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Le Matin : Après votre victoire historique lors du Lacoste Ladies Open en France durant l’année 2022, quel bilan faites-vous de la saison 2023 ?
Inès Laklalech : L’année 2023 s’est passée sur le circuit américain LPGA Tour. C’était ma première année sur ce circuit, le niveau de jeu est plus relevé que sur le circuit européen, c’était donc un peu compliqué pour moi au niveau des résultats. Mais c’est un temps nécessaire pour pouvoir s’adapter un peu au niveau de la compétition, aux parcours qui sont différents, ainsi qu’à la vie aux États-Unis. Comme vous le savez, la première année en tant que Rookie en Amérique est toujours compliquée, mais c’est une expérience très riche, avec beaucoup d’enseignements et d’apprentissage, surtout le fait de jouer avec les meilleures joueuses mondiales. J’espère que cette expérience m’aidera à progresser non seulement au cours de cette année, mais lors des saisons à venir.
À quelques mois du coup d’envoi des JO de Paris 2024, est-ce que vous croyez toujours en vos chances de décrocher un ticket pour y participer ?
Il faut que je fasse un bon début de saison, avec quelques bons résultats afin de marquer des points et monter dans le classement mondial. C’est tout à fait faisable. Je reste concentrée sur cet objectif et c’est ce que je sais faire le mieux, et également sur les choses que je peux améliorer en espérant être de la partie à Paris. Ce serait une très grande fierté pour moi de défendre les couleurs nationales lors des JO.
Cette année la concurrence sera rude lors de la Coupe Lalla Meryem, avec la présence de joueuses de calibre. Quels sont vos objectifs pour cette édition ?
L’objectif comme lors de chaque semaine de compétition, c’est de gagner. Après, pour le reste, j’essaie toujours de faire de mon mieux et je verrai ce que le destin me réserve. Continuer à travailler et faire de mon mieux pour réaliser de bons résultats, comme j’ai l’habitude de le faire.
Quelles sont les difficultés que vous redoutez sur le circuit bleu du Royal Golf Dar Es Salam cette saison ?
Cette année, les roughs sont plus épais. J’espère garder la balle un maximum sur le fairway et continuer à jouer simple, tout en continuant à prendre les fairways et les greens, et rester patiente et concentrée tout au long de la compétition.
Inès Laklalech : L’année 2023 s’est passée sur le circuit américain LPGA Tour. C’était ma première année sur ce circuit, le niveau de jeu est plus relevé que sur le circuit européen, c’était donc un peu compliqué pour moi au niveau des résultats. Mais c’est un temps nécessaire pour pouvoir s’adapter un peu au niveau de la compétition, aux parcours qui sont différents, ainsi qu’à la vie aux États-Unis. Comme vous le savez, la première année en tant que Rookie en Amérique est toujours compliquée, mais c’est une expérience très riche, avec beaucoup d’enseignements et d’apprentissage, surtout le fait de jouer avec les meilleures joueuses mondiales. J’espère que cette expérience m’aidera à progresser non seulement au cours de cette année, mais lors des saisons à venir.
À quelques mois du coup d’envoi des JO de Paris 2024, est-ce que vous croyez toujours en vos chances de décrocher un ticket pour y participer ?
Il faut que je fasse un bon début de saison, avec quelques bons résultats afin de marquer des points et monter dans le classement mondial. C’est tout à fait faisable. Je reste concentrée sur cet objectif et c’est ce que je sais faire le mieux, et également sur les choses que je peux améliorer en espérant être de la partie à Paris. Ce serait une très grande fierté pour moi de défendre les couleurs nationales lors des JO.
Cette année la concurrence sera rude lors de la Coupe Lalla Meryem, avec la présence de joueuses de calibre. Quels sont vos objectifs pour cette édition ?
L’objectif comme lors de chaque semaine de compétition, c’est de gagner. Après, pour le reste, j’essaie toujours de faire de mon mieux et je verrai ce que le destin me réserve. Continuer à travailler et faire de mon mieux pour réaliser de bons résultats, comme j’ai l’habitude de le faire.
Quelles sont les difficultés que vous redoutez sur le circuit bleu du Royal Golf Dar Es Salam cette saison ?
Cette année, les roughs sont plus épais. J’espère garder la balle un maximum sur le fairway et continuer à jouer simple, tout en continuant à prendre les fairways et les greens, et rester patiente et concentrée tout au long de la compétition.
