Une nouvelle étape vous attend, alors retroussez vos manches et surtout ne dormez pas sur vos lauriers. En fait, améliorer son employabilité est devenue une exigence du marché du travail, que ce soit par le biais de la formation continue, de l'implication du collaborateur, de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, la mobilité… tous les moyens sont importants pour booster la compétitivité de l'entreprise dans un marché très concurrentiel. «Nous sommes dans un contexte où nous devons utiliser toutes les armes possibles pour accroître l'employabilité de nos collaborateurs.
Ce qui est crucial est pris en charge par le plan de formation», précise un DRH. Par définition, «l'employabilité est la capacité d'un salarié à conserver ou à obtenir un emploi, dans sa fonction ou dans une autre, à son niveau hiérarchique ou à un autre». Cela suppose une gestion d'informations portant sur les emplois de demain (ceux émergents et les profils requis), pour cela il faut garder l'?il sur l'évolution du marché via les offres d'emplois, la politique de l'Etat (Plan Emergence, Plan Azur, Formation 10.000 ingénieurs…) et également les attentes des entreprises face à la mondialisation.
Le cadre doit également bien connaître ses compétences et ses capacités d'adaptation personnelles. Pour cela un bilan de compétences s'impose pour connaître ses points forts et ses points faibles. La connaissance des moyens de formation et d'acquisition de compétences est également une nécessité. Il faut rester au courant des nouveaux masters ou diplômes qui se créent pour suivre les exigences du marché. Il n'y a pas de mal à ce que le cadre demande à son employeur de lui financer une formation continue.
Certains acceptent tandis que d'autres ne veulent pas franchir ce pas de crainte que les cadres leur faussent compagnie une fois le diplôme en poche. D'autres plus avertis, font signer à leurs collaborateurs un contrat d'exclusivité durant trois ou cinq ans et en cas de démission, ces derniers passent à la caisse et remboursent l'équivalent des frais de la formation.
Que ce soit avec ses propres moyens financiers, ou via l'entreprise, le collaborateur a intérêt à s'investir à fond afin d'améliorer sa situation actuelle et évoluer rapidement. Il ne faut pas non plus perdre de vue les opportunités de carrières et de mobilité. Et pour cause, c'est un moyen rapide de booster sa carrière au lieu de rester à moisir dans son coin et à attendre que le patron daigne s'en soucier. Fini le temps, où la passivité était un atout. Un autre point à ne pas négliger, c'est la maîtrise de ses aptitudes à la mobilité géographique et fonctionnelle.
Ce volet est important à connaître pour pouvoir saisir toutes les opportunités offertes par l'entreprise elle-même en cas d'ouverture d'une antenne régionale ou encore en cas d'offres d'emploi intéressantes dans une autre ville. Une chose est sûre, le fait d'améliorer son employabilité est une nécessité, que ce soit pour les débutants ou pour les anciens.
Même pour ceux qui débutent avec un contrat Anapec et sont sous payés, il ne faut pas qu'il perdent de vue que ce n'est que le début de leur carrière, qu'il leur faut de l'expérience pour postuler à des postes plus intéressants et surtout mieux rémunérés. Ce n'est qu'une étape dans leur vie et il faut bien en
profiter pour forger une carrière solide.
Ce qui est crucial est pris en charge par le plan de formation», précise un DRH. Par définition, «l'employabilité est la capacité d'un salarié à conserver ou à obtenir un emploi, dans sa fonction ou dans une autre, à son niveau hiérarchique ou à un autre». Cela suppose une gestion d'informations portant sur les emplois de demain (ceux émergents et les profils requis), pour cela il faut garder l'?il sur l'évolution du marché via les offres d'emplois, la politique de l'Etat (Plan Emergence, Plan Azur, Formation 10.000 ingénieurs…) et également les attentes des entreprises face à la mondialisation.
Le cadre doit également bien connaître ses compétences et ses capacités d'adaptation personnelles. Pour cela un bilan de compétences s'impose pour connaître ses points forts et ses points faibles. La connaissance des moyens de formation et d'acquisition de compétences est également une nécessité. Il faut rester au courant des nouveaux masters ou diplômes qui se créent pour suivre les exigences du marché. Il n'y a pas de mal à ce que le cadre demande à son employeur de lui financer une formation continue.
Certains acceptent tandis que d'autres ne veulent pas franchir ce pas de crainte que les cadres leur faussent compagnie une fois le diplôme en poche. D'autres plus avertis, font signer à leurs collaborateurs un contrat d'exclusivité durant trois ou cinq ans et en cas de démission, ces derniers passent à la caisse et remboursent l'équivalent des frais de la formation.
Que ce soit avec ses propres moyens financiers, ou via l'entreprise, le collaborateur a intérêt à s'investir à fond afin d'améliorer sa situation actuelle et évoluer rapidement. Il ne faut pas non plus perdre de vue les opportunités de carrières et de mobilité. Et pour cause, c'est un moyen rapide de booster sa carrière au lieu de rester à moisir dans son coin et à attendre que le patron daigne s'en soucier. Fini le temps, où la passivité était un atout. Un autre point à ne pas négliger, c'est la maîtrise de ses aptitudes à la mobilité géographique et fonctionnelle.
Ce volet est important à connaître pour pouvoir saisir toutes les opportunités offertes par l'entreprise elle-même en cas d'ouverture d'une antenne régionale ou encore en cas d'offres d'emploi intéressantes dans une autre ville. Une chose est sûre, le fait d'améliorer son employabilité est une nécessité, que ce soit pour les débutants ou pour les anciens.
Même pour ceux qui débutent avec un contrat Anapec et sont sous payés, il ne faut pas qu'il perdent de vue que ce n'est que le début de leur carrière, qu'il leur faut de l'expérience pour postuler à des postes plus intéressants et surtout mieux rémunérés. Ce n'est qu'une étape dans leur vie et il faut bien en
profiter pour forger une carrière solide.
