Une des étoiles brillantes dans le ciel du tennis féminin au Maroc, Lina Bennani fonce dans l'aventure du WTA, armée d'une grande motivation. Son objectif pour 2011, gravir les rangs pour atterrir parmi les 500 premières raquettes féminines. Une mission qui s'annonce trop ambitieuse, vu le niveau de plus en plus relevé du tennis mondial. Mais rien n'est impossible pour la benjamine de l'équipe du Maroc de la Fed Cup est plus déterminée que jamais, surtout dans un contexte qui semble plus favorable.
Soutenue et encouragée d'abord par ses parents et son entourage, Lina dispose aujourd'hui d'un sponsor, en l'occurrence Suzuki. Le constructeur automobile a parrainé juste. Satisfait du bilan positif de Lina, il décide de prolonger d'un an le contrat signé en août dernier. L'hirondelle du tennis national bénéficie en plus d'une aide du ministère, qui prend en charge les tournois à l'étranger et les entraînements. L'atout majeur est le centre national de tennis Mohammed V, qui vient d'être inauguré en décembre dernier. «Aujourd'hui, on peut ambitionner d'évoluer à l'échelle mondiale. Le centre national de tennis va me permettre de m'entraîner plus régulièrement, aux côtés de Fatima-Zahra El Allami, tout en disposant de temps pour suivre mes études. On aura un staff technique formé : Bahia Mohtassine, Mehdi Tahiri et Mounir Laarej, en plus d'un coach français qui nous suit 24h sur 24», s'est félicitée Lina.
Après une période de trêve, «la temporada», comme elle l'articule si bien en espagnol, sa quatrième langue courante, Lina démarrera un programme intensif d'entraînement en préparation de sa saison 2011. En effet, Lina semble bien préparée psychologiquement à ses 20 tournois en Europe, notamment en France, Grande-Bretagne, Italie, Belgique, Espagne, en plus des 5 tournois internationaux organisés au Maroc, deux à 25.000 dollars en janvier et trois à 10.000 dollars en juillet, sans oublier le prestigieux Grand Prix Lalla Meriem en mai 2011.
Fan de Clijsters et de Federer, Lina Bennani avait fait ses premiers pas au RUC. A l'âge de 6 ans, elle y joue déjà son premier tournoi. Supervisée d'abord par Mohamed Benammar de 10 à 19 ans, elle poursuit son chemin de star montante, cette année au COC, sous les yeux bienveillants de Khalifa, qui a coaché Karim Alami et Bahia Mohtassine. Parallèlement aux épreuves des courts, Lina n'a pas manqué ses cours et ses examens. Elle a obtenu, en effet, son bac par correspondance et poursuit ses études supérieures en décoration d'intérieur. Le choix d'une branche artistique est révélateur de la personnalité de Lina, qui envisage, ainsi, d'allier l'art à la manière pour présenter un jeu haut en couleurs.
Soutenue et encouragée d'abord par ses parents et son entourage, Lina dispose aujourd'hui d'un sponsor, en l'occurrence Suzuki. Le constructeur automobile a parrainé juste. Satisfait du bilan positif de Lina, il décide de prolonger d'un an le contrat signé en août dernier. L'hirondelle du tennis national bénéficie en plus d'une aide du ministère, qui prend en charge les tournois à l'étranger et les entraînements. L'atout majeur est le centre national de tennis Mohammed V, qui vient d'être inauguré en décembre dernier. «Aujourd'hui, on peut ambitionner d'évoluer à l'échelle mondiale. Le centre national de tennis va me permettre de m'entraîner plus régulièrement, aux côtés de Fatima-Zahra El Allami, tout en disposant de temps pour suivre mes études. On aura un staff technique formé : Bahia Mohtassine, Mehdi Tahiri et Mounir Laarej, en plus d'un coach français qui nous suit 24h sur 24», s'est félicitée Lina.
Après une période de trêve, «la temporada», comme elle l'articule si bien en espagnol, sa quatrième langue courante, Lina démarrera un programme intensif d'entraînement en préparation de sa saison 2011. En effet, Lina semble bien préparée psychologiquement à ses 20 tournois en Europe, notamment en France, Grande-Bretagne, Italie, Belgique, Espagne, en plus des 5 tournois internationaux organisés au Maroc, deux à 25.000 dollars en janvier et trois à 10.000 dollars en juillet, sans oublier le prestigieux Grand Prix Lalla Meriem en mai 2011.
Fan de Clijsters et de Federer, Lina Bennani avait fait ses premiers pas au RUC. A l'âge de 6 ans, elle y joue déjà son premier tournoi. Supervisée d'abord par Mohamed Benammar de 10 à 19 ans, elle poursuit son chemin de star montante, cette année au COC, sous les yeux bienveillants de Khalifa, qui a coaché Karim Alami et Bahia Mohtassine. Parallèlement aux épreuves des courts, Lina n'a pas manqué ses cours et ses examens. Elle a obtenu, en effet, son bac par correspondance et poursuit ses études supérieures en décoration d'intérieur. Le choix d'une branche artistique est révélateur de la personnalité de Lina, qui envisage, ainsi, d'allier l'art à la manière pour présenter un jeu haut en couleurs.