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L’aventure de l’Union Touarga en Coupe de la Confédération n’est malheureusement pas allée au-delà du premier tour préliminaire. L’UTS a été éliminée, samedi à Abidjan, face au Racing Club local, au terme d’un match de 180 minutes, sans émotions, sans rebondissements et sans fin heureuse pour les représentants du football national.
En première mi-temps, les hommes de Abdelouahed Zamrat tentent de prendre l’avantage, mais leurs tentatives manquent de réalisme, surtout lorsqu’il s’agit d’opérer dans les 20 derniers mètres. L’espoir grandit avec la fin de la première mi-temps. Malheureusement, les ardeurs des joueurs de l’UTS se calment très vite, lorsqu’ils voient leur capitaine Achraf Berqi se faire expulser, peu après le retour des vestiaires. La mission devient alors claire : il faut arriver au bout de cette confrontation.
Les Touarga y arrivent, mais mentalement, les choses ne semblent guère s’améliorer. Dans la séance des tirs au but, les joueurs de l’UTS ratent 4 tirs. Les joueurs du RC Abidjan, eux, n’en ratent que deux. L’arithmétique est une science simple. La sentence l’est davantage. L’Union Touarga n’ira pas plus loin et devrait se poser des questions sur la stratégie qu’elle voudrait adopter à l’avenir, afin de poursuivre sa croissance. Arriver au début de la saison en ayant cédé les meilleurs joueurs, sans avoir recruté une relève digne de ce nom, ne mène généralement pas très loin. Une chose est sûre : atteindre la compétition continentale avec un budget aussi réduit et une équipe majoritairement composée de jeunes joueurs est un exemple pour beaucoup d’autres clubs de la Botola. Cette saison dira si ce modèle est viable.
En première mi-temps, les hommes de Abdelouahed Zamrat tentent de prendre l’avantage, mais leurs tentatives manquent de réalisme, surtout lorsqu’il s’agit d’opérer dans les 20 derniers mètres. L’espoir grandit avec la fin de la première mi-temps. Malheureusement, les ardeurs des joueurs de l’UTS se calment très vite, lorsqu’ils voient leur capitaine Achraf Berqi se faire expulser, peu après le retour des vestiaires. La mission devient alors claire : il faut arriver au bout de cette confrontation.
Les Touarga y arrivent, mais mentalement, les choses ne semblent guère s’améliorer. Dans la séance des tirs au but, les joueurs de l’UTS ratent 4 tirs. Les joueurs du RC Abidjan, eux, n’en ratent que deux. L’arithmétique est une science simple. La sentence l’est davantage. L’Union Touarga n’ira pas plus loin et devrait se poser des questions sur la stratégie qu’elle voudrait adopter à l’avenir, afin de poursuivre sa croissance. Arriver au début de la saison en ayant cédé les meilleurs joueurs, sans avoir recruté une relève digne de ce nom, ne mène généralement pas très loin. Une chose est sûre : atteindre la compétition continentale avec un budget aussi réduit et une équipe majoritairement composée de jeunes joueurs est un exemple pour beaucoup d’autres clubs de la Botola. Cette saison dira si ce modèle est viable.
