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Le Maroc affrontera le Portugal pour une confrontation historique en quart de finale de la Coupe du monde, ce samedi 10 décembre à 16 heures. L’occasion pour Gad Elmaleh de livrer ses impressions.
L’acteur âgé de 51 ans n’a jamais caché son amour pour la sélection marocaine et a toujours exprimé son soutien pour les Lions de l’Atlas.
Le comédien franco-marocain a d’ailleurs tranché entre le Maroc et la France, affirmant qu’il soutiendra avant tout son pays de naissance, tout adressant un petit tacle à Jamel Debbouze qui avait refusé de choisir estimant que c'était comme si “son père jouait contre sa mère”.
"Moi je saurais comment faire. Je soutiens le Maroc, mon pays de naissance. Ma mère ne joue pas contre mon père. Je suis pour le Maroc. Je les vois totalement aller en finale", a-t-il confié ce samedi dans la matinale Week-End sur RMC.
L’acteur de Chouchou est convaincu que Maroc va faire tomber le Portugal en marquant un but. "Vous voulez un pronostic pour aujourd’hui ? En général, il n’y a que les gens qui ne connaissent pas le foot qui proposent des pronostics. Je crois que le Maroc va ouvrir le score assez rapidement en première mi-temps, ce sera tendu en seconde période avec beaucoup de cartons. Le Maroc va gagner 1-0. Mais je vous demande de n’en parler à personne… !", a-t-il ajouté sur RMC.
Revenant sur le parcours historique des hommes de Walid Regragui, Gad Elmaleh a confié qu’il avait pleuré après la victoire du Maroc face à l’Espagne, se disant très proche du coach du Mountakhab.
"C’est historique pour le Maroc, c’est émouvant. J’ai pleuré, j’ai envoyé des messages à Bounou (après la victoire en huitièmes contre l’Espagne), c’est un homme exceptionnel. Je ne suis pas un expert du foot, mais ces joueurs jouent avec leur âme. J’aime énormément le sélectionneur, c’est un pote, on échange. Ce n’est pas le moment de l’embêter, mais il sait que je le soutiens. Il a une histoire avec le foot très intéressante, il a entraîné le club de mon enfance à Casablanca dont je suis supporter, le Wydad. Oui, c’est surprenant, mais ce n’est pas le fruit du hasard. Il y a une force et une énergie dans cette équipe. Il y a une forme de connexion, d'empathie, d’émotion, même de la part d'autres pays et même en-dehors du monde arabe”, a-t-il conclu.
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