Après une campagne éliminatoire historique pour la CAN 2025, Walid Regragui a déjà une idée sur le onze type à l'aide duquel il tentera de décrocher la Coupe d’Afrique à domicile. S’exprimant en conférence d’après-match Maroc-Lesotho, coach Walid a assuré qu’il avait déjà des certitudes concernant certains éléments, mais que le choix des joueurs ne serait pas facile, compte tenu de la concurrence.
«J’ai des certitudes concernant le onze type, mais après, il y a beaucoup de concurrence. Lorsqu’on voit la qualité des joueurs que j’ai laissés sur le banc au cours du match contre le Lesotho ou ceux absents, à l’image d’Amine Adli et Ilias Akhomach, tous deux blessés, dont j’attends le retour, il y aussi Osame Sahraoui, Amir Richardson, Soufiane Diop, resté à Nice, Hakim Ziyech, Chadi Riad... c’est dire que le choix sera difficile à faire. La concurrence est cependant une bonne chose pour l’équipe», a estimé coach Walid.
Le technicien marocain a confié que le fait d’avoir autant de joueurs à disposition est une bonne chose pour la profondeur du banc afin d’éviter les scénarios du Mondial 2022 et de la CAN 2023. «Après la CAN en Côte d’Ivoire, nous avons énormément travaillé pour renforcer le banc et avoir une profondeur conséquente, pour éviter de tomber dans le même scénario de la CAN ou celui du Mondial, où nous n’avions pas un banc fort», a-t-il souligné.
«J’ai des certitudes concernant le onze type, mais après, il y a beaucoup de concurrence. Lorsqu’on voit la qualité des joueurs que j’ai laissés sur le banc au cours du match contre le Lesotho ou ceux absents, à l’image d’Amine Adli et Ilias Akhomach, tous deux blessés, dont j’attends le retour, il y aussi Osame Sahraoui, Amir Richardson, Soufiane Diop, resté à Nice, Hakim Ziyech, Chadi Riad... c’est dire que le choix sera difficile à faire. La concurrence est cependant une bonne chose pour l’équipe», a estimé coach Walid.
Le technicien marocain a confié que le fait d’avoir autant de joueurs à disposition est une bonne chose pour la profondeur du banc afin d’éviter les scénarios du Mondial 2022 et de la CAN 2023. «Après la CAN en Côte d’Ivoire, nous avons énormément travaillé pour renforcer le banc et avoir une profondeur conséquente, pour éviter de tomber dans le même scénario de la CAN ou celui du Mondial, où nous n’avions pas un banc fort», a-t-il souligné.