Redonner le goût de la lecture aux Marocains et promouvoir le dialogue entre voisins ! Le Festival du livre africain de Marrakech (FLAM) se prépare à faire son retour du 8 au 11 février 2024. Cet événement animera surtout le Centre socioculturel de la Fondation Ali Zaoua «Les Étoiles de Jamaâ El Fna», mais aussi plusieurs autres espaces : Es Saadi Marrakech Resort, l’Hôtel de ville, Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), Université Cadi Ayyad, GEC Marrakech, et différents lycées de l’Académie...
Parmi les auteurs invités, il y a Jean-Marie Gustave Le Clézio, Prix Nobel de littérature en 2008. Cet écrivain franco-mauricien, fortement imprégné par ses origines bretonne et mauricienne, a rapidement connu le succès avec son premier roman publié, «Le Procès-verbal» (1963), qui lui a valu le Prix Renaudot. Suivront de nombreux autres Prix. Jean-Marie Gustave Le Clézio est désormais le président d’honneur du Festival. On cite Couto Mia, l’écrivain et poète mozambicain de langue portugaise. Auteur de plus de trente livres couvrant différents genres, il a reçu une dizaine de Prix, dont le Prix Camões (2013), le Prix Neustad (2014) considéré comme le Prix Nobel nord-américain, et a été finaliste pour l’un des Prix internationaux les plus prestigieux, le Man Booker Price (2016). Le Festival réunit des auteurs (romanciers, poètes, essayistes, philosophes et intellectuels) africains d’origine et de cœur, ainsi que des représentants de la diaspora du continent. «Cet événement a pour objectif de dire et de penser l’Afrique et le monde à partir de la terre africaine. Se parler entre voisins. Sans tabous. Sans aspérités. Tels sont nos crédos. Qui, mieux que les écrivains, saurait dire le chaos du monde actuel, l’inconnu du monde qui vient et l’espoir de le rendre meilleur. Nous leur proposons de le faire à partir de chez eux, ici, en terre africaine», souligne l’artiste Mahi Binebine, président du FLAM.
Une belle représentativité de la littérature africaine
Pour cette deuxième édition, le FLAM invite plus de 50 écrivains en provenance de 25 pays. Un parterre de grands noms de la littérature ainsi que des plumes émergentes, écrivant et parlant l’arabe, le français, l’anglais, le portugais ou encore le créole, se réuniront à Marrakech l’africaine pour échanger entre eux et avec les passionnés de lecture.Parmi les auteurs invités, il y a Jean-Marie Gustave Le Clézio, Prix Nobel de littérature en 2008. Cet écrivain franco-mauricien, fortement imprégné par ses origines bretonne et mauricienne, a rapidement connu le succès avec son premier roman publié, «Le Procès-verbal» (1963), qui lui a valu le Prix Renaudot. Suivront de nombreux autres Prix. Jean-Marie Gustave Le Clézio est désormais le président d’honneur du Festival. On cite Couto Mia, l’écrivain et poète mozambicain de langue portugaise. Auteur de plus de trente livres couvrant différents genres, il a reçu une dizaine de Prix, dont le Prix Camões (2013), le Prix Neustad (2014) considéré comme le Prix Nobel nord-américain, et a été finaliste pour l’un des Prix internationaux les plus prestigieux, le Man Booker Price (2016). Le Festival réunit des auteurs (romanciers, poètes, essayistes, philosophes et intellectuels) africains d’origine et de cœur, ainsi que des représentants de la diaspora du continent. «Cet événement a pour objectif de dire et de penser l’Afrique et le monde à partir de la terre africaine. Se parler entre voisins. Sans tabous. Sans aspérités. Tels sont nos crédos. Qui, mieux que les écrivains, saurait dire le chaos du monde actuel, l’inconnu du monde qui vient et l’espoir de le rendre meilleur. Nous leur proposons de le faire à partir de chez eux, ici, en terre africaine», souligne l’artiste Mahi Binebine, président du FLAM.