Ahmed Faras, le premier Ballon d’or africain (1976)
Capitaine mythique des années 1970, Ahmed Faras demeure une figure indétrônable. Lors de la CAN 1976 en Éthiopie, disputée sous la formule des poules finales, il guide le Maroc vers son unique titre continental. Auteur de trois buts, élégant balle au pied, il termine meilleur joueur et co-meilleur buteur. Sa volée magistrale contre le Nigeria reste l’une des images iconiques de l’âge d’or marocain.
Noureddine Naybet, le roc éternel
Patron de la défense marocaine pendant plus dequinze ans, Noureddine Naybet reste le symbolemême de la solidité. Finaliste malheureux en2004 face à la Tunisie, il détient le record national des participations en CAN avec sept éditions (1992 à 2008). Autoritaire, propre dans la relance, leader naturel, il a notamment formé une charnière mémorable avec Medhi Benatia. Une longévité et une constance inégalées.
Mustapha Hadji, l’artiste des CAN 1998 et 2000
Icône des années 1990- 2000, Mustapha Hadji a illuminé deux éditions de son talent. Au Burkina Faso en 1998, il forme avec Bassir et Hadda un trio irrésistible qui propulse les
Lions en quarts de finale. Sacré meilleur joueur du tournoi, il éblouit l’Afrique. En 2000, il remet ça avec des gestes de génie – dont un coup du foulard resté dans les mémoires
– et termine co-meilleur buteur avec quatre réalisations. Son élégance a marqué une génération entière.
Marouane Chamakh et Youssouf Hadji, les héros de 2004
La CAN 2004 en Tunisie reste l’une des plus belles campagnes marocaines. Emmenés par une génération brillante, les Lions atteignent la finale. Marouane Chamakh, jeune
attaquant du FC Bordeaux, inscrit trois buts dont un doublé mémorable contre l’Algérie en quarts. À ses côtés, Youssouf Hadji – le frère de Mustapha – signe plusieurs réalisations décisives. Malgré la défaite en finale, cette équipe demeure la plus séduisante depuis le sacre de 1976.
Hakim Ziyech, le maestro moderne
Apparu en 2019 puis confirmé en 2021, Hakim Ziyech a repris le flambeau des créateurs marocains. En Égypte, il porte quasiment à lui seul une sélection en crise jusqu’aux huitièmes, grâce à sa vista et ses frappes venues d’ailleurs. Au Cameroun en 2021, malgré une élimination prématurée, ses coups francs et sa précision rappellent le meilleur de Mustapha Hadji. Même diminué ces dernières années, il demeure le leader technique des Lions.
Achraf Hakimi, le phénomène générationnel
Révélé très jeune lors de la CAN 2019, Achraf Hakimi a explosé lors des éditions suivantes. Latéral droit supersonique, capable de marquer et de créer le danger à chaque montée, il symbolise le renouveau marocain. Son penalty décisif contre l’Espagne au Mondial a marqué les esprits, tout comme ses performances en Afrique. Aux côtés de Yassine Bounou et Romain Saïss, il incarne ce nouveau visage conquérant d’une équipe qui rêve de ramener un deuxième titre continental au Royaume.
Capitaine mythique des années 1970, Ahmed Faras demeure une figure indétrônable. Lors de la CAN 1976 en Éthiopie, disputée sous la formule des poules finales, il guide le Maroc vers son unique titre continental. Auteur de trois buts, élégant balle au pied, il termine meilleur joueur et co-meilleur buteur. Sa volée magistrale contre le Nigeria reste l’une des images iconiques de l’âge d’or marocain.
Noureddine Naybet, le roc éternel
Patron de la défense marocaine pendant plus dequinze ans, Noureddine Naybet reste le symbolemême de la solidité. Finaliste malheureux en2004 face à la Tunisie, il détient le record national des participations en CAN avec sept éditions (1992 à 2008). Autoritaire, propre dans la relance, leader naturel, il a notamment formé une charnière mémorable avec Medhi Benatia. Une longévité et une constance inégalées.
Mustapha Hadji, l’artiste des CAN 1998 et 2000
Icône des années 1990- 2000, Mustapha Hadji a illuminé deux éditions de son talent. Au Burkina Faso en 1998, il forme avec Bassir et Hadda un trio irrésistible qui propulse les
Lions en quarts de finale. Sacré meilleur joueur du tournoi, il éblouit l’Afrique. En 2000, il remet ça avec des gestes de génie – dont un coup du foulard resté dans les mémoires
– et termine co-meilleur buteur avec quatre réalisations. Son élégance a marqué une génération entière.
Marouane Chamakh et Youssouf Hadji, les héros de 2004
La CAN 2004 en Tunisie reste l’une des plus belles campagnes marocaines. Emmenés par une génération brillante, les Lions atteignent la finale. Marouane Chamakh, jeune
attaquant du FC Bordeaux, inscrit trois buts dont un doublé mémorable contre l’Algérie en quarts. À ses côtés, Youssouf Hadji – le frère de Mustapha – signe plusieurs réalisations décisives. Malgré la défaite en finale, cette équipe demeure la plus séduisante depuis le sacre de 1976.
Hakim Ziyech, le maestro moderne
Apparu en 2019 puis confirmé en 2021, Hakim Ziyech a repris le flambeau des créateurs marocains. En Égypte, il porte quasiment à lui seul une sélection en crise jusqu’aux huitièmes, grâce à sa vista et ses frappes venues d’ailleurs. Au Cameroun en 2021, malgré une élimination prématurée, ses coups francs et sa précision rappellent le meilleur de Mustapha Hadji. Même diminué ces dernières années, il demeure le leader technique des Lions.
Achraf Hakimi, le phénomène générationnel
Révélé très jeune lors de la CAN 2019, Achraf Hakimi a explosé lors des éditions suivantes. Latéral droit supersonique, capable de marquer et de créer le danger à chaque montée, il symbolise le renouveau marocain. Son penalty décisif contre l’Espagne au Mondial a marqué les esprits, tout comme ses performances en Afrique. Aux côtés de Yassine Bounou et Romain Saïss, il incarne ce nouveau visage conquérant d’une équipe qui rêve de ramener un deuxième titre continental au Royaume.
