Le chef de l’État français acte l’interdiction du téléphone portable au lycée dès l’année scolaire prochaine et présente cette mesure comme la continuité de l’encadrement déjà appliqué au collège. Depuis la loi de 2018, les élèves du primaire et du collège ne peuvent plus utiliser leur téléphone dans l’enceinte des établissements, une règle renforcée en 2025 avec le dispositif « Portable en pause », qui impose aux collégiens de garder leur appareil éteint et rangé dans des casiers, des pochettes scellées ou d’autres espaces dédiés.
Pour Emmanuel Macron, les premiers effets de cette politique justifient son extension au lycée. Les autorités affirment avoir constaté une amélioration du climat scolaire et une diminution des incidents liés aux réseaux sociaux, ainsi qu’une meilleure attention en classe. Aujourd’hui, les lycéens restent autorisés à utiliser leur téléphone dans certaines situations prévues par le règlement intérieur, une exception que le président souhaite désormais supprimer.
Lors d’une rencontre publique organisée dans la ville de Mirecourt, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité de préserver le lycée comme un espace d’apprentissage et de dialogue direct entre les élèves et leurs enseignants. Il estime que la présence constante des téléphones en cours et dans les couloirs nuit aux études et expose les adolescents à des usages problématiques, notamment le cyberharcèlement et la consultation permanente des réseaux sociaux.
Sur le plan juridique, l’interdiction devra s’intégrer dans les règles existantes, puisque le code de l’éducation autorise déjà les établissements à limiter l’usage du téléphone à condition d’adapter leur règlement intérieur. Le ministère de l’Éducation doit désormais préciser les modalités de mise en œuvre avant la rentrée 2026. Les lycées disposeront d’une certaine flexibilité pour organiser la mise à l’écart des appareils, qu’il s’agisse de téléphones éteints gardés dans le sac, de casiers individuels ou de pochettes sécurisées. Les dérogations devraient rester limitées aux situations d’urgence et aux usages pédagogiques encadrés.
L’annonce du président s’inscrit enfin dans une réflexion plus large sur le numérique chez les jeunes. Emmanuel Macron réaffirme sa volonté de fixer la majorité numérique à 15 ans pour l’accès aux réseaux sociaux, en s’appuyant sur les recommandations d’une commission dédiée aux usages numériques et à leurs effets sur les adolescents. Il alerte sur l’impact des plateformes, notamment en matière de harcèlement en ligne, d’exposition à des contenus violents et de troubles du comportement.
Le chef de l’État souhaite également la création d’une procédure permettant de faire retirer rapidement des réseaux sociaux les fausses informations ou les contenus portant atteinte à la dignité des personnes. Le gouvernement doit lui soumettre des propositions d’ici la fin de l’année afin d’intégrer ce nouveau mécanisme dans le droit français.
Pour Emmanuel Macron, les premiers effets de cette politique justifient son extension au lycée. Les autorités affirment avoir constaté une amélioration du climat scolaire et une diminution des incidents liés aux réseaux sociaux, ainsi qu’une meilleure attention en classe. Aujourd’hui, les lycéens restent autorisés à utiliser leur téléphone dans certaines situations prévues par le règlement intérieur, une exception que le président souhaite désormais supprimer.
Lors d’une rencontre publique organisée dans la ville de Mirecourt, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité de préserver le lycée comme un espace d’apprentissage et de dialogue direct entre les élèves et leurs enseignants. Il estime que la présence constante des téléphones en cours et dans les couloirs nuit aux études et expose les adolescents à des usages problématiques, notamment le cyberharcèlement et la consultation permanente des réseaux sociaux.
Sur le plan juridique, l’interdiction devra s’intégrer dans les règles existantes, puisque le code de l’éducation autorise déjà les établissements à limiter l’usage du téléphone à condition d’adapter leur règlement intérieur. Le ministère de l’Éducation doit désormais préciser les modalités de mise en œuvre avant la rentrée 2026. Les lycées disposeront d’une certaine flexibilité pour organiser la mise à l’écart des appareils, qu’il s’agisse de téléphones éteints gardés dans le sac, de casiers individuels ou de pochettes sécurisées. Les dérogations devraient rester limitées aux situations d’urgence et aux usages pédagogiques encadrés.
L’annonce du président s’inscrit enfin dans une réflexion plus large sur le numérique chez les jeunes. Emmanuel Macron réaffirme sa volonté de fixer la majorité numérique à 15 ans pour l’accès aux réseaux sociaux, en s’appuyant sur les recommandations d’une commission dédiée aux usages numériques et à leurs effets sur les adolescents. Il alerte sur l’impact des plateformes, notamment en matière de harcèlement en ligne, d’exposition à des contenus violents et de troubles du comportement.
Le chef de l’État souhaite également la création d’une procédure permettant de faire retirer rapidement des réseaux sociaux les fausses informations ou les contenus portant atteinte à la dignité des personnes. Le gouvernement doit lui soumettre des propositions d’ici la fin de l’année afin d’intégrer ce nouveau mécanisme dans le droit français.
