L’Institut national de recherche halieutique (INRH) entend renforcer ses dispositifs de contrôle et d’observation des écosystèmes côtiers. L’établissement planche sur la conception et la réalisation d’un prototype de plateforme marine offshore pilote pour la surveillance scientifique continue de ces écosystèmes. La future plateforme constituera un espace de travail en mer multidisciplinaire, dédié à l’observation scientifique en continu des différents compartiments de l’écosystème marin côtiers.
La conception de cette solution sera sous la forme d’un dispositif offshore flottant et fixé sur le fond marin à travers un système de mouillage. La plateforme permettra au personnel scientifique la réalisation des observations directes en différentes disciplines, la manipulation des équipements scientifiques, la prise des échantillons et même l’analyse de certains échantillons sur place. Pour le transport continu du matériel, des échantillons et du personnel scientifique, la plateforme sera équipée d’une embarcation zodiac de servitude disponible 24 h/24 . La mise en place de cette plateforme permettra l’observation directe de plusieurs paramètres, quelques-uns en temps réel, hydrologiques, hydrodynamiques, météorologiques, biologiques, environnementaux et halieutiques.
De plus, étant donné que la plateforme sera installée en voisinage d’une ferme aquacole, elle servira également comme laboratoire d’expérimentation pour le développement de l’aquaculture et l’observation de la biodiversité dans l’écosystème. «Dans le cadre de ses missions, l’INRH effectue une surveillance scientifique continue de l’état des principaux stocks, de la biodiversité, des conditions océanographiques et de l’état de santé environnemental tout au long du littoral marocain. Pour relever ces défis, en s’appuyant sur la surveillance continue, l’INRH a commencé à développer un réseau d’observation côtier basé sur l’installation des sondes qui collectent et transmettent automatiquement les données océanographiques», indique l’Institut de recherche.
Ce réseau, en cours d’expansion, reste aussi limité puisque les informations collectées sont limitées à certains paramètres océanographiques et météorologiques insuffisants pour appréhender la variabilité des processus et leurs impacts sur la dynamique des ressources marines. En outre, explique l’INRH, l’expérience a montré les difficultés de réaliser des mouillages offshores pour le déploiement des instruments océanographiques et les contraintes techniques pour les entretenir et maintenir la transmission continue des données océanographiques collectées in situ ainsi que la sécurité de ces équipements.
Afin de répondre de manière régulière aux besoins d’informations in situ sur les écosystèmes côtiers, l’Institut juge impératif de s’orienter vers des approches pluridisciplinaires, multifonctionnelles, plus fiables et plus adaptées à des conditions océanographiques et météorologiques extrêmes telles que celles caractérisant les côtes marocaines. C’est donc dans ce cadre que l’établissement projette d’installer une plateforme offshore.
La conception de cette solution sera sous la forme d’un dispositif offshore flottant et fixé sur le fond marin à travers un système de mouillage. La plateforme permettra au personnel scientifique la réalisation des observations directes en différentes disciplines, la manipulation des équipements scientifiques, la prise des échantillons et même l’analyse de certains échantillons sur place. Pour le transport continu du matériel, des échantillons et du personnel scientifique, la plateforme sera équipée d’une embarcation zodiac de servitude disponible 24 h/24 . La mise en place de cette plateforme permettra l’observation directe de plusieurs paramètres, quelques-uns en temps réel, hydrologiques, hydrodynamiques, météorologiques, biologiques, environnementaux et halieutiques.
De plus, étant donné que la plateforme sera installée en voisinage d’une ferme aquacole, elle servira également comme laboratoire d’expérimentation pour le développement de l’aquaculture et l’observation de la biodiversité dans l’écosystème. «Dans le cadre de ses missions, l’INRH effectue une surveillance scientifique continue de l’état des principaux stocks, de la biodiversité, des conditions océanographiques et de l’état de santé environnemental tout au long du littoral marocain. Pour relever ces défis, en s’appuyant sur la surveillance continue, l’INRH a commencé à développer un réseau d’observation côtier basé sur l’installation des sondes qui collectent et transmettent automatiquement les données océanographiques», indique l’Institut de recherche.
Ce réseau, en cours d’expansion, reste aussi limité puisque les informations collectées sont limitées à certains paramètres océanographiques et météorologiques insuffisants pour appréhender la variabilité des processus et leurs impacts sur la dynamique des ressources marines. En outre, explique l’INRH, l’expérience a montré les difficultés de réaliser des mouillages offshores pour le déploiement des instruments océanographiques et les contraintes techniques pour les entretenir et maintenir la transmission continue des données océanographiques collectées in situ ainsi que la sécurité de ces équipements.
Afin de répondre de manière régulière aux besoins d’informations in situ sur les écosystèmes côtiers, l’Institut juge impératif de s’orienter vers des approches pluridisciplinaires, multifonctionnelles, plus fiables et plus adaptées à des conditions océanographiques et météorologiques extrêmes telles que celles caractérisant les côtes marocaines. C’est donc dans ce cadre que l’établissement projette d’installer une plateforme offshore.