Lancée en mars dernier à Kigali (Rwanda), la candidature ibéro-marocaine pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 tient une réunion de travail à Rabat, ce mercredi. À un peu plus d’un an de la décision que prendront les 211 fédérations membres de la FIFA lors d’un congrès prévu lors du dernier trimestre 2024, la candidature liant l’Europe à l’Afrique devrait dévoiler les principaux axes de sa campagne.
Tout d’abord, il faut se mettre d’accord sur les villes et les stades hôtes de la compétition, qui comptera à partir de 2026 la participation de 48 sélections, soit un total de 104 matchs à partager entre le Maroc, l’Espagne et le Portugal. Selon des médias espagnols, la part du Maroc dans le dossier en termes d’infrastructures sportives est constituée de six villes hôtes : Rabat, Casablanca, Tanger, Marrakech, Fès et Agadir. On parle d’une trentaine de matchs qui se joueraient sur le sol marocain, dès lors que la candidature aura eu les faveurs des votants.
Cependant, les difficultés économiques et les maux de société (inflation, violence, crime organisé...) se révèlent chroniques. Toutefois, la candidature sud-américaine s’appuie sur une logique historique qui voudrait que la Coupe du monde revienne dans le continent de sa genèse, un siècle après. Ce mercredi à Rabat, le Maroc, l’Espagne et le Portugal devraient donc dévoiler les atouts qui font de leur candidature pour l’organisation du Mondial en 2030 un dossier qui répond aux exigences d’une Coupe du monde moderne.
Tout d’abord, il faut se mettre d’accord sur les villes et les stades hôtes de la compétition, qui comptera à partir de 2026 la participation de 48 sélections, soit un total de 104 matchs à partager entre le Maroc, l’Espagne et le Portugal. Selon des médias espagnols, la part du Maroc dans le dossier en termes d’infrastructures sportives est constituée de six villes hôtes : Rabat, Casablanca, Tanger, Marrakech, Fès et Agadir. On parle d’une trentaine de matchs qui se joueraient sur le sol marocain, dès lors que la candidature aura eu les faveurs des votants.
47 villes candidates en Amérique latine
Selon toute vraisemblance, la candidature ibéro-marocaine devrait dévoiler, au terme de la réunion à Rabat, les grandes lignes du dossier qui fera le tour du monde pour tenter de convaincre une majorité de votants. Il est donc primordial que tous les aspects, y compris financiers, juridiques et d’héritage soient extrêmement bien ficelés, pour confirmer l’impression générale dans le monde du football, qui fait de cette candidature, la plus solide. Car en face, le quatuor Argentine-Uruguay-Chili-Paraguay a reçu les candidatures de pas moins de 47 villes et localités, désireuses d’accueillir le Mondial 2030 : 14 en Argentine, 18 au Chili, 9 en Uruguay et 6 au Paraguay. Les quatre pays ont officiellement présenté leur candidature en février dernier à Buenos Aires.Cependant, les difficultés économiques et les maux de société (inflation, violence, crime organisé...) se révèlent chroniques. Toutefois, la candidature sud-américaine s’appuie sur une logique historique qui voudrait que la Coupe du monde revienne dans le continent de sa genèse, un siècle après. Ce mercredi à Rabat, le Maroc, l’Espagne et le Portugal devraient donc dévoiler les atouts qui font de leur candidature pour l’organisation du Mondial en 2030 un dossier qui répond aux exigences d’une Coupe du monde moderne.