Diego Placente n’a pas tari d’éloges envers les jeunes Lions de l’Atlas. En conférence de presse d’avant-match, le sélectionneur argentin a salué le parcours du Maroc, qu’il qualifie « d’adversaire redoutable », estimant que ce que les Marocains ont accompli « n’a pas été facile ». À ses yeux, cette finale au Chili s’annonce comme l’une des plus disputées du tournoi, marquée par un profond respect entre deux équipes animées par la même ambition : écrire l’histoire.
Conscient de l’enjeu, Placente a reconnu que ses joueurs ressentent la pression propre à une finale mondiale, mais il y voit aussi « une expérience précieuse qu’il faut savourer ». L’ancien international, sacré champion du monde U-20 en 1997, rêve d’offrir à son pays une septième étoile. Pour cette dernière bataille, il ne prévoit que deux ou trois changements maximum dans son onze, préférant miser sur la stabilité et la cohésion tactique.
Dans le vestiaire argentin, la confiance règne. Le capitaine Julio Soler a évoqué « une ambiance très positive » et une solidarité exemplaire entre les joueurs, gage selon lui de la réussite collective. L’équipe, dit-il, vit un rêve qu’elle veut transformer en triomphe.
L’Argentine, forte de six sacres mondiaux dans cette catégorie, s’avance vers sa huitième finale avec la prudence des grandes nations. Son billet pour le dernier acte a été décroché de justesse face à la Colombie, grâce à un but décisif de Matteo Silvetti. Mais cette fois, c’est un Maroc conquérant, porté par tout un peuple, qui se dresse sur sa route. Dans le ciel de Santiago, la tension monte, et la promesse d’un duel mémorable plane déjà sur le stade.
Conscient de l’enjeu, Placente a reconnu que ses joueurs ressentent la pression propre à une finale mondiale, mais il y voit aussi « une expérience précieuse qu’il faut savourer ». L’ancien international, sacré champion du monde U-20 en 1997, rêve d’offrir à son pays une septième étoile. Pour cette dernière bataille, il ne prévoit que deux ou trois changements maximum dans son onze, préférant miser sur la stabilité et la cohésion tactique.
Dans le vestiaire argentin, la confiance règne. Le capitaine Julio Soler a évoqué « une ambiance très positive » et une solidarité exemplaire entre les joueurs, gage selon lui de la réussite collective. L’équipe, dit-il, vit un rêve qu’elle veut transformer en triomphe.
L’Argentine, forte de six sacres mondiaux dans cette catégorie, s’avance vers sa huitième finale avec la prudence des grandes nations. Son billet pour le dernier acte a été décroché de justesse face à la Colombie, grâce à un but décisif de Matteo Silvetti. Mais cette fois, c’est un Maroc conquérant, porté par tout un peuple, qui se dresse sur sa route. Dans le ciel de Santiago, la tension monte, et la promesse d’un duel mémorable plane déjà sur le stade.
