Selon un rapport publié le mardi 6 février 2024 par le groupe logistique koweïtien Agility et le cabinet de recherche spécialisé Transport Intelligence, le Maroc, l’Égypte et l’Afrique du Sud sont les marchés émergents font état des meilleures performances logistiques en Afrique. Seulement, si sur les 14 pays africains considérés comme étant des marchés émergents, deux ont gagné des places par rapport à l’édition 2023 : l’Égypte (+1) et l’Angola (+1), six pays ont stagné (Afrique du Sud, Kenya, Ouganda, Éthiopie, Mozambique, Libye) alors que six autres pays dont le Maroc ont régressé.
Le rapport, intitulé «Agility Emerging Markets Logistics Index 2024», classe les 50 principaux marchés émergents du monde en matière de compétitivité logistique en se basant sur 22 indicateurs qui les rendent attrayants pour les prestataires logistiques, les transitaires, les transporteurs aériens et maritimes, les distributeurs et les investisseurs. Ces indicateurs sont regroupés dans quatre catégories : les opportunités logistiques domestiques, les opportunités logistiques internationales, le climat des affaires et l’état de la préparation à la numérisation.
À noter que l’Égypte, avec un score de 5,04 points, se place en pole position à l’échelle continentale et occupe la 20e place sur l’ensemble des 50 marchés émergents couverts dans ce classement qui évalue les performances logistiques des pays sur une échelle allant de 0 à 10 points.
À l’échelle de l’ensemble des marchés émergents couverts par l’étude, la Chine conserve le premier rang avec un score de 8,61 points. L’Inde arrive en deuxième position devant les Émirats arabes unis, la Malaisie et l’Indonésie.
D’ailleurs, même l’indice de performance logistique (IPL) 2018 publié par la Banque mondiale a révélé une détérioration du classement du Maroc qui a perdu 23 places par rapport à son classement de 2016 (86e). Cet indice jauge comment les chaînes d’approvisionnement connectent les entreprises à leurs marchés nationaux et internationaux. Il repose sur une note globale de 1 à 5 (la note la plus élevée représentant la meilleure performance) qui reflète les perceptions relatives à la logistique d’un pays sur la base de critères clés : la compétence logistique, la qualité de l’infrastructure des échanges, l’environnement douanier, le coût des expéditions internationales et le respect des délais de livraison.
Le rapport IPL 2023 qui a couvert 139 pays contre 160 auparavant n’a pas abordé le Maroc. À souligner que le classement du Royaume n’a cessé de chuter au fil des éditions, puisque le Maroc est tombé du 50e rang en 2012 au 86e en 2016 puis au 109e rang dans le classement 2018.
Le rapport, intitulé «Agility Emerging Markets Logistics Index 2024», classe les 50 principaux marchés émergents du monde en matière de compétitivité logistique en se basant sur 22 indicateurs qui les rendent attrayants pour les prestataires logistiques, les transitaires, les transporteurs aériens et maritimes, les distributeurs et les investisseurs. Ces indicateurs sont regroupés dans quatre catégories : les opportunités logistiques domestiques, les opportunités logistiques internationales, le climat des affaires et l’état de la préparation à la numérisation.
À noter que l’Égypte, avec un score de 5,04 points, se place en pole position à l’échelle continentale et occupe la 20e place sur l’ensemble des 50 marchés émergents couverts dans ce classement qui évalue les performances logistiques des pays sur une échelle allant de 0 à 10 points.
À l’échelle de l’ensemble des marchés émergents couverts par l’étude, la Chine conserve le premier rang avec un score de 8,61 points. L’Inde arrive en deuxième position devant les Émirats arabes unis, la Malaisie et l’Indonésie.
D’ailleurs, même l’indice de performance logistique (IPL) 2018 publié par la Banque mondiale a révélé une détérioration du classement du Maroc qui a perdu 23 places par rapport à son classement de 2016 (86e). Cet indice jauge comment les chaînes d’approvisionnement connectent les entreprises à leurs marchés nationaux et internationaux. Il repose sur une note globale de 1 à 5 (la note la plus élevée représentant la meilleure performance) qui reflète les perceptions relatives à la logistique d’un pays sur la base de critères clés : la compétence logistique, la qualité de l’infrastructure des échanges, l’environnement douanier, le coût des expéditions internationales et le respect des délais de livraison.
Le rapport IPL 2023 qui a couvert 139 pays contre 160 auparavant n’a pas abordé le Maroc. À souligner que le classement du Royaume n’a cessé de chuter au fil des éditions, puisque le Maroc est tombé du 50e rang en 2012 au 86e en 2016 puis au 109e rang dans le classement 2018.