Considérés comme l’une des équipes les plus abouties du sport marocain, les Lions de futsal entretiennent leur statut légendaire. Les hommes de Hicham Dguig ont écrit une nouvelle page de leur illustre histoire, en battant l’Iran (4-3) en huitième de finale de la Coupe du monde, organisée en Ouzbékistan (14 septembre – 6 octobre).
Les Marocains sont cueillis à froid par des Iraniens survoltés, qui ouvrent la marque par Mohammedhussein Derakhshani. Khalid Bouzid rétorque trois minutes plus tard, imité par Soufiane Charraoui qui force l’erreur du gardien de but iranien sur une remise en jeu. Le capitaine Soufiane El Mesrar fait le break, avant que Idriss Raïss El Fenni ne conclue la première période sur un but somptueux.
Après la pause, c’est une équipe iranienne revancharde qui foule le parquet de Boukhara. Hossein Tayebi et Moslem Oladghobad réduisent l’écart à un but. C’est alors que commence le jeu des nerfs. Recroquevillés en défense, les coéquipiers d’Anas El Ayyane peinent à créer du jeu et quand l’opportunité se présente, ils sont maladroits dans le dernier geste. En revanche, le jeu de position dans le camp marocain est intraitable, obligeant les Iraniens à procéder par tirs lointains.
Alors que tout le monde pense que le match s’est conclu par une victoire marocaine, l’arbitre sort une décision de son chapeau, en signalant le point de pénalty, alors que le temps s’était écoulé. Mais le destin était écrit : Sajad Yousef Khah voit sa tentative s’écraser sur le poteau, lançant les festivités côté marocain. Pour la première fois en trois rencontres, le Maroc bat l’Iran en Coupe du monde et avance vers les quarts de finale pour la deuxième fois d’affilée. Comme en Lituanie il y a trois ans, les hommes de Hicham Dguig font face au mastodonte brésilien. Ce sera dimanche face au Brésil (13h30) dans cette même salle couverte du complexe universel de Boukhara. D’ici là, les troupes de Dguig ont bien mérité de fêter cette qualification.
Les Marocains sont cueillis à froid par des Iraniens survoltés, qui ouvrent la marque par Mohammedhussein Derakhshani. Khalid Bouzid rétorque trois minutes plus tard, imité par Soufiane Charraoui qui force l’erreur du gardien de but iranien sur une remise en jeu. Le capitaine Soufiane El Mesrar fait le break, avant que Idriss Raïss El Fenni ne conclue la première période sur un but somptueux.
Après la pause, c’est une équipe iranienne revancharde qui foule le parquet de Boukhara. Hossein Tayebi et Moslem Oladghobad réduisent l’écart à un but. C’est alors que commence le jeu des nerfs. Recroquevillés en défense, les coéquipiers d’Anas El Ayyane peinent à créer du jeu et quand l’opportunité se présente, ils sont maladroits dans le dernier geste. En revanche, le jeu de position dans le camp marocain est intraitable, obligeant les Iraniens à procéder par tirs lointains.
Alors que tout le monde pense que le match s’est conclu par une victoire marocaine, l’arbitre sort une décision de son chapeau, en signalant le point de pénalty, alors que le temps s’était écoulé. Mais le destin était écrit : Sajad Yousef Khah voit sa tentative s’écraser sur le poteau, lançant les festivités côté marocain. Pour la première fois en trois rencontres, le Maroc bat l’Iran en Coupe du monde et avance vers les quarts de finale pour la deuxième fois d’affilée. Comme en Lituanie il y a trois ans, les hommes de Hicham Dguig font face au mastodonte brésilien. Ce sera dimanche face au Brésil (13h30) dans cette même salle couverte du complexe universel de Boukhara. D’ici là, les troupes de Dguig ont bien mérité de fêter cette qualification.