"Sans Mbappé c'est sûr que notre manière de jouer va changer, mais pas tant que cela. Car en réalité nous sommes habitués à jouer sans lui, nous le faisions l'an passé. C'est vraiment dommage qu'il ne soit pas disponible pour disputer ce match, mais je crois qu'on peut gérer son absence", a déclaré Ancelotti en conférence de presse.
Le Real Madrid (2e, 17 points), champion d'Espagne en titre invaincu depuis 39 matches, défie dimanche au Metropolitano son voisin et rival l'Atlético Madrid (3e, 15 points), dernière équipe à l'avoir battu en Liga il y a un peu plus d'un an, pour poursuivre son impressionnante série.
Le technicien italien s'attend "comme d'habitude" à un match "compliqué, disputé, divertissant et très compétitif" contre un rival qui s'est renforcé cet été et qui "luttera avec nous et avec le FC Barcelone jusqu'au bout pour remporter le titre".
Après des débuts poussifs dans le jeu, "l'équipe s'est améliorée, malgré cette fin de match difficile mardi (contre Alavés, 3-2), nous sommes plus solidaires, plus compacts, plus efficaces. Nous sommes sur le bon chemin, et ce match est un test très important dans ce sens. Car avoir une équipe compacte est essentiel dans ce genre de rencontres", a estimé l'ex-coach milanais.
Privé de Mbappé, donc, mais aussi de David Alaba, Brahim Diaz et Dani Ceballos, le Real pourra compter sur le retour de l'international français Eduardo Camavinga, qui s'est entraîné avec le groupe avec un bandage autour du genou gauche.
"Camavinga est disponible demain, il s'est bien entraîné, il a bien récupéré. Maintenant il peut jouer 90 minutes... ou bien au contraire zéro", a résumé Ancelotti avec son sarcasme habituel.
Interrogé à deux reprises sur l'intention de certains supporters de l'Atlético de se rendre au match avec des masques pour pouvoir insulter le Brésilien Vinicius Junior sans être inquiétés par les autorités, l'entraîneur madrilène n'a pas souhaité réagir, assurant que l'équipe devait "se concentrer sur le jeu" et laisser ces sujets à la justice.
Le Real Madrid (2e, 17 points), champion d'Espagne en titre invaincu depuis 39 matches, défie dimanche au Metropolitano son voisin et rival l'Atlético Madrid (3e, 15 points), dernière équipe à l'avoir battu en Liga il y a un peu plus d'un an, pour poursuivre son impressionnante série.
Le technicien italien s'attend "comme d'habitude" à un match "compliqué, disputé, divertissant et très compétitif" contre un rival qui s'est renforcé cet été et qui "luttera avec nous et avec le FC Barcelone jusqu'au bout pour remporter le titre".
Après des débuts poussifs dans le jeu, "l'équipe s'est améliorée, malgré cette fin de match difficile mardi (contre Alavés, 3-2), nous sommes plus solidaires, plus compacts, plus efficaces. Nous sommes sur le bon chemin, et ce match est un test très important dans ce sens. Car avoir une équipe compacte est essentiel dans ce genre de rencontres", a estimé l'ex-coach milanais.
Privé de Mbappé, donc, mais aussi de David Alaba, Brahim Diaz et Dani Ceballos, le Real pourra compter sur le retour de l'international français Eduardo Camavinga, qui s'est entraîné avec le groupe avec un bandage autour du genou gauche.
"Camavinga est disponible demain, il s'est bien entraîné, il a bien récupéré. Maintenant il peut jouer 90 minutes... ou bien au contraire zéro", a résumé Ancelotti avec son sarcasme habituel.
Interrogé à deux reprises sur l'intention de certains supporters de l'Atlético de se rendre au match avec des masques pour pouvoir insulter le Brésilien Vinicius Junior sans être inquiétés par les autorités, l'entraîneur madrilène n'a pas souhaité réagir, assurant que l'équipe devait "se concentrer sur le jeu" et laisser ces sujets à la justice.