Nous avons abordé ce road-trip avec curiosité à bord de la Renault Megane E-Tech 100% électrique, lors des essais de presse avec Renault Maroc, pour un trajet de Casablanca à Marrakech, soit plus de 240 km. Après la présentation du véhicule pendant le Ramadan, Renault nous a invités à un essai dynamique. Nous avons pris le volant de cette Megane E-Tech, équipée d’une batterie de 60 kWh et d’une puissance de 220 ch. L’autonomie maximale annoncée est de 454 km WLTP en conditions urbaines. Notre trajet, entièrement sur autoroute, a révélé une autonomie différente, mais convaincante.
Avec une charge de 100%, nous avons testé deux scénarios. À l’aller, nous avons programmé le régulateur de vitesse adaptatif à 110 km/h tout au long du trajet, en activant le mode Éco, avec quelques petites accélérations dépassant les 110 km/h. À notre arrivée, il restait 36% de batterie, offrant plus de 100 km d’autonomie. Lors du retour, nous avons réglé la vitesse à 125 km/h en mode Comfort (moins économique, mais plus puissant que l’Éco) et sommes arrivés à Casablanca avec 26% de batterie restante. La comparaison de ces deux cas montre une économie de 10% de batterie en mode Éco. Cela peut sembler peu, mais peut être crucial si la borne de recharge n’est pas à proximité. À l’aller, nous étions hésitants, craignant de ne pas atteindre la destination avec une seule recharge et de devoir nous arrêter dans une aire de repos pour recharger. C’est pourquoi nous avons choisi le mode le plus économique et une vitesse optimale. À notre surprise, nous avons conservé un tiers de la charge.
Lors de notre retour à Casablanca, nous avons rechargé notre véhicule sur une borne de recharge rapide dans un parking public. Avec une charge initiale de 24%, nous avons laissé le véhicule pendant environ une heure, et à notre retour, il était déjà à 93%. Nous avons ensuite utilisé la voiture pendant quelques jours en ville, et avons constaté que l’autonomie change radicalement avec des déplacements 100% urbains. L’autonomie est nettement améliorée, grâce notamment à la e-pedal et au frein régénératif, réglable sur trois niveaux de régénération. Dès que nous levons le pied de la pédale d’accélérateur, le véhicule commence à freiner de manière autonome, générant ainsi de l’électricité pour la batterie, sans toutefois s’arrêter complètement. L’expérience de conduite était excellente, et ce premier voyage en véhicule électrique a été un succès. Cependant, il reste difficile de planifier des trajets plus longs, ou vers certaines destinations au Maroc, en raison du manque de bornes de recharge installées dans tout le royaume.
La planche de bord est finement travaillée, avec du tissu gris surpiqué de blanc et du plastique moussé. Des éléments comme le plastique effet aluminium et bois accentuent la présentation de l’habitacle, complétée par un éclairage d’ambiance multicolore. L’ergonomie est soignée : tout est à portée de main. Autour du volant et derrière, de nombreuses commandes sont disponibles, notamment pour le réglage de l’e-pedal, semblable à des palettes, et un levier de vitesse inspiré de Mercedes.
L’habitacle n’est pas le plus spacieux de Renault, avec une garde au toit un peu basse et un montant C incliné qui limite la visibilité arrière. Pour compenser, Renault a intégré une caméra affichée dans le rétroviseur intérieur. Sa qualité est bonne, mais les phares des véhicules derrière peuvent causer des éblouissements nocturnes, réduisant légèrement la visibilité.
Avec une charge de 100%, nous avons testé deux scénarios. À l’aller, nous avons programmé le régulateur de vitesse adaptatif à 110 km/h tout au long du trajet, en activant le mode Éco, avec quelques petites accélérations dépassant les 110 km/h. À notre arrivée, il restait 36% de batterie, offrant plus de 100 km d’autonomie. Lors du retour, nous avons réglé la vitesse à 125 km/h en mode Comfort (moins économique, mais plus puissant que l’Éco) et sommes arrivés à Casablanca avec 26% de batterie restante. La comparaison de ces deux cas montre une économie de 10% de batterie en mode Éco. Cela peut sembler peu, mais peut être crucial si la borne de recharge n’est pas à proximité. À l’aller, nous étions hésitants, craignant de ne pas atteindre la destination avec une seule recharge et de devoir nous arrêter dans une aire de repos pour recharger. C’est pourquoi nous avons choisi le mode le plus économique et une vitesse optimale. À notre surprise, nous avons conservé un tiers de la charge.
Lors de notre retour à Casablanca, nous avons rechargé notre véhicule sur une borne de recharge rapide dans un parking public. Avec une charge initiale de 24%, nous avons laissé le véhicule pendant environ une heure, et à notre retour, il était déjà à 93%. Nous avons ensuite utilisé la voiture pendant quelques jours en ville, et avons constaté que l’autonomie change radicalement avec des déplacements 100% urbains. L’autonomie est nettement améliorée, grâce notamment à la e-pedal et au frein régénératif, réglable sur trois niveaux de régénération. Dès que nous levons le pied de la pédale d’accélérateur, le véhicule commence à freiner de manière autonome, générant ainsi de l’électricité pour la batterie, sans toutefois s’arrêter complètement. L’expérience de conduite était excellente, et ce premier voyage en véhicule électrique a été un succès. Cependant, il reste difficile de planifier des trajets plus longs, ou vers certaines destinations au Maroc, en raison du manque de bornes de recharge installées dans tout le royaume.
Nouvel intérieur pour la Megane E-Tech
L’intérieur de la Megane E-Tech a les caractéristiques des nouveaux modèles électrifiés de Renault, alignés avec la Renaulution, la révolution électrique de la marque. Des modèles comme l’Austral et l’Arkana, que nous avons déjà testés dans nos essais du «Matin Auto», ont été produits après la Megane E-Tech. Lancée il y a deux ans en France, la Megane E-Tech est le premier modèle à incarner cette révolution.La planche de bord est finement travaillée, avec du tissu gris surpiqué de blanc et du plastique moussé. Des éléments comme le plastique effet aluminium et bois accentuent la présentation de l’habitacle, complétée par un éclairage d’ambiance multicolore. L’ergonomie est soignée : tout est à portée de main. Autour du volant et derrière, de nombreuses commandes sont disponibles, notamment pour le réglage de l’e-pedal, semblable à des palettes, et un levier de vitesse inspiré de Mercedes.
L’habitacle n’est pas le plus spacieux de Renault, avec une garde au toit un peu basse et un montant C incliné qui limite la visibilité arrière. Pour compenser, Renault a intégré une caméra affichée dans le rétroviseur intérieur. Sa qualité est bonne, mais les phares des véhicules derrière peuvent causer des éblouissements nocturnes, réduisant légèrement la visibilité.