C’est officiel. Le Conseil d’administration de la Banque européenne d’investissement (BEI) a approuvé, en date du 17 juillet 2024, un prêt à hauteur de 1 milliard d’euros destiné à soutenir le programme de reconstruction post-séisme au Maroc. Ce financement majeur est dédié à la reconstruction des infrastructures routières, hospitalières et scolaires impactées par le séisme. La mise en œuvre devrait démarrer après la signature du prêt qui devrait avoir lieu courant du dernier trimestre 2024.
«Nous nous félicitons de la décision du conseil d’administration d’apporter son soutien à ce projet emblématique et que nous espérons concrétiser le plus rapidement possible. Il aura un impact durable sur le redressement et le développement futur des régions impactées par le séisme», a déclaré au journal «Le Matin» Adrien de Bassompierre, chef de la représentation de la BEI au Maroc.
Rappelons qu'en octobre 2023, la BEI s'est engagée à mobiliser 1 milliard d'euros sur trois ans pour soutenir l'ambitieux programme national de redressement post-séisme. Les priorités de cet appui incluent la reconstruction et la réparation des infrastructures durables et résilientes, le logement, ainsi que l'action pour le climat, tout en capitalisant sur les ressources et le savoir-faire de la Banque. Cet engagement a été annoncé à l’issue d’une réunion entre Ricardo Mourinho Félix, vice-président de la BEI, et Fouzi Lekjaâ, ministre délégué du Maroc chargé du Budget, en marge des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) à Marrakech. Selon une note officielle de la BEI, son prêt pour le Maroc bénéficiera de la garantie du Fonds européen pour le développement durable Plus (FEDD+), l’un des outils de financement qui promeut les investissements durables et le développement économique et social dans les pays du Voisinage de l’Union européenne.
La BEI est un partenaire privilégié du Maroc depuis plus de 40 ans. Depuis 1979, la Banque a financé plus de 135 projets au Maroc pour plus de 9,85 milliards d'euros, dont 2,8 milliards entre 2017 et 2023. L’Institution finance au Maroc le développement et la mise en œuvre de projets clés dans des secteurs essentiels de l’économie tels que le soutien aux entreprises, l’agriculture, l’eau et l’assainissement, l’éducation, la santé, le transport ou encore les énergies renouvelables.
«Nous nous félicitons de la décision du conseil d’administration d’apporter son soutien à ce projet emblématique et que nous espérons concrétiser le plus rapidement possible. Il aura un impact durable sur le redressement et le développement futur des régions impactées par le séisme», a déclaré au journal «Le Matin» Adrien de Bassompierre, chef de la représentation de la BEI au Maroc.
Rappelons qu'en octobre 2023, la BEI s'est engagée à mobiliser 1 milliard d'euros sur trois ans pour soutenir l'ambitieux programme national de redressement post-séisme. Les priorités de cet appui incluent la reconstruction et la réparation des infrastructures durables et résilientes, le logement, ainsi que l'action pour le climat, tout en capitalisant sur les ressources et le savoir-faire de la Banque. Cet engagement a été annoncé à l’issue d’une réunion entre Ricardo Mourinho Félix, vice-président de la BEI, et Fouzi Lekjaâ, ministre délégué du Maroc chargé du Budget, en marge des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) à Marrakech. Selon une note officielle de la BEI, son prêt pour le Maroc bénéficiera de la garantie du Fonds européen pour le développement durable Plus (FEDD+), l’un des outils de financement qui promeut les investissements durables et le développement économique et social dans les pays du Voisinage de l’Union européenne.
La BEI est un partenaire privilégié du Maroc depuis plus de 40 ans. Depuis 1979, la Banque a financé plus de 135 projets au Maroc pour plus de 9,85 milliards d'euros, dont 2,8 milliards entre 2017 et 2023. L’Institution finance au Maroc le développement et la mise en œuvre de projets clés dans des secteurs essentiels de l’économie tels que le soutien aux entreprises, l’agriculture, l’eau et l’assainissement, l’éducation, la santé, le transport ou encore les énergies renouvelables.