Dans un monde professionnel en perpétuelle évolution, où le stress, la complexité des rapports humains et l’exigence de collaboration sont devenus des réalités quotidiennes, l’intelligence émotionnelle s’impose comme une compétence clé. Bien plus qu’un simple atout, elle constitue un véritable socle relationnel.
«Ce type d’intelligence permet, en effet, de comprendre et de maîtriser ses émotions, de gérer les conflits ou, tout simplement, de communiquer avec respect et clarté, afin de construire des relations équilibrées, même dans des environnements marqués par la tension ou la pression», explique Nabila Benohoud, professeure en communication et développement personnel à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’Agdal, lors de son intervention dans l’émission «Kifach Nja7 Fkhdemti ?»
Cette approche s’avère d’autant plus pertinente que les seules compétences techniques ne suffisent plus à garantir la performance d’un salarié ou la cohésion d’une équipe. À mesure que les exigences professionnelles évoluent, les qualités humaines prennent une place centrale dans les dynamiques de travail.
C’est dans cette perspective que l’intelligence émotionnelle est aujourd’hui considérée, comme le souligne Nabila Benohoud, comme un levier transversal de performance, d’adaptabilité et de bien-être, au même titre que la maîtrise des savoir-faire techniques. Elle permet non seulement d’améliorer la qualité des interactions, mais aussi de renforcer la résilience et l’engagement au sein des équipes.
«Ce type d’intelligence permet, en effet, de comprendre et de maîtriser ses émotions, de gérer les conflits ou, tout simplement, de communiquer avec respect et clarté, afin de construire des relations équilibrées, même dans des environnements marqués par la tension ou la pression», explique Nabila Benohoud, professeure en communication et développement personnel à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’Agdal, lors de son intervention dans l’émission «Kifach Nja7 Fkhdemti ?»
Cette approche s’avère d’autant plus pertinente que les seules compétences techniques ne suffisent plus à garantir la performance d’un salarié ou la cohésion d’une équipe. À mesure que les exigences professionnelles évoluent, les qualités humaines prennent une place centrale dans les dynamiques de travail.
C’est dans cette perspective que l’intelligence émotionnelle est aujourd’hui considérée, comme le souligne Nabila Benohoud, comme un levier transversal de performance, d’adaptabilité et de bien-être, au même titre que la maîtrise des savoir-faire techniques. Elle permet non seulement d’améliorer la qualité des interactions, mais aussi de renforcer la résilience et l’engagement au sein des équipes.
Les trois piliers de l’intelligence émotionnelle
Loin d’être un concept vague ou abstrait, l’intelligence émotionnelle repose sur des fondamentaux concrets et observables dans la vie quotidienne au travail. Selon Nabila Benohoud, trois composantes clés permettent de la développer et de l’incarner dans les interactions professionnelles :- La connaissance de soi
- La compréhension de l’autre
- L’intelligence relationnelle
La dernière composante est celle qui traduit les deux premières dans l’action. Il s’agit de savoir interagir, construire des relations de confiance, gérer les désaccords avec diplomatie et, surtout, créer des alliances durables. Il faut savoir que l’intelligence relationnelle n’est pas innée, mais qu’elle peut se développer. C’est en particulier cette intelligence qui permet d’avoir un impact sans imposer, d’influencer sans manipuler et de collaborer sans rivaliser.
Une compétence pour tous, pas seulement pour les managers
Il est tentant de penser que l’intelligence émotionnelle concerne avant tout les dirigeants ou les responsables d’équipe. Pourtant, comme ne cesse de le rappeler Nabila Benohoud, cette compétence concerne l’ensemble des collaborateurs, quel que soit leur poste ou leur ancienneté.
Dans un open space, lors d’une réunion, dans un échange avec un client ou même pendant une pause-café : chaque situation est une opportunité d’exercer son intelligence émotionnelle.
«Savoir reconnaître quand on est irrité, choisir de prendre du recul plutôt que de réagir à chaud, ou encore proposer une idée avec tact... Ce sont là des micro-compétences émotionnelles qui font toute la différence au quotidien», précise Nabila Benohoud.
Par ailleurs, l’invitée de l’émission «Kifach Nja7 Fkhdemti ?» insiste sur le fait que l’intelligence émotionnelle est un travail permanent sur soi.
«Ce n’est ni un don, ni un luxe. C’est une posture à adopter, un muscle à entraîner, et surtout un engagement envers soi-même et envers les autres. En valorisant cette dimension souvent invisible, mais profondément humaine, l’entreprise se dote d’un atout stratégique : des équipes plus soudées, plus conscientes et donc plus performantes», conclut-elle.
Dans un open space, lors d’une réunion, dans un échange avec un client ou même pendant une pause-café : chaque situation est une opportunité d’exercer son intelligence émotionnelle.
«Savoir reconnaître quand on est irrité, choisir de prendre du recul plutôt que de réagir à chaud, ou encore proposer une idée avec tact... Ce sont là des micro-compétences émotionnelles qui font toute la différence au quotidien», précise Nabila Benohoud.
Par ailleurs, l’invitée de l’émission «Kifach Nja7 Fkhdemti ?» insiste sur le fait que l’intelligence émotionnelle est un travail permanent sur soi.
«Ce n’est ni un don, ni un luxe. C’est une posture à adopter, un muscle à entraîner, et surtout un engagement envers soi-même et envers les autres. En valorisant cette dimension souvent invisible, mais profondément humaine, l’entreprise se dote d’un atout stratégique : des équipes plus soudées, plus conscientes et donc plus performantes», conclut-elle.
