Casablanca poursuit son positionnement comme destination culturelle en accueillant la deuxième édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse (SILEJ). Sourires illuminant les visages et yeux pétillants de curiosité, les lecteurs en herbe étaient au rendez-vous pour découvrir la littérature jeunesse. Pour marquer cette édition, un programme culturel riche et varié est proposé avec pas moins de 7 espaces d'animation proposant des ateliers, ainsi que 4 autres espaces organisant des activités culturelles au profit de jeunes peintres et écrivains en vue de les insérer dans l'industrie du livre pour enfants et jeunes.
Rapprocher le livre des jeunes générations et les encourager à lire, tout en soutenant l'industrie du livre, tel est le leitmotiv de cette grand-messe culturelle. Un objectif que le ministère de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication garde en ligne de mire : “Nous œuvrons, en partenariat avec la Mairie de Casablanca et le Conseil de la région, pour dynamiser la lecture chez les jeunes et les adultes. Ce salon a pour objectif principal de réconcilier la jeunesse avec la lecture face aux chiffres inquiétants du nombre de livres vendus.
Outre l’organisation de cet événement, le ministère soutient également les éditeurs avec des prix de vente plus accessibles pour les familles, conscient du lien entre le pouvoir d'achat et les priorités des Marocains. Il était impératif d’agir en ce sens, pour permettre aux éditeurs, grâce à ce soutien, de proposer des livres de poche, pour démocratiser le livre. L'intérêt des Marocain pour la lecture n'est pas rompu, et cela est palpable à travers l’affluence observée aux inaugurations de bibliothèques. Une vraie politique avec les éditeurs reste cependant nécessaire pour faciliter l’accès aux livres.”, a déclaré le ministre Mohammed Mehdi Bensaid au micro de “Le Matin”.
Le pavillon de “L'univers des Schtroumpfs” connaît une grande affluence, dès les premières heures d’ouverture du salon, accueillant enfants émerveillés et parents nostalgiques. Sur les pas de la “success story belge” de ces petits bonhommes bleus, faisant partie de la “pop culture” mondiale, l’imaginaire Marocain aura, peut-être un jour, des personnages au rayonnement international : “Plusieurs éditeurs internationaux ont pris part à cette nouvelle édition du SILEJ pour présenter des histoires et des héros venus d'ailleurs qui ont réussi à s’ancrer dans l'imaginaire des Marocains au-delà des frontières. Notre objectif est de soutenir nos auteurs afin qu'ils puissent créer des histoires et des héros qui toucheront les Marocains, surtout les moins jeunes, et peut-être conquérir d'autres marchés sur le continent africain, la région MENA et pourquoi pas au niveau international. Les défis sont nombreux et l'ambition est grande, nous allons nous y atteler pas à pas avec nos partenaires libraires, éditeurs et auteurs pour atteindre nos objectifs pour l'intérêt de l'enfance et la jeunesse marocaine. L’horizon 2030 n’est pas seulement une ambition footballistique, c’est aussi une ambition économique, sociale et culturelle, comme l’a souligné Sa Majesté le Roi Mohammed VI”, explique le ministre.
La littérature jeunesse belge est également à découvrir du côté du stand du Plat Pays, représenté par la Fédération Wallonie-Bruxelles, invitée d'honneur de cette 2ème édition : “A l’occasion de la deuxième édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse, c’est la Fédération Wallonie-Bruxelles qui est à l’honneur. Nous sommes fiers de ce choix, les relations entre le Maroc et la Belgique sont historiques avec une coopération qui s’étend depuis plus de 25 ans dans le domaine de la culture notamment. Grâce à la campagne “Lisez-vous le belge ?”, les visiteurs du salon auront le loisir de découvrir des auteurs et des autrices, entre grands classiques de la littérature jeunesse belge et œuvres contemporaines. Conférences, ateliers et séances de dédicace sont au programme”, a déclaré à “Le Matin”, Chiraz El Fassi, déléguée générale Wallonie-Bruxelles au Maroc.
Acteur majeur en faveur de la promotion des droits de l'enfant au Royaume, UNICEF Maroc réitère sa participation au salon cette année : “Nous sommes très fiers de prendre part à cette deuxième édition du SILEJ. Le stand UNICEF est destiné aux enfants et aux adolescents pour leur faire découvrir leurs droits et leur offrir l’opportunité de poser des questions et nous faire part de leurs suggestions. Cette année, notre stand met à l’honneur la plateforme “U-Report”, lancée par l’UNICEF au niveau mondial. Déployée au Maroc en partenariat avec le ministère de la jeunesse, de la culture et de la communication, elle donner la parole aux jeunes aux sujet de thématiques prioritaires à leurs yeux, en vue de travailler avec les décideurs afin de transformer ces suggestions en actions en faveur de la jeunesse marocaine”, nous confie Aniss Maghri, spécialiste Communication Unicef Maroc.
Rapprocher le livre des jeunes générations et les encourager à lire, tout en soutenant l'industrie du livre, tel est le leitmotiv de cette grand-messe culturelle. Un objectif que le ministère de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication garde en ligne de mire : “Nous œuvrons, en partenariat avec la Mairie de Casablanca et le Conseil de la région, pour dynamiser la lecture chez les jeunes et les adultes. Ce salon a pour objectif principal de réconcilier la jeunesse avec la lecture face aux chiffres inquiétants du nombre de livres vendus.
Outre l’organisation de cet événement, le ministère soutient également les éditeurs avec des prix de vente plus accessibles pour les familles, conscient du lien entre le pouvoir d'achat et les priorités des Marocains. Il était impératif d’agir en ce sens, pour permettre aux éditeurs, grâce à ce soutien, de proposer des livres de poche, pour démocratiser le livre. L'intérêt des Marocain pour la lecture n'est pas rompu, et cela est palpable à travers l’affluence observée aux inaugurations de bibliothèques. Une vraie politique avec les éditeurs reste cependant nécessaire pour faciliter l’accès aux livres.”, a déclaré le ministre Mohammed Mehdi Bensaid au micro de “Le Matin”.
Le pavillon de “L'univers des Schtroumpfs” connaît une grande affluence, dès les premières heures d’ouverture du salon, accueillant enfants émerveillés et parents nostalgiques. Sur les pas de la “success story belge” de ces petits bonhommes bleus, faisant partie de la “pop culture” mondiale, l’imaginaire Marocain aura, peut-être un jour, des personnages au rayonnement international : “Plusieurs éditeurs internationaux ont pris part à cette nouvelle édition du SILEJ pour présenter des histoires et des héros venus d'ailleurs qui ont réussi à s’ancrer dans l'imaginaire des Marocains au-delà des frontières. Notre objectif est de soutenir nos auteurs afin qu'ils puissent créer des histoires et des héros qui toucheront les Marocains, surtout les moins jeunes, et peut-être conquérir d'autres marchés sur le continent africain, la région MENA et pourquoi pas au niveau international. Les défis sont nombreux et l'ambition est grande, nous allons nous y atteler pas à pas avec nos partenaires libraires, éditeurs et auteurs pour atteindre nos objectifs pour l'intérêt de l'enfance et la jeunesse marocaine. L’horizon 2030 n’est pas seulement une ambition footballistique, c’est aussi une ambition économique, sociale et culturelle, comme l’a souligné Sa Majesté le Roi Mohammed VI”, explique le ministre.
La littérature jeunesse belge est également à découvrir du côté du stand du Plat Pays, représenté par la Fédération Wallonie-Bruxelles, invitée d'honneur de cette 2ème édition : “A l’occasion de la deuxième édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse, c’est la Fédération Wallonie-Bruxelles qui est à l’honneur. Nous sommes fiers de ce choix, les relations entre le Maroc et la Belgique sont historiques avec une coopération qui s’étend depuis plus de 25 ans dans le domaine de la culture notamment. Grâce à la campagne “Lisez-vous le belge ?”, les visiteurs du salon auront le loisir de découvrir des auteurs et des autrices, entre grands classiques de la littérature jeunesse belge et œuvres contemporaines. Conférences, ateliers et séances de dédicace sont au programme”, a déclaré à “Le Matin”, Chiraz El Fassi, déléguée générale Wallonie-Bruxelles au Maroc.
Acteur majeur en faveur de la promotion des droits de l'enfant au Royaume, UNICEF Maroc réitère sa participation au salon cette année : “Nous sommes très fiers de prendre part à cette deuxième édition du SILEJ. Le stand UNICEF est destiné aux enfants et aux adolescents pour leur faire découvrir leurs droits et leur offrir l’opportunité de poser des questions et nous faire part de leurs suggestions. Cette année, notre stand met à l’honneur la plateforme “U-Report”, lancée par l’UNICEF au niveau mondial. Déployée au Maroc en partenariat avec le ministère de la jeunesse, de la culture et de la communication, elle donner la parole aux jeunes aux sujet de thématiques prioritaires à leurs yeux, en vue de travailler avec les décideurs afin de transformer ces suggestions en actions en faveur de la jeunesse marocaine”, nous confie Aniss Maghri, spécialiste Communication Unicef Maroc.