L’Office national des chemins de fer (ONCF) a finalement retenu la société d’ingénierie chinoise China Gezhouba Group Co LTD pour la réalisation des travaux de génie civil objet du lot n° 9 dans le cadre du projet de liaison à grande vitesse Kénitra-Marrakech. China Gezhouba mènera ainsi les travaux d’exécution des viaducs Ikkem, Cherrat, Nfifikh, Dir, Maleh Nord et Maleh Sud. L’opérateur chinois a remporté l’appel d’offres pour 2,32 milliards de dirhams. L’entreprise était en lice pour ce marché aux côtés de trois concurrents : le groupement SNCE/Capep/Seprob, China Civil Engeneering Construction Corporation et SGTM. L’offre de China Gezhouba a été jugée la moins disante conforme.
Le projet de liaison à grande vitesse s’inscrit dans le cadre du plan de développement ferroviaire à engager par le spécialiste national du rail dans la perspective de la préparation à l’organisation de la Coupe du Monde 2030. Ce programme devra coûter 87 milliards de dirhams et intégrera plusieurs composantes notamment l’extension de la Ligne à grande vitesse (LGV) de Kénitra vers Marrakech et le développement d’un réseau express régional (RER) au niveau des agglomérations de Casablanca, Rabat et Marrakech.
Hors ce plan spécial, l’établissement envisage la mise sur les rails d’un programme d’investissement de près de 10 milliards de dirhams sur la période 2025-2027. Cette enveloppe ira principalement au financement de l’acquisition du nouveau matériel roulant, la construction des ateliers d’entretien et la maintenance des infrastructures. L’État entend faire du transport ferroviaire un véritable levier pour le développement de la mobilité durable. Le réseau ferré actuel est d’une longueur de 2.309 km, dont 200 km de Lignes à grande vitesse et 64% de lignes électrifiées.
Au titre de 2023, ce réseau a permis de transporter 52,8 millions de passagers (dont 5 millions via la LGV), et plus de 17 millions de tonnes de marchandises. Dans le cadre de la mise en place de sa vision stratégique pour se positionner en tant que leader national de la mobilité durable, l’ONCF poursuit donc l’extension de la LGV Kénitra-Marrakech qui porte sur une longueur de 430 km et dont le coût est estimé à 53 milliards de dirhams, avec une connexion des aéroports de Rabat et de Casablanca.
Une extension est prévue depuis Marrakech vers Agadir, sur une longueur d’environ 240 km, dans la perspective de poursuivre le développement ferroviaire vers le sud du Royaume, notamment les villes de Laâyoune et Dakhla. De même, l’ONCF envisage l’amélioration de la qualité des services pour accompagner la croissance du trafic des passagers et appuyer les nouveaux projets de développement à travers, notamment, la mise en place d’un programme d’acquisition de 168 nouveaux trains, destinés à remplacer le parc existant.
Le projet de liaison à grande vitesse s’inscrit dans le cadre du plan de développement ferroviaire à engager par le spécialiste national du rail dans la perspective de la préparation à l’organisation de la Coupe du Monde 2030. Ce programme devra coûter 87 milliards de dirhams et intégrera plusieurs composantes notamment l’extension de la Ligne à grande vitesse (LGV) de Kénitra vers Marrakech et le développement d’un réseau express régional (RER) au niveau des agglomérations de Casablanca, Rabat et Marrakech.
Hors ce plan spécial, l’établissement envisage la mise sur les rails d’un programme d’investissement de près de 10 milliards de dirhams sur la période 2025-2027. Cette enveloppe ira principalement au financement de l’acquisition du nouveau matériel roulant, la construction des ateliers d’entretien et la maintenance des infrastructures. L’État entend faire du transport ferroviaire un véritable levier pour le développement de la mobilité durable. Le réseau ferré actuel est d’une longueur de 2.309 km, dont 200 km de Lignes à grande vitesse et 64% de lignes électrifiées.
Au titre de 2023, ce réseau a permis de transporter 52,8 millions de passagers (dont 5 millions via la LGV), et plus de 17 millions de tonnes de marchandises. Dans le cadre de la mise en place de sa vision stratégique pour se positionner en tant que leader national de la mobilité durable, l’ONCF poursuit donc l’extension de la LGV Kénitra-Marrakech qui porte sur une longueur de 430 km et dont le coût est estimé à 53 milliards de dirhams, avec une connexion des aéroports de Rabat et de Casablanca.
Une extension est prévue depuis Marrakech vers Agadir, sur une longueur d’environ 240 km, dans la perspective de poursuivre le développement ferroviaire vers le sud du Royaume, notamment les villes de Laâyoune et Dakhla. De même, l’ONCF envisage l’amélioration de la qualité des services pour accompagner la croissance du trafic des passagers et appuyer les nouveaux projets de développement à travers, notamment, la mise en place d’un programme d’acquisition de 168 nouveaux trains, destinés à remplacer le parc existant.