Cette manifestation culturelle, destinée à tous les publics et à tous les âges, vise à rapprocher la culture et l’art aussi bien des passionnés que de ceux qui s’en sentent éloignés, a indiqué M. Binebine dans un mot publié dans le catalogue relatif à cet événement.
L’acteur culturel et artiste plasticien a ajouté qu’en se tenant en même temps que la Foire d'art contemporain africain «1-54», le Festival rassemblera dans la ville ocre des romanciers, poètes, essayistes, philosophes, intellectuels et artistes originaires des quatre coins du continent et de ses diasporas pour raconter l’Afrique d’hier, dire l’Afrique d’aujourd’hui et penser l’Afrique de demain.
La création du FLAM par l’association «WE ART AFRICA//NS» émane de la forte conviction de redécouvrir, redynamiser et renforcer les liens historiques indéfectibles et inaltérables qui unissent tous les Africains, a-t-il relevé.
«Au-delà de leurs identités plurielles, de la diversité des langues, des religions qu’ils pratiquent et de leurs géographies diverses et éloignées, les Africains et les diasporas issues du continent ont en partage une mémoire et une histoire communes et aspirent à un monde nouveau, accueillant et vivable pour tous», a-t-il souligné, notant que «ce sont ces liens, cette mémoire et cet espoir que nous célébrons au FLAM».
«Qui, mieux que les écrivains, saurait dire le chaos du monde actuel, l’inconnu du monde qui vient et l’espoir de le rendre meilleur. Nous leur proposons de le faire à partir de chez eux, ici, en terre africaine», a conclu le président et fondateur du Festival du livre africain de Marrakech.
L’acteur culturel et artiste plasticien a ajouté qu’en se tenant en même temps que la Foire d'art contemporain africain «1-54», le Festival rassemblera dans la ville ocre des romanciers, poètes, essayistes, philosophes, intellectuels et artistes originaires des quatre coins du continent et de ses diasporas pour raconter l’Afrique d’hier, dire l’Afrique d’aujourd’hui et penser l’Afrique de demain.
La création du FLAM par l’association «WE ART AFRICA//NS» émane de la forte conviction de redécouvrir, redynamiser et renforcer les liens historiques indéfectibles et inaltérables qui unissent tous les Africains, a-t-il relevé.
«Au-delà de leurs identités plurielles, de la diversité des langues, des religions qu’ils pratiquent et de leurs géographies diverses et éloignées, les Africains et les diasporas issues du continent ont en partage une mémoire et une histoire communes et aspirent à un monde nouveau, accueillant et vivable pour tous», a-t-il souligné, notant que «ce sont ces liens, cette mémoire et cet espoir que nous célébrons au FLAM».
«Qui, mieux que les écrivains, saurait dire le chaos du monde actuel, l’inconnu du monde qui vient et l’espoir de le rendre meilleur. Nous leur proposons de le faire à partir de chez eux, ici, en terre africaine», a conclu le président et fondateur du Festival du livre africain de Marrakech.