Il incarne le futsal marocain. Meneur de jeu de l’équipe nationale dans les années 2000 et désormais sélectionneur, Hicham Dguig est au four et au moulin dans la construction de cette discipline qu’il affectionne tant.
"Le fait d’avoir évolué au poste de meneur, qui est tactiquement le plus important dans ce sport comme dans tous les sports de salle tels le basket, le volley ou le handball, permet d’avoir une approche du jeu en perpétuelle évolution car vous êtes le lien entre le parquet et le coach", confie le sélectionneur de 52 ans au micro de la FIFA. "Et cette approche vous oblige d'une certaine manière à avoir un amour plus développé pour la discipline.
Sous sa houlette, le Maroc s'est qualifié pour la première fois de son histoire à la Coupe du Monde de Futsal de la FIFA en 2012. Une qualification qui a posé les jalons de la "Dguig touch". Quatre ans plus tard, le natif de Kénitra a débarqué avec ses hommes à Johannesburg pour sa première Coupe d’Afrique des Nations de Futsal de la CAF. Un tournoi qui a signé les prémices de la suprématie marocaine sur le continent africain, avec un succès en finale à la clé, 3-2 face à l’Égypte.
"Je n’ai que deux maîtres-mots : le travail et la persévérance. C’est ce qui me guide et qui me motive à longueur de journée. Mais mes débuts furent délicats, j’étais encore un jeune sélectionneur", admet Dguig. "J’ai appris à maîtriser certains aspects de la vie de tournoi sur le tas. Puis, en 2020, à domicile, c’était la confirmation et en 2024 la consécration [avec un troisième sacre de rang]."
Des exploits qui font du tacticien marocain un exemple à suivre et dont la ténacité et la longévité sont saluées par ses pairs : "Hicham est le meilleur entraîneur du Maroc, de l’Afrique et même au-delà", a déclaré Walid Regragui, le sélectionneur du Maroc, à propos de son aîné.
Au mois de septembre, c’est un nouveau défi auquel le triple champion d’Afrique devra faire face : la Coupe du Monde de Futsal de la FIFA, Ouzbékistan 2024. "On a hâte d’y être, nous avons des arguments à faire valoir et un statut de champion continental à défendre. Il va falloir bien se préparer afin d’être prêts le jour J." La Coupe du Monde est au cœur de l’entretien avec le Marocain à suivre sur le site de la FIFA.
"Le fait d’avoir évolué au poste de meneur, qui est tactiquement le plus important dans ce sport comme dans tous les sports de salle tels le basket, le volley ou le handball, permet d’avoir une approche du jeu en perpétuelle évolution car vous êtes le lien entre le parquet et le coach", confie le sélectionneur de 52 ans au micro de la FIFA. "Et cette approche vous oblige d'une certaine manière à avoir un amour plus développé pour la discipline.
Sous sa houlette, le Maroc s'est qualifié pour la première fois de son histoire à la Coupe du Monde de Futsal de la FIFA en 2012. Une qualification qui a posé les jalons de la "Dguig touch". Quatre ans plus tard, le natif de Kénitra a débarqué avec ses hommes à Johannesburg pour sa première Coupe d’Afrique des Nations de Futsal de la CAF. Un tournoi qui a signé les prémices de la suprématie marocaine sur le continent africain, avec un succès en finale à la clé, 3-2 face à l’Égypte.
"Je n’ai que deux maîtres-mots : le travail et la persévérance. C’est ce qui me guide et qui me motive à longueur de journée. Mais mes débuts furent délicats, j’étais encore un jeune sélectionneur", admet Dguig. "J’ai appris à maîtriser certains aspects de la vie de tournoi sur le tas. Puis, en 2020, à domicile, c’était la confirmation et en 2024 la consécration [avec un troisième sacre de rang]."
Des exploits qui font du tacticien marocain un exemple à suivre et dont la ténacité et la longévité sont saluées par ses pairs : "Hicham est le meilleur entraîneur du Maroc, de l’Afrique et même au-delà", a déclaré Walid Regragui, le sélectionneur du Maroc, à propos de son aîné.
Au mois de septembre, c’est un nouveau défi auquel le triple champion d’Afrique devra faire face : la Coupe du Monde de Futsal de la FIFA, Ouzbékistan 2024. "On a hâte d’y être, nous avons des arguments à faire valoir et un statut de champion continental à défendre. Il va falloir bien se préparer afin d’être prêts le jour J." La Coupe du Monde est au cœur de l’entretien avec le Marocain à suivre sur le site de la FIFA.