Les Lionceaux de l’Atlas ont inscrit une nouvelle page dorée dans l’histoire du football national. Face à une équipe de France solide et combative, les coéquipiers d’Othmane Maamma ont livré une prestation héroïque, mêlant audace, détermination et sang-froid. Dès les premières minutes, le Maroc impose son rythme. Plus conquérants, les Lionceaux monopolisent le ballon, s’appuyant sur la vitesse fulgurante de leurs ailiers, Yassine Zabiri et Bakhty, pour mettre à rude épreuve la défense tricolore, emmenée par un Anthony Bermont intraitable. Les Bleuets, pragmatiques, misent sur des contres éclair orchestrés par les montées d’Elyaz Zidane et les incursions d’Anthony N’Guessan, mais peinent à concrétiser leurs occasions.
C’est finalement le Maroc qui ouvre le score à la 32e minute. Sur une action collective limpide, un centre tendu de Zabiri pousse le gardien français Lucas Olmeta à la faute, ce dernier marquant contre son camp sous la pression (1-0). Bousculés, les Bleuets réagissent avec caractère en seconde période. À la 59e minute, Luca Michal, bien servi par une passe laser d’Elyaz Zidane, remet les pendules à l’heure d’une frappe croisée imparable (1-1). La fin du temps réglementaire, marquée par des duels physiques et quelques décisions arbitrales contestées, ne permet pas de départager les deux équipes. La prolongation, disputée sous le poids de la fatigue, reste stérile malgré les efforts des deux camps. La qualification se joue finalement aux tirs au but.
C’est finalement le Maroc qui ouvre le score à la 32e minute. Sur une action collective limpide, un centre tendu de Zabiri pousse le gardien français Lucas Olmeta à la faute, ce dernier marquant contre son camp sous la pression (1-0). Bousculés, les Bleuets réagissent avec caractère en seconde période. À la 59e minute, Luca Michal, bien servi par une passe laser d’Elyaz Zidane, remet les pendules à l’heure d’une frappe croisée imparable (1-1). La fin du temps réglementaire, marquée par des duels physiques et quelques décisions arbitrales contestées, ne permet pas de départager les deux équipes. La prolongation, disputée sous le poids de la fatigue, reste stérile malgré les efforts des deux camps. La qualification se joue finalement aux tirs au but.
