Le Fonds d’équipement communal (FEC) entend consolider, à court et moyen terme, sa contribution au développement économique et social de l’ensemble des territoires du Royaume. Dans sa stratégie de développement, la Banque spécialisée dans le financement des collectivités territoriales compte élargir davantage les secteurs éligibles à ses financements au niveau des régions, préfectures, provinces et communes.
Ainsi, le secteur de la formation professionnelle et de l’enseignement fait désormais partie des secteurs nouvellement couverts. Les financements mobilisés pour ce segment ont atteint quelque 278 millions de dirhams, soit 10% du volume total des décaissements de prêts accordés par le FEC.
Rappelons qu’en 2019, le conseil d’administration de la Banque avait approuvé une résolution devant permettre d’élargir le spectre des financements à pratiquement tous les secteurs relevant des domaines de compétences des collectivités territoriales. Pour pouvoir assurer sereinement le financement des projets portés par les collectivités territoriales, la Banque entend renforcer la diversification et la mobilisation de ressources financières stables, plus compétitives et compatibles avec les spécificités des investissements locaux.
Concrètement, le FEC poursuivra sa stratégie de diversification des financements ouverte sur l’international, notamment auprès des institutions financières de développement. De même, et dans le cadre de l’alliance stratégique FEC-CDG, l’enveloppe mobilisée a été portée à 13 milliards de dirhams en 2023, afin d’accompagner la dynamique d’investissement et de croissance des régions et, en particulier, pour le financement de grands projets d’adaptation climatique et de réalisation d’infrastructures hydrauliques. Le climat et le développement durable figurent également en bonne place dans la stratégie de la Banque qui fait état d’un engagement de plus en plus marqué en faveur des enjeux environnementaux et sociaux et de leur appropriation par les collectivités territoriales. L’objectif du Fonds étant d’accompagner ces structures dans l’atteinte, à l’échelle territoriale des objectifs de développement durable. La Banque planche, par ailleurs, sur le développement, dans un avenir proche, de nouveaux métiers et services en vue de contribuer au renforcement des capacités de gestion des collectivités territoriales.
La mise en œuvre de cette vision devrait permettre de sécuriser davantage l’Institution afin qu’elle puisse continuer à faciliter aux collectivités territoriales l’accès au crédit, en tant que levier de financement des investissements locaux, et ce tout en veillant à la maîtrise des nombreux aspects de risques auxquels le FEC doit faire face en tant que Banque.Rappelons qu’au terme du premier trimestre 2024, le Fonds a enregistré une évolution positive de ses principaux indicateurs financiers avec une légère progression du Produit net bancaire (PNB) qui s’est établi à 160 millions de DH, porté par l’accroissement des créances sur la clientèle, qui ont augmenté de plus de 3% en glissement annuel, pour atteindre plus de 27,5 milliards de DH, conjugué à la qualité du portefeuille de prêts à date.
Précisons que ce premier trimestre marque un retour de l’activité de prêts à un niveau normatif par rapport à l’année 2023, laquelle avait été marquée par le co-financement par le FEC d’un projet stratégique d’intérêt national, à caractère exceptionnel, qui se distingue par l’importance de son volume d’investissement et qui porte sur la réalisation d’ouvrages d’adduction en eau. Les engagements de prêts et les décaissements de prêts ont atteint respectivement 758 millions de DH et 340 millions à fin mars 2024.
À travers les décaissements de prêts réalisés au 1er trimestre, l’Institution a contribué au financement de plusieurs projets portés par les collectivités territoriales dans différents secteurs d’intervention. Les résultats du rating Environnemental et Social (E&S) au titre du premier trimestre font ressortir que la totalité des projets financés par la Banque sont classés dans les «Catégories D ou C» et concernent des projets à risques minimes et aisément maîtrisables.
Ainsi, le secteur de la formation professionnelle et de l’enseignement fait désormais partie des secteurs nouvellement couverts. Les financements mobilisés pour ce segment ont atteint quelque 278 millions de dirhams, soit 10% du volume total des décaissements de prêts accordés par le FEC.
Rappelons qu’en 2019, le conseil d’administration de la Banque avait approuvé une résolution devant permettre d’élargir le spectre des financements à pratiquement tous les secteurs relevant des domaines de compétences des collectivités territoriales. Pour pouvoir assurer sereinement le financement des projets portés par les collectivités territoriales, la Banque entend renforcer la diversification et la mobilisation de ressources financières stables, plus compétitives et compatibles avec les spécificités des investissements locaux.
Concrètement, le FEC poursuivra sa stratégie de diversification des financements ouverte sur l’international, notamment auprès des institutions financières de développement. De même, et dans le cadre de l’alliance stratégique FEC-CDG, l’enveloppe mobilisée a été portée à 13 milliards de dirhams en 2023, afin d’accompagner la dynamique d’investissement et de croissance des régions et, en particulier, pour le financement de grands projets d’adaptation climatique et de réalisation d’infrastructures hydrauliques. Le climat et le développement durable figurent également en bonne place dans la stratégie de la Banque qui fait état d’un engagement de plus en plus marqué en faveur des enjeux environnementaux et sociaux et de leur appropriation par les collectivités territoriales. L’objectif du Fonds étant d’accompagner ces structures dans l’atteinte, à l’échelle territoriale des objectifs de développement durable. La Banque planche, par ailleurs, sur le développement, dans un avenir proche, de nouveaux métiers et services en vue de contribuer au renforcement des capacités de gestion des collectivités territoriales.
La mise en œuvre de cette vision devrait permettre de sécuriser davantage l’Institution afin qu’elle puisse continuer à faciliter aux collectivités territoriales l’accès au crédit, en tant que levier de financement des investissements locaux, et ce tout en veillant à la maîtrise des nombreux aspects de risques auxquels le FEC doit faire face en tant que Banque.Rappelons qu’au terme du premier trimestre 2024, le Fonds a enregistré une évolution positive de ses principaux indicateurs financiers avec une légère progression du Produit net bancaire (PNB) qui s’est établi à 160 millions de DH, porté par l’accroissement des créances sur la clientèle, qui ont augmenté de plus de 3% en glissement annuel, pour atteindre plus de 27,5 milliards de DH, conjugué à la qualité du portefeuille de prêts à date.
Précisons que ce premier trimestre marque un retour de l’activité de prêts à un niveau normatif par rapport à l’année 2023, laquelle avait été marquée par le co-financement par le FEC d’un projet stratégique d’intérêt national, à caractère exceptionnel, qui se distingue par l’importance de son volume d’investissement et qui porte sur la réalisation d’ouvrages d’adduction en eau. Les engagements de prêts et les décaissements de prêts ont atteint respectivement 758 millions de DH et 340 millions à fin mars 2024.
À travers les décaissements de prêts réalisés au 1er trimestre, l’Institution a contribué au financement de plusieurs projets portés par les collectivités territoriales dans différents secteurs d’intervention. Les résultats du rating Environnemental et Social (E&S) au titre du premier trimestre font ressortir que la totalité des projets financés par la Banque sont classés dans les «Catégories D ou C» et concernent des projets à risques minimes et aisément maîtrisables.