Dans une déclaration à la MAP, le patron du football mondial n’a pas caché sa satisfaction : « Je suis très content pour le Maroc qui a remporté son troisième sacre du CHAN et démontré qu’il mérite amplement le trophée », a-t-il affirmé. Tout en reconnaissant la difficulté de la rencontre, Infantino a insisté : « C’était un match dur, une vraie, vraie finale, mais le Maroc a prouvé qu’il était la meilleure équipe du tournoi. »
Le président de la FIFA a également rendu hommage à l’enthousiasme des spectateurs présents au stade Moi International de Kasarani, estimant qu’il reflétait l’essor du football sur le continent africain. « Je suis très heureux pour l’Afrique, pour le Maroc, et pour la FIFA », a-t-il ajouté, mettant en avant la vitalité et l’attractivité croissante du ballon rond en Afrique.
Déjà vainqueurs en 2018 et 2020, les Lions de l’Atlas locaux s’offrent un troisième titre continental grâce à des réalisations signées Youssef Mehri (27e) et Oussama Lamlaoui (44e, 80e), auteur d’un doublé dont un but exceptionnel marqué du milieu du terrain. Madagascar a résisté avec des buts de Félicité Mantasoa (9e) et Toky Rakotondraibe (68e), mais n’a pas pu empêcher le sacre marocain.
Avec ce nouveau trophée, le Maroc s’impose plus que jamais comme une référence du football africain, sous le regard admiratif du patron de la FIFA.
Le président de la FIFA a également rendu hommage à l’enthousiasme des spectateurs présents au stade Moi International de Kasarani, estimant qu’il reflétait l’essor du football sur le continent africain. « Je suis très heureux pour l’Afrique, pour le Maroc, et pour la FIFA », a-t-il ajouté, mettant en avant la vitalité et l’attractivité croissante du ballon rond en Afrique.
Déjà vainqueurs en 2018 et 2020, les Lions de l’Atlas locaux s’offrent un troisième titre continental grâce à des réalisations signées Youssef Mehri (27e) et Oussama Lamlaoui (44e, 80e), auteur d’un doublé dont un but exceptionnel marqué du milieu du terrain. Madagascar a résisté avec des buts de Félicité Mantasoa (9e) et Toky Rakotondraibe (68e), mais n’a pas pu empêcher le sacre marocain.
Avec ce nouveau trophée, le Maroc s’impose plus que jamais comme une référence du football africain, sous le regard admiratif du patron de la FIFA.
