La sortie des locaux de la Botola Pro Inwi D1 de dimanche face au Kenya a entraîné une avalanche de critiques sur Tarek Sektioui et son staff technique, qui n’ont pas pu éviter la défaite au terme de leur deuxième match au Kenya, malgré la supériorité numérique pendant toute une mi-temps.
Ayant aligné le même Onze titulaire adopté face à l’Angola lors du premier match, le coach national a vu sa recette fonctionner quelques minutes, mais l’équipe s’est littéralement effondrée après quelques ratés et un but Kenyan qui a pris la défense à contrepied. La ligne médiane de l’AS FAR (Anas Bach, Rabiae Hraimate et khalid Ait Orkhane), qui avait excellé lors du premier duel, a éprouvé d’énormes difficultés, mais les plus grands dysfonctionnements ont été constatés au niveau de l’attaque, qui avait déjà donné une idée sur ses limites face à l’Angola. Désigné comme fer de lance lors des deux rencontres, le joueur du Fath de Rabat Ayoub Moulouaâ n’a pas réussi à profiter de l’occasion et à faire pencher la balance en sa faveur. Sur plus de 100 minutes disputées au Kenya (remplacé lors des 2 matchs), l’attaquant de pointe a raté une bonne douzaine d’occasions dont des face-à-face avec le portier adverse. Sur les couloirs, le jeune Imad Riyahi (Renaissance Sportive de Berkane) a bien apporté de la fraîcheur aux offensives, un peu plus que l’attaquant du CODM El Mahraoui. Toutefois, les deux joueurs n’ont pas réussi à combler le manque d’application de Moulouaa dimanche.
Après le coup de sifflet final, Tarek Sektioui a tenu a défendre ses joueurs, mais a quand même admis que le manque d’efficacité a laissé l’équipe boîteuse : “Nous nous sommes inclinés, certes, mais cela ne doit pas éclipser l’effort consenti par les joueurs... Nous avons pourtant bien démarré la rencontre, tout ce qui a été convenu a été appliqué. On récupérait le ballon entre les lignes, puis on optait pour les flancs, mais le dernier geste manquait toujours à l’appel. Nous avons ensuite encaissé le but, qui a eu un grand effet sur leur mental. L’expulsion a eu lieu juste avant la pause, mais même l’infériorité numérique s’est avérée basculer en faveur du Kenya, qui a réussi à défendre avec plus d’agressivité et qui a limité les espaces devant nos joueurs. L’animation offensive nous a fait défaut en fin de rencontre et c’est justement l’enseignement de cette défaite : il va falloir nous améliorer sur la zone 3 (la surface adverse, NDLR) et faire montre de davantage d’efficacité !”. Face à la Zambie, Sektioui pourrait donc bien revoir son trio d’attaque ou tout du moins son attaquant de pointe, afin de tester une nouvelle combinaison en vue d’apporter du réalisme à cette équipe qui construit avec aisance, mais qui se perd au moment de la conclusion.
Ayant aligné le même Onze titulaire adopté face à l’Angola lors du premier match, le coach national a vu sa recette fonctionner quelques minutes, mais l’équipe s’est littéralement effondrée après quelques ratés et un but Kenyan qui a pris la défense à contrepied. La ligne médiane de l’AS FAR (Anas Bach, Rabiae Hraimate et khalid Ait Orkhane), qui avait excellé lors du premier duel, a éprouvé d’énormes difficultés, mais les plus grands dysfonctionnements ont été constatés au niveau de l’attaque, qui avait déjà donné une idée sur ses limites face à l’Angola. Désigné comme fer de lance lors des deux rencontres, le joueur du Fath de Rabat Ayoub Moulouaâ n’a pas réussi à profiter de l’occasion et à faire pencher la balance en sa faveur. Sur plus de 100 minutes disputées au Kenya (remplacé lors des 2 matchs), l’attaquant de pointe a raté une bonne douzaine d’occasions dont des face-à-face avec le portier adverse. Sur les couloirs, le jeune Imad Riyahi (Renaissance Sportive de Berkane) a bien apporté de la fraîcheur aux offensives, un peu plus que l’attaquant du CODM El Mahraoui. Toutefois, les deux joueurs n’ont pas réussi à combler le manque d’application de Moulouaa dimanche.
Après le coup de sifflet final, Tarek Sektioui a tenu a défendre ses joueurs, mais a quand même admis que le manque d’efficacité a laissé l’équipe boîteuse : “Nous nous sommes inclinés, certes, mais cela ne doit pas éclipser l’effort consenti par les joueurs... Nous avons pourtant bien démarré la rencontre, tout ce qui a été convenu a été appliqué. On récupérait le ballon entre les lignes, puis on optait pour les flancs, mais le dernier geste manquait toujours à l’appel. Nous avons ensuite encaissé le but, qui a eu un grand effet sur leur mental. L’expulsion a eu lieu juste avant la pause, mais même l’infériorité numérique s’est avérée basculer en faveur du Kenya, qui a réussi à défendre avec plus d’agressivité et qui a limité les espaces devant nos joueurs. L’animation offensive nous a fait défaut en fin de rencontre et c’est justement l’enseignement de cette défaite : il va falloir nous améliorer sur la zone 3 (la surface adverse, NDLR) et faire montre de davantage d’efficacité !”. Face à la Zambie, Sektioui pourrait donc bien revoir son trio d’attaque ou tout du moins son attaquant de pointe, afin de tester une nouvelle combinaison en vue d’apporter du réalisme à cette équipe qui construit avec aisance, mais qui se perd au moment de la conclusion.
