L’année 2024 avait été particulièrement marquée par des conditions météorologiques difficiles, avec un déficit pluviométrique prononcé et des températures élevées, y compris durant la saison hivernale. En revanche, janvier 2025 a enregistré des précipitations plus abondantes. À titre d’exemple, la station météorologique de Nouaceur, située dans la région de la Chaouia, a relevé un cumul pluviométrique de 30,4 mm, contre seulement 11,7 mm durant la même période en 2024. Les températures moyennes ont également connu une baisse, atteignant 13,9°C en janvier 2025, contre 15,8°C en janvier de l’année précédente.
L’augmentation des précipitations a permis d’atténuer quelque peu la pénurie d’eau, avec des effets positifs sur les sols et les cultures. Ces apports hydriques ont également contribué à la recharge des nappes phréatiques et des réservoirs d’eau, offrant un léger répit face à la sécheresse persistante. Cependant, selon le ministre de l’Agriculture, les niveaux de précipitations enregistrés restent en deçà de la moyenne des trente dernières années. Afin de soutenir les agriculteurs dans ce contexte difficile, le gouvernement a mis en place un programme d’aides comprenant la distribution de 1,3 million de quintaux de semences sélectionnées et près de 200.000 tonnes d’engrais subventionnés au titre de la campagne agricole 2024-2025.
Malgré cette embellie relative en début d’année 2025, les défis liés au déficit hydrique accumulé au cours des sept dernières années demeurent préoccupants. Face aux changements climatiques persistants, il devient impératif de mettre en place des solutions durables visant à garantir la sécurité alimentaire et une gestion optimale des ressources hydriques disponibles.
L’augmentation des précipitations a permis d’atténuer quelque peu la pénurie d’eau, avec des effets positifs sur les sols et les cultures. Ces apports hydriques ont également contribué à la recharge des nappes phréatiques et des réservoirs d’eau, offrant un léger répit face à la sécheresse persistante. Cependant, selon le ministre de l’Agriculture, les niveaux de précipitations enregistrés restent en deçà de la moyenne des trente dernières années. Afin de soutenir les agriculteurs dans ce contexte difficile, le gouvernement a mis en place un programme d’aides comprenant la distribution de 1,3 million de quintaux de semences sélectionnées et près de 200.000 tonnes d’engrais subventionnés au titre de la campagne agricole 2024-2025.
Pluviométrie : un déficit persistant comparé à 2018
En matière de précipitations, l’année 2018 demeure la plus abondante de ces dernières années. À titre d’exemple, la station météorologique de Nouaceur avait enregistré un cumul de 50,4 mm de pluie, accompagné d’une température moyenne de 11,1°C. La répartition des précipitations était alors plus équilibrée, avec huit jours de précipitations supérieures à 1 mm, dont deux journées dépassant les 10 mm et cinq journées avec des cumuls de plus de 5 mm.Malgré cette embellie relative en début d’année 2025, les défis liés au déficit hydrique accumulé au cours des sept dernières années demeurent préoccupants. Face aux changements climatiques persistants, il devient impératif de mettre en place des solutions durables visant à garantir la sécurité alimentaire et une gestion optimale des ressources hydriques disponibles.