Dans le cadre de l’appel à manifestation d’intérêt et de pré-qualification afférent au projet d’autoroute électrique reliant Dakhla à Casablanca, cinq des plus grands constructeurs mondiaux de lignes et de postes électrique à courant continu ont déposé leurs candidatures, à savoir : GE VERNOVA (USA), SIEMENS ENERGY (Allemagne), POWER CHINA SEPCO1 (Chine), TBEA (Chine) et LARSEN & TOURBO (Inde), indique l’ONEE dans un communiqué.
Le constructeur EPC à retenir devrait prendre en charge la conception, la construction et la mise en service du projet dans le cadre d’un contrat de construction clé en main, ainsi que certains aspects de la maintenance dans le cadre d’un contrat de maintenance long terme (LTSA), conclut la même source. Pour rappel, la consultation porte sur la définition d’un couloir de 100 m de largeur et d’une longueur de 1.400 km (Oued Lakraâ-Médiouna). Cette future infrastructure devrait permettre l'évacuation des énergies renouvelables du Sud vers le Centre et sécuriser davantage l'alimentation en énergie électrique des provinces de la région.
L’ONEE avait opté pour une approche progressive pour la réalisation de cette connexion électrique de très haute tension. En effet, une première phase du projet, d’une capacité de 1.500 mégawatts (MW), devra être opérationnelle en 2026, tandis que la seconde, également de 1.500 MW, entrera en service en 2028.
Le constructeur EPC à retenir devrait prendre en charge la conception, la construction et la mise en service du projet dans le cadre d’un contrat de construction clé en main, ainsi que certains aspects de la maintenance dans le cadre d’un contrat de maintenance long terme (LTSA), conclut la même source. Pour rappel, la consultation porte sur la définition d’un couloir de 100 m de largeur et d’une longueur de 1.400 km (Oued Lakraâ-Médiouna). Cette future infrastructure devrait permettre l'évacuation des énergies renouvelables du Sud vers le Centre et sécuriser davantage l'alimentation en énergie électrique des provinces de la région.
L’ONEE avait opté pour une approche progressive pour la réalisation de cette connexion électrique de très haute tension. En effet, une première phase du projet, d’une capacité de 1.500 mégawatts (MW), devra être opérationnelle en 2026, tandis que la seconde, également de 1.500 MW, entrera en service en 2028.