Sous les projecteurs du complexe Moulay Abdellah, le Maroc s’est imposé jeudi soir sur le fil face au Bahreïn (1–0). Une victoire sans éclat, mais porteuse de leçons. Pour Walid Regragui, ce match amical était l’occasion de « mettre le doigt sur les lacunes » d’un groupe déjà qualifié pour le Mondial 2026, mais toujours en quête d’équilibre.
Le sélectionneur national a reconnu que certains joueurs avaient sous-estimé leur adversaire, une erreur que le Bahreïn a su exploiter par une opposition solide et disciplinée. « Le match a été difficile, c’est exactement ce à quoi je m’attendais », a confié Regragui.
Privé de plusieurs cadres blessés, le technicien marocain a dû composer avec un effectif remanié, misant sur la profondeur de banc pour inverser la tendance. « Nous avons la chance d’avoir un groupe capable de changer la trajectoire d’un match », a-t-il souligné, tout en pointant « un problème de rythme et de projection dans la surface ».
Côté bahreïni, l’entraîneur Dragan Talajic n’a pas tari d’éloges sur la qualité du onze marocain, saluant « une équipe de grande valeur qui a créé beaucoup de difficultés ». Pour lui, affronter les demi-finalistes du dernier Mondial représente « une belle leçon et une formidable opportunité d’apprentissage » pour ses joueurs.
Le but victorieux signé Jawad El Yamiq dans le temps additionnel (90+4e) a finalement scellé le sort d’une rencontre disputée, confirmant le mental d’une équipe qui refuse de renoncer.
Déjà assurés de leur billet pour le Mondial après la démonstration face au Niger (5–0) en septembre, les Lions de l’Atlas boucleront leur campagne qualificative mardi prochain face au Congo. Une occasion rêvée de prolonger leur série victorieuse et, pourquoi pas, de battre un nouveau record. En effet, avec ce succès face au Bahreïn, les Lions de l’Atlas enchaînent une 15ᵉ victoire consécutive, égalant le record mondial détenu par l’Allemagne et l’Espagne, et confirmant leur statut de grande nation du football.
Le sélectionneur national a reconnu que certains joueurs avaient sous-estimé leur adversaire, une erreur que le Bahreïn a su exploiter par une opposition solide et disciplinée. « Le match a été difficile, c’est exactement ce à quoi je m’attendais », a confié Regragui.
Privé de plusieurs cadres blessés, le technicien marocain a dû composer avec un effectif remanié, misant sur la profondeur de banc pour inverser la tendance. « Nous avons la chance d’avoir un groupe capable de changer la trajectoire d’un match », a-t-il souligné, tout en pointant « un problème de rythme et de projection dans la surface ».
Côté bahreïni, l’entraîneur Dragan Talajic n’a pas tari d’éloges sur la qualité du onze marocain, saluant « une équipe de grande valeur qui a créé beaucoup de difficultés ». Pour lui, affronter les demi-finalistes du dernier Mondial représente « une belle leçon et une formidable opportunité d’apprentissage » pour ses joueurs.
Le but victorieux signé Jawad El Yamiq dans le temps additionnel (90+4e) a finalement scellé le sort d’une rencontre disputée, confirmant le mental d’une équipe qui refuse de renoncer.
Déjà assurés de leur billet pour le Mondial après la démonstration face au Niger (5–0) en septembre, les Lions de l’Atlas boucleront leur campagne qualificative mardi prochain face au Congo. Une occasion rêvée de prolonger leur série victorieuse et, pourquoi pas, de battre un nouveau record. En effet, avec ce succès face au Bahreïn, les Lions de l’Atlas enchaînent une 15ᵉ victoire consécutive, égalant le record mondial détenu par l’Allemagne et l’Espagne, et confirmant leur statut de grande nation du football.
