Présent en conférence de presse au Stade Moulay Abdellah après la victoire du Maroc face à la Zambie, lors de la troisième et dernière journée de la phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2025, Walid Regragui a livré une lecture mesurée de la prestation de ses joueurs. Le sélectionneur national a d’abord tenu à relativiser l’ampleur du score. « Pour moi, le contenu est quasiment le même que lors de nos autres matchs. Mais inscrire un but très tôt change toute la donne », a-t-il déclaré.
Le technicien marocain a ensuite insisté sur l’apport du public, évoquant une atmosphère portée par l’adhésion des tribunes. « On joue à 12...On sent tout le pays derrière nous. Ils ont crié et chanté depuis la première minute. C’est un match référence en termes d’union. Mais désormais, chaque rencontre sera une finale », a-t-il affirmé, donnant le ton pour la suite de la compétition.
Satisfait de l’état d’esprit affiché par son groupe, Regragui a mis en avant la sérénité collective. « Les joueurs sont calmes, soudés et conscients de l’objectif. Il faut savoir gérer la pression positivement et se libérer. S’ils viennent célébrer avec moi après un but, tant mieux. Mais ce qui m’importe avant tout, c’est de gagner la Coupe », a-t-il souligné.
Interrogé sur ses choix tactiques et la gestion de l’effectif, le sélectionneur a assumé la rotation opérée et la répartition du temps de jeu. « Nous avons pu répartir les minutes et effectuer des changements assez tôt. Nous avons aussi protégé Achraf. Mon rôle est de préserver les joueurs pour qu’ils montent en puissance. À moi de faire les bons choix et de bien gérer », a-t-il indiqué.
Regragui est également revenu sur la profondeur de son groupe et la nécessité d’impliquer l’ensemble des joueurs. « Nous avons 28 joueurs, donc des options. Ceux qui débutent doivent être à 100 %. Rien n’est figé. Il fallait voir tout le monde. Nous sommes une famille », a-t-il rappelé, évoquant certains ajustements liés à l’état physique de plusieurs éléments.
Sur le cas de Sofyan Amrabat, le sélectionneur national a tenu à lever toute ambiguïté. « Amrabat reste Amrabat, c’est un joueur capital ! Il est arrivé avec une cheville diminuée, mais nous aurons besoin de lui. Il n’y a pas de titulaires indiscutables ni d’équipe-type. Nous aurons besoin de joueurs frais, physiquement et mentalement, pour les matchs à venir », a-t-il insisté.
Revenant sur la nature même de la compétition, Walid Regragui a rappelé la difficulté historique de la tournoi. « Cette CAN a toujours été compliquée. La phase de groupes sert de tour de chauffe pour amener les joueurs en huitièmes avec de la confiance. Nous restons humbles, mais avec l’obligation de nous qualifier. Ensuite, ce seront des matchs à élimination directe. Il faudra être unis et respecter nos adversaires. L’objectif, c’est l’union sacrée. On y va ensemble », a-t-il martelé.
Désigné homme du match, Ayoub El Kaabi a, de son côté, salué la prestation collective tout en reconnaissant la difficulté de l’opposition. L’attaquant marocain a mis en avant l’importance des trois points engrangés, remercié ses coéquipiers pour leur soutien et insisté sur la nécessité de tirer des enseignements de chaque rencontre en vue de la suite du tournoi.
En face, le sélectionneur zambien Moses Sichone a reconnu la supériorité du Maroc. Le technicien a admis que son équipe n’avait pas anticipé un tel scénario, qualifiant la rencontre de difficile, tout en félicitant les Lions de l’Atlas pour leur prestation. Il a également rappelé que sa sélection reste engagée dans un processus de construction et de développement.
Grâce à ce succès, le Maroc aborde désormais la phase à élimination directe avec confiance, dans un contexte où, selon les mots de son sélectionneur, chaque match sera désormais abordé comme une finale.
Le technicien marocain a ensuite insisté sur l’apport du public, évoquant une atmosphère portée par l’adhésion des tribunes. « On joue à 12...On sent tout le pays derrière nous. Ils ont crié et chanté depuis la première minute. C’est un match référence en termes d’union. Mais désormais, chaque rencontre sera une finale », a-t-il affirmé, donnant le ton pour la suite de la compétition.
Satisfait de l’état d’esprit affiché par son groupe, Regragui a mis en avant la sérénité collective. « Les joueurs sont calmes, soudés et conscients de l’objectif. Il faut savoir gérer la pression positivement et se libérer. S’ils viennent célébrer avec moi après un but, tant mieux. Mais ce qui m’importe avant tout, c’est de gagner la Coupe », a-t-il souligné.
Interrogé sur ses choix tactiques et la gestion de l’effectif, le sélectionneur a assumé la rotation opérée et la répartition du temps de jeu. « Nous avons pu répartir les minutes et effectuer des changements assez tôt. Nous avons aussi protégé Achraf. Mon rôle est de préserver les joueurs pour qu’ils montent en puissance. À moi de faire les bons choix et de bien gérer », a-t-il indiqué.
Regragui est également revenu sur la profondeur de son groupe et la nécessité d’impliquer l’ensemble des joueurs. « Nous avons 28 joueurs, donc des options. Ceux qui débutent doivent être à 100 %. Rien n’est figé. Il fallait voir tout le monde. Nous sommes une famille », a-t-il rappelé, évoquant certains ajustements liés à l’état physique de plusieurs éléments.
Sur le cas de Sofyan Amrabat, le sélectionneur national a tenu à lever toute ambiguïté. « Amrabat reste Amrabat, c’est un joueur capital ! Il est arrivé avec une cheville diminuée, mais nous aurons besoin de lui. Il n’y a pas de titulaires indiscutables ni d’équipe-type. Nous aurons besoin de joueurs frais, physiquement et mentalement, pour les matchs à venir », a-t-il insisté.
Revenant sur la nature même de la compétition, Walid Regragui a rappelé la difficulté historique de la tournoi. « Cette CAN a toujours été compliquée. La phase de groupes sert de tour de chauffe pour amener les joueurs en huitièmes avec de la confiance. Nous restons humbles, mais avec l’obligation de nous qualifier. Ensuite, ce seront des matchs à élimination directe. Il faudra être unis et respecter nos adversaires. L’objectif, c’est l’union sacrée. On y va ensemble », a-t-il martelé.
Désigné homme du match, Ayoub El Kaabi a, de son côté, salué la prestation collective tout en reconnaissant la difficulté de l’opposition. L’attaquant marocain a mis en avant l’importance des trois points engrangés, remercié ses coéquipiers pour leur soutien et insisté sur la nécessité de tirer des enseignements de chaque rencontre en vue de la suite du tournoi.
En face, le sélectionneur zambien Moses Sichone a reconnu la supériorité du Maroc. Le technicien a admis que son équipe n’avait pas anticipé un tel scénario, qualifiant la rencontre de difficile, tout en félicitant les Lions de l’Atlas pour leur prestation. Il a également rappelé que sa sélection reste engagée dans un processus de construction et de développement.
Grâce à ce succès, le Maroc aborde désormais la phase à élimination directe avec confiance, dans un contexte où, selon les mots de son sélectionneur, chaque match sera désormais abordé comme une finale.
