La vie de Khadija, surnommée «Kathy», est aussi dure que complexe. Cette jeune femme, qui représente une large population féminine au Maroc, porte le dernier long métrage de Hicham Lasri : «Moroccan Badass Girl».
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Le film sera dévoilé au grand public à partir du 1er mai prochain. Le réalisateur et scénariste marocain offre une analyse de la société en mettant en scène le parcours d'une femme résolue qui veut réussir à tout prix. Il utilise la comédie noire pour attirer l’attention sur une «société en ébullition».
«Moroccan Badass Girl» est la célébration de la femme dans sa force et sa résilience. Ce qui est intéressant dans notre cinéma est la découverte de l’anti-héroïne (Fadoua Taleb). Il y a beaucoup de films sur les victimes, mais on ne parle pas du citoyen qui se bat tous les jours pour vivre. Quelle est la place de ceux qui n’ont pas de place ?», nous a expliqué Hicham Lasri après la projection presse organisée le 25 avril au cinéma Pathé Californie, Casablanca.
Le film pose des interrogations et apporte des éclairages pour comprendre la position de ceux qui n’ont pas eu la chance de faire un parcours académique ou d’avoir un entourage pour les soutenir. Ce long-métrage selon Hicham Lasri est une réflexion sociologique. «Il présente un autre type de parcours, une tranche de ce Maroc qu’on adore et parfois nous agace». Le film met en scène Fadoua Taleb, Saleh ben Saleh, Ayoub Abou Nasr, Malek Akhmiss et Mounia Lmkimel.
Hicham Lasri raconte, en 83 minutes, l’histoire de Kathy, une jeune femme marocaine qui se bat au quotidien pour gagner sa vie et réaliser ses rêves. L’intrigue se passe dans les rues de Casablanca où le réalisateur suit de très près son personnage principal joué par Fadoua Taleb et raconte avec comédie et satire son quotidien plein de souffrance. À la veille de ses 30 ans, Khadija, surnommée «Kathy», se réveille un matin et découvre dans un grand moment de solitude et de lucidité que la vie n'a pas été tendre avec elle. Elle se rend compte qu'elle est exploitée par sa famille et son fiancé. Dans une Casablanca électrique, le film dresse le portrait d'une société à travers une jeune femme qui refuse d'abandonner ses rêves et de se soumettre à la société.
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Le film sera dévoilé au grand public à partir du 1er mai prochain. Le réalisateur et scénariste marocain offre une analyse de la société en mettant en scène le parcours d'une femme résolue qui veut réussir à tout prix. Il utilise la comédie noire pour attirer l’attention sur une «société en ébullition».
«Moroccan Badass Girl» est la célébration de la femme dans sa force et sa résilience. Ce qui est intéressant dans notre cinéma est la découverte de l’anti-héroïne (Fadoua Taleb). Il y a beaucoup de films sur les victimes, mais on ne parle pas du citoyen qui se bat tous les jours pour vivre. Quelle est la place de ceux qui n’ont pas de place ?», nous a expliqué Hicham Lasri après la projection presse organisée le 25 avril au cinéma Pathé Californie, Casablanca.
Le film pose des interrogations et apporte des éclairages pour comprendre la position de ceux qui n’ont pas eu la chance de faire un parcours académique ou d’avoir un entourage pour les soutenir. Ce long-métrage selon Hicham Lasri est une réflexion sociologique. «Il présente un autre type de parcours, une tranche de ce Maroc qu’on adore et parfois nous agace». Le film met en scène Fadoua Taleb, Saleh ben Saleh, Ayoub Abou Nasr, Malek Akhmiss et Mounia Lmkimel.
Synopsis du film
Hicham Lasri raconte, en 83 minutes, l’histoire de Kathy, une jeune femme marocaine qui se bat au quotidien pour gagner sa vie et réaliser ses rêves. L’intrigue se passe dans les rues de Casablanca où le réalisateur suit de très près son personnage principal joué par Fadoua Taleb et raconte avec comédie et satire son quotidien plein de souffrance. À la veille de ses 30 ans, Khadija, surnommée «Kathy», se réveille un matin et découvre dans un grand moment de solitude et de lucidité que la vie n'a pas été tendre avec elle. Elle se rend compte qu'elle est exploitée par sa famille et son fiancé. Dans une Casablanca électrique, le film dresse le portrait d'une société à travers une jeune femme qui refuse d'abandonner ses rêves et de se soumettre à la société.