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Dans un remake du quart de finale de la précédente édition, le Maroc affronte le Brésil au même stade de la Coupe du monde, en Ouzbékistan, dimanche à Boukhara. Comme un signe du destin, les Lions de l‘Atlas ont remporté un premier succès face à l’Iran en Coupe du monde pour se hisser parmi le top 8. Trois ans après avoir difficilement perdu face aux Brésiliens, les hommes de Hicham Dguig ont la possibilité de prendre leur revanche sur la Seleção et de se qualifier, pour la première fois de l’histoire du Royaume, en demi-finale du Mondial de futsal. «Vous avez vu que malgré les blessures, nous avons réussi à battre la meilleure équipe d’Asie», a indiqué Hicham Dguig. «En Afrique, nous n’avons malheureusement que la CAN tous les 4 ans. Tandis qu’en Asie, la Coupe continentale se joue tous les deux ans et le futsal est un sport très populaire. Vous voyez l’intérêt de disputer autant de matchs amicaux face à des équipes de renommée mondiale. Et je tiens à remercier la Fédération pour le travail qu’elle fait dans ce sens», a-t-il insisté dans une déclaration à nos confrères des médias présents à Boukhara.
La Seleção, le géant préféré des Lions de l’Atlas
Parmi les nations que le Maroc a régulièrement affrontées dans le cycle menant à cette Coupe du monde, le Brésil a été l’adversaire le plus fréquent. En tout, le Maroc et le Brésil se sont affrontés à 4 reprises en amical (1 victoire pour le Maroc, 2 pour le Brésil). «Ce n’est pas une surprise de rencontrer le Maroc à ce stade de la compétition, a indiqué Marquinhos Xavier, sélectionneur du Brésil. Celui qui a suivi leur cycle de préparation a pu voir le développement qu’ils ont connu et les excellents résultats obtenus. Ce sera un grand match et je suis convaincu que nous jouerons un match digne des quarts de finale», a conclu le technicien brésilien. La Seleção prend très au sérieux la rencontre, à tel point que l’ensemble de la délégation brésilienne était au complexe universel de Boukhara pour suivre le match de huitième de finale Maroc-Iran.
Dimanche à Boukhara, les Lions de l’Atlas ont une montagne à gravir. En plus des cadres blessés avant le tournoi, l’équipe nationale a perdu deux autres joueurs durant le premier tour. Face à l’Iran, Khalid Bouzid a également pointé à l’infirmerie. Avec Borite, qui joue presque en boitant, Hicham Dguig est pratiquement obligé de composer une nouvelle équipe pour chaque mi-temps, allant même jusqu’à impliquer le gardien remplaçant Bensellam, plus habile balle au pied.
Cependant, si les changements de stratégies et de joueurs ont donné à la sélection nationale une qualification en quart de finale, c’est surtout la combattivité de tout un groupe qui marque les esprits et qui fait de cette équipe la meilleure formation sportive de tous les temps au Maroc. Face au Brésil, les Lions de l’Atlas ont l’occasion d’écrire une nouvelle page de leur déjà brillante histoire.
Dimanche à Boukhara, les Lions de l’Atlas ont une montagne à gravir. En plus des cadres blessés avant le tournoi, l’équipe nationale a perdu deux autres joueurs durant le premier tour. Face à l’Iran, Khalid Bouzid a également pointé à l’infirmerie. Avec Borite, qui joue presque en boitant, Hicham Dguig est pratiquement obligé de composer une nouvelle équipe pour chaque mi-temps, allant même jusqu’à impliquer le gardien remplaçant Bensellam, plus habile balle au pied.
Cependant, si les changements de stratégies et de joueurs ont donné à la sélection nationale une qualification en quart de finale, c’est surtout la combattivité de tout un groupe qui marque les esprits et qui fait de cette équipe la meilleure formation sportive de tous les temps au Maroc. Face au Brésil, les Lions de l’Atlas ont l’occasion d’écrire une nouvelle page de leur déjà brillante histoire.
