Le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a annoncé le renforcement des mesures de contrôle lors du concours d’enseignement de la session de novembre 2025, avec l’introduction d’un dispositif électronique capable de détecter la présence de téléphones portables et d’appareils interdits dans les salles d’examen. Déjà utilisé lors du baccalauréat l’année précédente, ce dispositif vient compléter les procédures habituelles afin de lutter plus efficacement contre la triche et d’assurer le bon déroulement des épreuves.
Dans une note adressée aux académies régionales d’éducation et de formation ainsi qu’aux directions provinciales, le ministère souligne que cette mesure s’inscrit dans une logique de préservation du mérite, de l’équité et de l’égalité des chances. L’interdiction stricte d’introduire des téléphones dans les centres demeure en vigueur, tandis que le système électronique est mobilisé pour appuyer les équipes de surveillance et faciliter la détection rapide de toute tentative de fraude.
Intervenant récemment à la télévision, le ministre Mohamed Saad Berrada a indiqué que plus de 200.000 candidatures avaient été déposées avant la clôture des inscriptions. Il a souligné que cet afflux confirmait l’intérêt soutenu pour la profession enseignante et la forte mobilisation des candidats pour cette session.
Le concours de novembre 2025 prévoit 19.000 postes destinés au cycle de qualification des cadres enseignants. Les dossiers de candidature ont été reçus jusqu’au 13 novembre 2025, et les épreuves écrites se tiendront le 22 novembre, date qui marquera le lancement effectif de la session de recrutement.
Dans une note adressée aux académies régionales d’éducation et de formation ainsi qu’aux directions provinciales, le ministère souligne que cette mesure s’inscrit dans une logique de préservation du mérite, de l’équité et de l’égalité des chances. L’interdiction stricte d’introduire des téléphones dans les centres demeure en vigueur, tandis que le système électronique est mobilisé pour appuyer les équipes de surveillance et faciliter la détection rapide de toute tentative de fraude.
Intervenant récemment à la télévision, le ministre Mohamed Saad Berrada a indiqué que plus de 200.000 candidatures avaient été déposées avant la clôture des inscriptions. Il a souligné que cet afflux confirmait l’intérêt soutenu pour la profession enseignante et la forte mobilisation des candidats pour cette session.
Le concours de novembre 2025 prévoit 19.000 postes destinés au cycle de qualification des cadres enseignants. Les dossiers de candidature ont été reçus jusqu’au 13 novembre 2025, et les épreuves écrites se tiendront le 22 novembre, date qui marquera le lancement effectif de la session de recrutement.
