Organisée sur deux jours par le Secrétariat d’État chargé du Commerce extérieur, en partenariat avec le Secrétariat de la ZLECAF, l’Association marocaine des exportateurs (ASMEX), la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et l’Association des régions du Maroc (ARM), cette rencontre a illustré l’engagement du Royaume à consolider les mécanismes favorisant le libre-échange et une intégration économique durable entre les pays africains.
Cette édition reflète également l’ambition panafricaine que le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a défendue avec constance, visant à faire du Royaume un acteur central du renforcement de la coopération multidimensionnelle entre les pays du continent et un partenaire proactif au sein de l’Afrique. Le forum a pour objectif d’instaurer un dialogue structuré autour du rôle stratégique de la zone de libre-échange, considérée comme un levier majeur de la transformation économique africaine. Il cherche à mobiliser l’ensemble des pays africains afin d’accélérer la mise en œuvre effective de la ZLECAF et de concrétiser ses ambitions, à travers le renforcement du commerce intra-africain, la promotion des exportations et l’attraction des investissements.
M. Akhannouch a aussi mis en avant la plateforme financière Casablanca Finance City, qui constitue un moteur principal pour l’intégration économique en Afrique, en plus des groupes bancaires implantés dans plus d’une vingtaine de pays africains et l’adhésion récente de Bank Al-Maghrib au système panafricain de paiements et de règlement PAPSS. Tous ces facteurs placent le Royaume en bonne position pour piloter des projets pilotes de paiements en monnaies locales en Afrique, de sécurisation du crédit export et de couverture des risques pour les petites et moyennes entreprises (PME) africaines, a-t-il fait remarquer. «Le Maroc, fidèle à la vision de S.M. le Roi Mohammed VI, assumera pleinement sa part de responsabilité pour que l’intégration économique africaine devienne un levier de prospérité, de stabilité et de dignité pour nos peuples», a-t-il souligné, relevant que cette deuxième édition du Forum des affaires de la Zlecaf se tenait dans le cadre d’une dynamique claire qui entendait faire de la zone, non pas seulement un accord de libre-échange, mais bien un véritable projet de transformation économique pour le continent.
Par ailleurs, M. Hejira a tenu à saluer les avancées enregistrées cette année lors des réunions des ministres africains chargés du commerce, qui ont permis de résoudre plusieurs dossiers complexes, notamment ceux relatifs aux règles d’origine dans des secteurs stratégiques pour l’intégration africaine, tels que l’automobile et le textile. S'agissant de cette rencontre, il a souligné que ce forum incarnait l’approche constante du Maroc en faveur d’une Afrique forte, unie et prospère. «De même, il s’inscrit dans la continuité d’une Vision Royale éclairée, convaincue que le destin du Royaume est étroitement lié à celui de l’Afrique, et que la coopération Sud-Sud constitue la voie la plus adéquate pour concrétiser nos ambitions communes de développement», a-t-il insisté.
Initiative phare de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, la ZLECAF vise à créer un marché continental unique pour les biens et les services, tout en mettant en place des cadres de soutien à l’investissement, à la propriété intellectuelle et à la concurrence. En réduisant les barrières commerciales et en harmonisant les politiques économiques, elle a pour ambition de faciliter les échanges et les investissements transfrontaliers, et de positionner l’Afrique comme un bloc économique unifié sur la scène commerciale mondiale.
Cette édition reflète également l’ambition panafricaine que le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a défendue avec constance, visant à faire du Royaume un acteur central du renforcement de la coopération multidimensionnelle entre les pays du continent et un partenaire proactif au sein de l’Afrique. Le forum a pour objectif d’instaurer un dialogue structuré autour du rôle stratégique de la zone de libre-échange, considérée comme un levier majeur de la transformation économique africaine. Il cherche à mobiliser l’ensemble des pays africains afin d’accélérer la mise en œuvre effective de la ZLECAF et de concrétiser ses ambitions, à travers le renforcement du commerce intra-africain, la promotion des exportations et l’attraction des investissements.
Akhannouch : sous l’impulsion de S.M. le Roi, le Maroc confirme son engagement à renforcer les mécanismes à même de réaliser une intégration économique durable en Afrique
Le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, confirme son engagement à renforcer les mécanismes à même d’encourager le libre-échange et à réaliser une intégration économique durable en Afrique, a affirmé, vendredi à Marrakech, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. «Grâce aux Hautes Directives Royales, le Maroc consolide son statut d’acteur central et de partenaire stratégique dans le renforcement de la coopération multidimensionnelle entre les pays du continent africain», a relevé M. Akhannouch lors de la deuxième édition du Forum d’affaires de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), qui se tient les 11 et 12 décembre à la Cité ocre. Et de rappeler que la vision du Maroc pour l’Afrique demeure constante, celle d’une Afrique maîtresse de son destin, qui transforme ses ressources en valeur ajoutée sur place et qui relie ses régions entre elles, de la Méditerranée à l’Atlantique, du Sahel aux façades maritimes. Cette vision s’est traduite par l’Initiative Atlantique, lancée par S.M. le Roi Mohammed VI, en faveur des États africains atlantiques et des pays du Sahel, a-t-il ajouté, indiquant que le Royaume avait mis ses infrastructures portuaires et logistiques au service de vingt-trois pays riverains de l’Atlantique et de leurs voisins ne disposant pas d’une façade maritime. Dans ce contexte, M. Akhannouch a rappelé une série de projets ambitieux de nature à renforcer la complémentarité économique et commerciale du Maroc avec les autres pays africains, à l’instar du projet de gazoduc Nigeria-Maroc, long d’environ 6.000 kilomètres et traversant plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, précisant que ce projet constituait une structure stratégique de nature à préparer le terrain pour une industrialisation partagée dans des secteurs comme les engrais, la pétrochimie, les matériaux de construction, l’agro-industrie, autant de secteurs qui ont besoin d’une énergie fiable et compétitive.M. Akhannouch a aussi mis en avant la plateforme financière Casablanca Finance City, qui constitue un moteur principal pour l’intégration économique en Afrique, en plus des groupes bancaires implantés dans plus d’une vingtaine de pays africains et l’adhésion récente de Bank Al-Maghrib au système panafricain de paiements et de règlement PAPSS. Tous ces facteurs placent le Royaume en bonne position pour piloter des projets pilotes de paiements en monnaies locales en Afrique, de sécurisation du crédit export et de couverture des risques pour les petites et moyennes entreprises (PME) africaines, a-t-il fait remarquer. «Le Maroc, fidèle à la vision de S.M. le Roi Mohammed VI, assumera pleinement sa part de responsabilité pour que l’intégration économique africaine devienne un levier de prospérité, de stabilité et de dignité pour nos peuples», a-t-il souligné, relevant que cette deuxième édition du Forum des affaires de la Zlecaf se tenait dans le cadre d’une dynamique claire qui entendait faire de la zone, non pas seulement un accord de libre-échange, mais bien un véritable projet de transformation économique pour le continent.
Mezzour : le renforcement des compétences africaines, clé pour assurer le succès de la Zlecaf
Le ministre de l'Industrie et du commerce, Ryad Mezzour, a souligné, vendredi à Marrakech, la nécessité pour les pays africains d'investir davantage dans les compétences, l’expertise et les capacités techniques afin de garantir le succès de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf). «Alors que partout les frontières se referment, l’Afrique est aujourd’hui la seule région qui cherche encore à ouvrir ses marchés, soit une position singulière qui impose d'accélérer plus que jamais les efforts engagés par les États du continent», a relevé M. Mezzour lors de la deuxième édition du Forum d’affaires de la Zone de libre-échange continentale africaine, qui s'est tenue les 11 et 12 décembre à la Cité ocre. À cet effet, le ministre a indiqué qu'en dépit des défis logistiques et des écarts de capacités entre pays, les premiers résultats commençaient à apparaître après dix ans d’efforts, mettant en relief l’importance d’accélérer le rythme des travaux, de renforcer les mécanismes d’appui et de mobiliser les expertises africaines. Dans un contexte international marqué par des incertitudes et une fragmentation accrue, M. Mezzour a également mis en avant, l’importance de développer des idées structurées, crédibles et opérationnelles, affirmant que des concepts solides, travaillés et ambitieux étaient indispensables pour faire avancer l’intégration du continent. Il a également insisté sur le rôle clé de la jeunesse africaine, estimant qu’elle constituait un levier stratégique à même d'accompagner les mutations économiques du continent. Évoquant les défis post-pandémiques, le ministre a appelé à capitaliser sur les leçons de la crise, en renforçant les capacités techniques et en soutenant l’innovation, considérant la Zlecaf comme une opportunité majeure pour bâtir des économies plus résilientes et compétitives. «L’Afrique dispose des ressources, des idées et des compétences nécessaires. Avec de l’investissement et de l’ambition, nous réussirons», a-t-il conclu.Hejira : l’amélioration des conditions de vie des populations africaines, tributaire de l’édification d’une économie continentale intégrée
L’amélioration des conditions de vie des populations africaines demeure tributaire de l'édification d'une économie continentale intégrée, garantissant la sécurité alimentaire, créant des emplois et intégrant les micro, petites et moyennes entreprises dans la dynamique économique, a affirmé, vendredi à Marrakech, le secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, Omar Hejira. «La réussite de la la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) dépend de notre capacité collective à construire des partenariats concrets, équitables et mutuellement profitables, tout en assurant une justice territoriale africaine», a relevé M. Hejira lors de la deuxième édition du Forum d’affaires de la Zlecaf, qui s'est tenu les 11 et 12 décembre à la Cité ocre, sous le thème «Ensemble pour une mise en œuvre efficiente de la Zlecaf». La Zlecaf n’est pas un accord commercial classique, a-t-il poursuivi, précisant qu'il s'agit plutôt d'un projet de transformation stratégique visant à libérer les immenses capacités productives et de consommation de plus de 1,3 milliard de citoyens africains, et à bâtir le plus grand bloc commercial au monde en nombre d’États membres. Et de rappeler que «le Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, restera fidèle à son engagement d’accompagner ses frères africains pour développer cet espace économique prometteur et partager son expérience dans tous les domaines».Par ailleurs, M. Hejira a tenu à saluer les avancées enregistrées cette année lors des réunions des ministres africains chargés du commerce, qui ont permis de résoudre plusieurs dossiers complexes, notamment ceux relatifs aux règles d’origine dans des secteurs stratégiques pour l’intégration africaine, tels que l’automobile et le textile. S'agissant de cette rencontre, il a souligné que ce forum incarnait l’approche constante du Maroc en faveur d’une Afrique forte, unie et prospère. «De même, il s’inscrit dans la continuité d’une Vision Royale éclairée, convaincue que le destin du Royaume est étroitement lié à celui de l’Afrique, et que la coopération Sud-Sud constitue la voie la plus adéquate pour concrétiser nos ambitions communes de développement», a-t-il insisté.
Initiative phare de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, la ZLECAF vise à créer un marché continental unique pour les biens et les services, tout en mettant en place des cadres de soutien à l’investissement, à la propriété intellectuelle et à la concurrence. En réduisant les barrières commerciales et en harmonisant les politiques économiques, elle a pour ambition de faciliter les échanges et les investissements transfrontaliers, et de positionner l’Afrique comme un bloc économique unifié sur la scène commerciale mondiale.
