De plus en plus de recruteurs n’hésitent pas à taper le nom d’un candidat sur Google pour en savoir plus sur lui. Ce qu’ils trouveront sur ce moteur de recherche va certainement les influencer au moment de procéder au choix des candidats.
«La e-réputation est la perception que l’autre se fait de vous à travers votre présence sur les réseaux sociaux, ce que vous partagez, ce que vous commentez, etc.», explique Nabila Benohoud, professeure de Communication & Développement personnel à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales (FSJES) Agdal-Rabat et coach certifiée en PNL, en Efficacité professionnelle et communicationnelle. Et cette tendance ne fait que se confirmer avec l’explosion des méthodes de sourcing en ligne. Il est loin le temps où les RH faisaient uniquement confiance aux CV et autres lettres de motivation pour mieux connaître les candidats. «Le recruteur a désormais pris l’habitude de googler le nom du candidat potentiel et de scruter toutes les informations qu’il trouvera sur le web pour tenter de cerner encore mieux la personnalité de ce dernier», souligne la coach.
Espaces à la base de libre expression, les réseaux sociaux, selon leur nature - professionnels, de divertissement, dédiés aux jeunes et aux adolescents - en disent long sur la personne. Ils peuvent même devenir nuisibles à l’employabilité d’un jeune exprimant des avis controversés, à tendances extrémistes, religieuses, politiques ou autres. Il faut surtout rester vigilant quand il s’agit de réseaux dédiés aux relations professionnelles. Beaucoup confondent les réseaux et publient des contenus inadéquats sur les réseaux professionnels ou encore exagèrent le partage de leurs candidatures spontanées. Dans les deux cas, cela ne sert pas leur image surtout aux yeux des recruteurs.
Une mauvaise e-réputation peut même constituer un frein à l’emploi surtout dans un contexte ou le processus de recrutement devient virtuel de bout en bout. Dans ces cas, la maîtrise et la bonne gestion de notre «empreinte virtuelle» et notre image sur les réseaux sociaux sont devenues nécessaires, voire obligatoires.
«La e-réputation est la perception que l’autre se fait de vous à travers votre présence sur les réseaux sociaux, ce que vous partagez, ce que vous commentez, etc.», explique Nabila Benohoud, professeure de Communication & Développement personnel à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales (FSJES) Agdal-Rabat et coach certifiée en PNL, en Efficacité professionnelle et communicationnelle. Et cette tendance ne fait que se confirmer avec l’explosion des méthodes de sourcing en ligne. Il est loin le temps où les RH faisaient uniquement confiance aux CV et autres lettres de motivation pour mieux connaître les candidats. «Le recruteur a désormais pris l’habitude de googler le nom du candidat potentiel et de scruter toutes les informations qu’il trouvera sur le web pour tenter de cerner encore mieux la personnalité de ce dernier», souligne la coach.
Espaces à la base de libre expression, les réseaux sociaux, selon leur nature - professionnels, de divertissement, dédiés aux jeunes et aux adolescents - en disent long sur la personne. Ils peuvent même devenir nuisibles à l’employabilité d’un jeune exprimant des avis controversés, à tendances extrémistes, religieuses, politiques ou autres. Il faut surtout rester vigilant quand il s’agit de réseaux dédiés aux relations professionnelles. Beaucoup confondent les réseaux et publient des contenus inadéquats sur les réseaux professionnels ou encore exagèrent le partage de leurs candidatures spontanées. Dans les deux cas, cela ne sert pas leur image surtout aux yeux des recruteurs.
Une mauvaise e-réputation peut même constituer un frein à l’emploi surtout dans un contexte ou le processus de recrutement devient virtuel de bout en bout. Dans ces cas, la maîtrise et la bonne gestion de notre «empreinte virtuelle» et notre image sur les réseaux sociaux sont devenues nécessaires, voire obligatoires.