne galvanisée, tandis que les contre-attaques adverses restaient une menace constante jusqu’au coup de sifflet final.
Les deux sélections se quittent ainsi sur un score de parité qui reflète l’équilibre des forces. Ce partage des points maintient le suspense entier pour la suite de la compétition. Les Lions de l’Atlas devront impérativement s’imposer face à la Zambie lors du troisième match de poule pour décrocher leur place en huitièmes de finale.
Les hommes de Walid Regragui se sont procuré plusieurs occasions franches, mais le dernier geste a manqué de précision, à l’image des opportunités gâchées par Saibari et El Kaabi. Malgré ces échecs, les Lions ont poursuivi leur assaut sur le verrou défensif adverse. C’est finalement Brahim Diaz qui a provoqué la faille : sur une incursion tranchante côté droit, l’étoile du Real Madrid a obtenu un penalty qu’il a transformé avec sang-froid, permettant aux siens de regagner les vestiaires avec un avantage mérité.
Les Maliens égalisent en seconde période et compliquent la tâche des Lions
La seconde période a pris une tournure plus dramatique, marquant un tournant décisif dans ce choc du groupe A. Alors que le Maroc semblait maîtriser le tempo de la rencontre, le Mali n’a jamais abdiqué, jetant toutes ses forces dans la bataille pour revenir au score. À force de harceler la défense marocaine par des percussions incisives, les Aigles ont fini par obtenir un penalty, consécutif à une main dans la surface lors d’un cafouillage sur corner.Lassine Sinayoko, imperturbable malgré la pression du stade, a transformé la sentence avec une précision chirurgicale. Ce but a totalement renversé la dynamique du match, transformant les vingt dernières minutes en un véritable bras de fer, où le K.-O. semblait imminent. Le Maroc a multiplié les assauts pour reprendre l’avantage, mais s’est heurté à une défense malienne galvanisée, tandis que les contre-attaques adverses restaient une menace constante jusqu’au coup de sifflet final.
Les deux sélections se quittent ainsi sur un score de parité qui reflète l’équilibre des forces. Ce partage des points maintient le suspense entier pour la suite de la compétition. Les Lions de l’Atlas devront impérativement s’imposer face à la Zambie lors du troisième match de poule pour décrocher leur place en huitièmes de finale.
