Après quelques années difficiles, le secteur immobilier semble recouvrer sa vitalité. En effet, après le Covid, le secteur a traversé une très mauvaise passe. Mais en 2023, on pensait qu’avec la reprise économique la situation allaient s’améliorer. Que Nenni. Cette année-là, on a assisté à une grande fluctuation, touchant aussi bien les prix que le nombre de transactions, qui ont, bien entendu, varié d’une ville à l’autre. En somme, on ne peut parler d’une reprise, mais peut-être d’une année de tests. Il faut dire que la situation économique, même si on a parlé de reprise après la pandémie, n’était pas au beau fixe. La géopolitique, la hausse des prix du pétrole, des matériaux de construction ... et l’inflation n’ont pas arrangé les choses, même si l’économie nationale et les Marocains ont fait preuve d’une incroyable résilience. À ces facteurs s'ajoute le non renouvellement du programme des logements à 250.000 dirhams qui a pris fin en 2020. Ce qui a fortement impacté le secteur de l’immobilier.
Le soutien de l’État y contribue, notamment avec le programme d’aide au logement pour la période 2024-2028, qui vise à soutenir le pouvoir d’achat des ménages en offrant une aide financière directe à l’acquéreur d’un montant de 100.000 DH pour l’achat d’un logement à un prix inférieur ou égal à 300.000 DH TTC et de 70.000 DH pour l’achat d’un logement dont le prix est supérieur à 300.000 DH TTC et inférieur ou égal à 700.000 DH TTC. Et cerise sur le gâteau, sont également éligible à ce programme, qui est une bouffée d’oxygène pour le secteur immobilier, les Marocains du monde (MDM). Ces derniers, qui participent pleinement aux recettes du pays, s’y intéressent grandement. En effet, sur les 73.711 demandes relatives à l’aide directe au logement qui ont été déposées via la plateforme du ministère de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, 23% ont été formulées par des Marocains résidant à l’étranger (MRE) et 43% présentées par des femmes, sachant qu’environ 57% des demandes concernent des logements dont le coût se situe entre 300.000 et 700.000 dirhams. Et au 23 mai, 11.749 bénéficiaires ont été enregistrés dans le cadre de ce programme Royal. Mais c’est un chiffre qui ne reflète pas les ambitions affichées et qui portent sur près de 100.000 acquisitions d’ici la fin de l’année. «Un objectif maintenu par le gouvernement malgré des obstacles notamment administratifs qui freinent son décollage», note-t-on auprès des professionnels.
L’aide au logement c’est bien, mais...
Aujourd’hui, tout cela appartient au passé. La volonté aussi bien des pouvoirs publics que du secteur privé pour relancer un secteur aussi important que celui du bâtiment lui a redonné un nouveau souffle qu’il faudra maintenir pour éviter de retomber dans le scénario de 2023. En effet, et aux dires des professionnels, l’année 2024 est idéale pour investir dans la pierre, un investissement fiable et rentable au Maroc.Le soutien de l’État y contribue, notamment avec le programme d’aide au logement pour la période 2024-2028, qui vise à soutenir le pouvoir d’achat des ménages en offrant une aide financière directe à l’acquéreur d’un montant de 100.000 DH pour l’achat d’un logement à un prix inférieur ou égal à 300.000 DH TTC et de 70.000 DH pour l’achat d’un logement dont le prix est supérieur à 300.000 DH TTC et inférieur ou égal à 700.000 DH TTC. Et cerise sur le gâteau, sont également éligible à ce programme, qui est une bouffée d’oxygène pour le secteur immobilier, les Marocains du monde (MDM). Ces derniers, qui participent pleinement aux recettes du pays, s’y intéressent grandement. En effet, sur les 73.711 demandes relatives à l’aide directe au logement qui ont été déposées via la plateforme du ministère de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, 23% ont été formulées par des Marocains résidant à l’étranger (MRE) et 43% présentées par des femmes, sachant qu’environ 57% des demandes concernent des logements dont le coût se situe entre 300.000 et 700.000 dirhams. Et au 23 mai, 11.749 bénéficiaires ont été enregistrés dans le cadre de ce programme Royal. Mais c’est un chiffre qui ne reflète pas les ambitions affichées et qui portent sur près de 100.000 acquisitions d’ici la fin de l’année. «Un objectif maintenu par le gouvernement malgré des obstacles notamment administratifs qui freinent son décollage», note-t-on auprès des professionnels.