Connexion
La Syrie a marqué les esprits lors de la Coupe arabe de la FIFA 2025 en atteignant les quarts de finale pour la première fois de son histoire, s’imposant comme l’une des sensations du tournoi. Les Syriens ont notamment tenu tête à la Tunisie, finaliste de la précédente édition, et au Qatar, pays hôte, concédant deux matches nuls (1-1). Des performances face à des adversaires de calibre qui témoignent de leur capacité à se transcender dans les grands rendez-vous.
Sur le plan défensif, la sélection syrienne a affiché une grande solidité. Sérieuse et bien organisée, elle a concédé peu de buts, à l’image du match nul (0-0) face à la Palestine, résultat décisif pour la qualification. Individuellement, des joueurs comme Omar Khribin, buteur contre la Tunisie et auteur d’un but de grande classe pour arracher l’égalisation face au Qatar, ou encore Mohamad Al Salkhadi, élu Homme du match contre la Palestine, peuvent faire basculer une rencontre à tout moment.
Sur le plan défensif, la sélection syrienne a affiché une grande solidité. Sérieuse et bien organisée, elle a concédé peu de buts, à l’image du match nul (0-0) face à la Palestine, résultat décisif pour la qualification. Individuellement, des joueurs comme Omar Khribin, buteur contre la Tunisie et auteur d’un but de grande classe pour arracher l’égalisation face au Qatar, ou encore Mohamad Al Salkhadi, élu Homme du match contre la Palestine, peuvent faire basculer une rencontre à tout moment.
La combativité syrienne s’est également illustrée par une égalisation arrachée dans le temps additionnel face au Qatar. Toutefois, cette équipe présente aussi certaines limites que le sélectionneur national Tarik Sektioui pourrait chercher à exploiter. Malgré la présence d’éléments offensifs de qualité, la Syrie manque parfois d’efficacité et de créativité dans le jeu. Par ailleurs, si cette qualification historique constitue une première en Coupe arabe, le parcours syrien dans les grandes compétitions continentales reste souvent marqué par des éliminations précoces, traduisant un déficit d’expérience et de constance dans les phases finales. Un paramètre qui pourrait peser face à une sélection marocaine rompue à ce genre de rendez-vous.
