Bien que cruelle, la défaite en finale de la CAN féminine face au Nigeria offre des leçons précieuses pour les Lionnes de l’Atlas. Renforcer la résilience mentale est une priorité absolue. L’équipe a montré une domination éclatante en première mi-temps, mais la décision du VAR annulant un penalty en leur faveur, combinée à la remontée nigériane, a révélé une difficulté à gérer la pression dans les moments de tension. Travailler sur la stabilité émotionnelle, notamment à travers des exercices de préparation psychologique, permettrait aux joueuses de rester concentrées face à des adversaires expérimentées et des scénarios défavorables.
La gestion des moments clés doit également être améliorée. Les erreurs défensives, comme le penalty concédé à la 64e minute ou la perte de marquage sur le but décisif de Jennifer Echegini à la 88e, ont coûté cher. Une meilleure communication et une organisation défensive plus rigoureuse, notamment dans les dernières minutes, sont essentielles pour éviter de telles défaillances face à des équipes opportunistes comme le Nigeria. Maintenir l’intensité à domicile, malgré un public fervent de plus de 20.000 spectateurs au Stade olympique de Rabat, représente un autre défi. Si l’élan du public a galvanisé les Lionnes de l'Atlas en première période, l’équipe n’a pas su canaliser cette énergie pour contrer la montée en puissance nigériane. Apprendre à transformer l’appui populaire en constance sur le terrain, sans se laisser déstabiliser par l’enjeu, sera crucial pour les échéances futures, notamment la CAN 2026 organisée au Maroc.
Poursuivre la professionnalisation de l’équipe reste un axe fondamental. Sous la direction de Jorge Vilda, le Maroc a progressé grâce à l’intégration de joueuses binationales et à un investissement croissant. Cependant, pour rivaliser avec des nations comme le Nigeria, qui bénéficie d’une expérience inégalée avec dix titres continentaux, les Lionnes doivent adopter une approche encore plus rigoureuse. Cela passe par un renforcement des structures d’entraînement, une analyse tactique plus fine des adversaires et un développement des infrastructures pour le football féminin au Maroc. Enfin, capitaliser sur la jeunesse et l’élan de cette finale est une opportunité majeure. Avec une équipe relativement jeune et un parcours impressionnant, le Maroc dispose d’un potentiel énorme. Cette expérience, bien que douloureuse, doit servir de catalyseur pour affiner les automatismes, renforcer la cohésion d’équipe et viser un premier titre continental en 2026.
La gestion des moments clés doit également être améliorée. Les erreurs défensives, comme le penalty concédé à la 64e minute ou la perte de marquage sur le but décisif de Jennifer Echegini à la 88e, ont coûté cher. Une meilleure communication et une organisation défensive plus rigoureuse, notamment dans les dernières minutes, sont essentielles pour éviter de telles défaillances face à des équipes opportunistes comme le Nigeria. Maintenir l’intensité à domicile, malgré un public fervent de plus de 20.000 spectateurs au Stade olympique de Rabat, représente un autre défi. Si l’élan du public a galvanisé les Lionnes de l'Atlas en première période, l’équipe n’a pas su canaliser cette énergie pour contrer la montée en puissance nigériane. Apprendre à transformer l’appui populaire en constance sur le terrain, sans se laisser déstabiliser par l’enjeu, sera crucial pour les échéances futures, notamment la CAN 2026 organisée au Maroc.
Poursuivre la professionnalisation de l’équipe reste un axe fondamental. Sous la direction de Jorge Vilda, le Maroc a progressé grâce à l’intégration de joueuses binationales et à un investissement croissant. Cependant, pour rivaliser avec des nations comme le Nigeria, qui bénéficie d’une expérience inégalée avec dix titres continentaux, les Lionnes doivent adopter une approche encore plus rigoureuse. Cela passe par un renforcement des structures d’entraînement, une analyse tactique plus fine des adversaires et un développement des infrastructures pour le football féminin au Maroc. Enfin, capitaliser sur la jeunesse et l’élan de cette finale est une opportunité majeure. Avec une équipe relativement jeune et un parcours impressionnant, le Maroc dispose d’un potentiel énorme. Cette expérience, bien que douloureuse, doit servir de catalyseur pour affiner les automatismes, renforcer la cohésion d’équipe et viser un premier titre continental en 2026.
