Selon le ministère, la majorité des sinistres ont été signalés au mois d’août, avec un total de 6.103 foyers recensés, dont 53 grands incendies de plus de 500 hectares.
Les chiffres, établis à partir des données fournies par les communautés autonomes et des estimations du Système européen d’information sur les incendies de forêts (EFFIS), excèdent largement les 253.251 hectares brûlés en 2022, jusque-là considérée comme l’année la plus dramatique.
La superficie forestière nationale affectée représente 0,357% du territoire, uniquement sur la base des données transmises par les communautés autonomes, soit le taux le plus élevé enregistré depuis 2015, après celui de 2022 (0,911%).
Concernant les types de végétation touchés, les incendies ont ravagé 21.508,73 hectares de massifs forestiers, 48.206,79 hectares de maquis et de zones ouvertes, ainsi que 29.653 hectares de pâturages.
Les chiffres, établis à partir des données fournies par les communautés autonomes et des estimations du Système européen d’information sur les incendies de forêts (EFFIS), excèdent largement les 253.251 hectares brûlés en 2022, jusque-là considérée comme l’année la plus dramatique.
La superficie forestière nationale affectée représente 0,357% du territoire, uniquement sur la base des données transmises par les communautés autonomes, soit le taux le plus élevé enregistré depuis 2015, après celui de 2022 (0,911%).
Concernant les types de végétation touchés, les incendies ont ravagé 21.508,73 hectares de massifs forestiers, 48.206,79 hectares de maquis et de zones ouvertes, ainsi que 29.653 hectares de pâturages.
