C’est une nouvelle étape structurante dans la politique agricole nationale. Sous la présidence du ministre de l’Intérieur, en présence des ministres de l’Agriculture et du Budget, ainsi que de responsables centraux des départements concernés, une réunion de travail s’est tenue ce vendredi à Rabat, avec la participation, en visio-conférence, des walis, gouverneurs et représentants régionaux des secteurs agricole et financier. Objectif : enclencher concrètement le programme royal de reconstitution du cheptel, annoncé par le Souverain pour faire face à la crise prolongée de la sécheresse et renforcer la souveraineté alimentaire du pays.
Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait en effet appelé à professionnaliser cette opération nationale, en l’inscrivant dans une logique de durabilité, de rigueur et d’objectivité. Dans cette optique, le Souverain avait insisté sur la nécessité d’un encadrement strict, basé sur des critères clairs d’éligibilité, avec une supervision assurée par les autorités locales.
Lors de cette première réunion opérationnelle, les participants ont été informés des grandes lignes du programme, qui repose notamment sur :
Selon le communiqué du ministère de l'Intérieur, l’accent a été mis, lors de cette rencontre, sur l’importance majeure de cette opération et sur son rôle dans le renforcement de la productivité du secteur de l’élevage et dans la garantie de sa durabilité, en vue d’assurer la souveraineté alimentaire du Royaume, de soutenir les éleveurs et de renforcer la capacité à faire face aux défis économiques et climatiques, notamment dans un contexte de sécheresse prolongée. Cela passe par la mise en place d’une base de données numérique nationale précise, recensant le cheptel et ses propriétaires, selon une vision stratégique globale fondée sur la numérisation des procédures. "L’objectif est d’élaborer une image précise et actualisée de la situation réelle du secteur, afin de permettre la mise en place de plans et de programmes de reconstitution adaptés aux réalités du terrain et répondant aux besoins concrets", note la même source.
La réunion a été l'occasion aussi de partager et examiner le contenu de la circulaire conjointe encadrant l’opération de reconstitution du cheptel, notamment en ce qui concerne le modèle de gouvernance adopté. Celui-ci repose sur une répartition claire des rôles, responsabilités et missions attribuées aux différentes parties prenantes de ce projet national. Il prévoit la mise en place d’un comité central de pilotage présidé par le ministère de l’Intérieur, d’un comité technique intersectoriel sous la supervision du ministère de l’Agriculture, ainsi que de commissions locales présidées par les walis et les gouverneurs.
Les responsables territoriaux, à tous les niveaux, ont été appelés à s’impliquer personnellement dans la réussite du projet, en mobilisant les ressources humaines et logistiques nécessaires, en veillant au respect des critères d’éligibilité, à la transparence de l’attribution des aides, et à la bonne exécution des opérations sur le terrain. Un accent particulier sera mis sur la communication de proximité avec les éleveurs, pour leur expliquer les enjeux du programme, les modalités de participation, et les bénéfices attendus pour l’ensemble du secteur.
Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait en effet appelé à professionnaliser cette opération nationale, en l’inscrivant dans une logique de durabilité, de rigueur et d’objectivité. Dans cette optique, le Souverain avait insisté sur la nécessité d’un encadrement strict, basé sur des critères clairs d’éligibilité, avec une supervision assurée par les autorités locales.
Lors de cette première réunion opérationnelle, les participants ont été informés des grandes lignes du programme, qui repose notamment sur :
- L’adoption d’une gouvernance multi-niveaux, structurée autour d’une commission centrale de pilotage présidée par le ministère de l’Intérieur ;
- Une commission technique intersectorielle placée sous l’autorité du ministère de l’Agriculture ;
- Et des commissions locales, présidées par les walis et les gouverneurs, en charge de l'exécution territoriale du programme.
Selon le communiqué du ministère de l'Intérieur, l’accent a été mis, lors de cette rencontre, sur l’importance majeure de cette opération et sur son rôle dans le renforcement de la productivité du secteur de l’élevage et dans la garantie de sa durabilité, en vue d’assurer la souveraineté alimentaire du Royaume, de soutenir les éleveurs et de renforcer la capacité à faire face aux défis économiques et climatiques, notamment dans un contexte de sécheresse prolongée. Cela passe par la mise en place d’une base de données numérique nationale précise, recensant le cheptel et ses propriétaires, selon une vision stratégique globale fondée sur la numérisation des procédures. "L’objectif est d’élaborer une image précise et actualisée de la situation réelle du secteur, afin de permettre la mise en place de plans et de programmes de reconstitution adaptés aux réalités du terrain et répondant aux besoins concrets", note la même source.
La réunion a été l'occasion aussi de partager et examiner le contenu de la circulaire conjointe encadrant l’opération de reconstitution du cheptel, notamment en ce qui concerne le modèle de gouvernance adopté. Celui-ci repose sur une répartition claire des rôles, responsabilités et missions attribuées aux différentes parties prenantes de ce projet national. Il prévoit la mise en place d’un comité central de pilotage présidé par le ministère de l’Intérieur, d’un comité technique intersectoriel sous la supervision du ministère de l’Agriculture, ainsi que de commissions locales présidées par les walis et les gouverneurs.
Les responsables territoriaux, à tous les niveaux, ont été appelés à s’impliquer personnellement dans la réussite du projet, en mobilisant les ressources humaines et logistiques nécessaires, en veillant au respect des critères d’éligibilité, à la transparence de l’attribution des aides, et à la bonne exécution des opérations sur le terrain. Un accent particulier sera mis sur la communication de proximité avec les éleveurs, pour leur expliquer les enjeux du programme, les modalités de participation, et les bénéfices attendus pour l’ensemble du secteur.