Le périple commence dans la nuit du 10 novembre 2025 lorsque le robot A2 quitte la ville chinoise de Suzhou pour s’engager sur l’un des trajets urbains les plus symboliques d’Asie de l’Est. Pendant près de 72 heures, il marche sans relâche, traverse des ponts, franchit des trottoirs irréguliers, contourne des passants et affronte les flux incessants du trafic. Le 13 novembre à l’aube, il atteint enfin le Bund de Shanghai, l’esplanade emblématique où la ville se reflète dans la rivière Huangpu. Guinness valide alors une distance record de 106,286 kilomètres, soit la plus longue marche continue jamais accomplie par un robot humanoïde.
Cet exploit est le résultat d’une préparation qui remonte au printemps, période durant laquelle les ingénieurs d’Agibot ont soumis A2 à des centaines d’heures de tests destinés à renforcer sa stabilité et à éviter toute chute en environnement réel. Entre avril et mai 2025, ils ont multiplié les essais pour optimiser son équilibre et sa résistance, avant d’atteindre une première démonstration majeure le 17 août 2025. Ce jour-là, le robot a réussi une marche totalement autonome de 24 heures sous près de quarante degrés, un test retransmis en direct et présenté comme une véritable répétition générale avant le défi de novembre.
La réussite du parcours entre Suzhou et Shanghai repose par ailleurs sur une combinaison de technologies de pointe. Le robot est équipé de deux modules GPS, d’un LiDAR de haute précision et de capteurs infrarouges capables d’interpréter la profondeur, la distance et le mouvement. Cette vision artificielle lui permet de lire son environnement en continu, de jour comme de nuit, et de s’adapter instantanément aux obstacles. À cette perception raffinée s’ajoute un système de batteries à échange rapide qui garantit une alimentation ininterrompue sans jamais avoir à éteindre la machine. Grâce à cette architecture, A2 a pu traverser des chaussées asphaltées, des passerelles métalliques, des chemins pavés et des zones encombrées tout en respectant les règles de circulation.
L’exploit d’A2 s’inscrit enfin dans une dynamique d’innovation qui anime la robotique chinoise. En avril 2025, le robot Tien Kung Ultra, développé à Pékin, avait déjà attiré l’attention en complétant un semi-marathon de 21 kilomètres en deux heures quarante. Avec la marche de 106 kilomètres enregistrée en novembre, la Chine démontre désormais sa capacité non seulement à faire courir ses humanoïdes mais aussi à leur confier des missions d’endurance en milieu urbain réel.
Cet exploit est le résultat d’une préparation qui remonte au printemps, période durant laquelle les ingénieurs d’Agibot ont soumis A2 à des centaines d’heures de tests destinés à renforcer sa stabilité et à éviter toute chute en environnement réel. Entre avril et mai 2025, ils ont multiplié les essais pour optimiser son équilibre et sa résistance, avant d’atteindre une première démonstration majeure le 17 août 2025. Ce jour-là, le robot a réussi une marche totalement autonome de 24 heures sous près de quarante degrés, un test retransmis en direct et présenté comme une véritable répétition générale avant le défi de novembre.
La réussite du parcours entre Suzhou et Shanghai repose par ailleurs sur une combinaison de technologies de pointe. Le robot est équipé de deux modules GPS, d’un LiDAR de haute précision et de capteurs infrarouges capables d’interpréter la profondeur, la distance et le mouvement. Cette vision artificielle lui permet de lire son environnement en continu, de jour comme de nuit, et de s’adapter instantanément aux obstacles. À cette perception raffinée s’ajoute un système de batteries à échange rapide qui garantit une alimentation ininterrompue sans jamais avoir à éteindre la machine. Grâce à cette architecture, A2 a pu traverser des chaussées asphaltées, des passerelles métalliques, des chemins pavés et des zones encombrées tout en respectant les règles de circulation.
L’exploit d’A2 s’inscrit enfin dans une dynamique d’innovation qui anime la robotique chinoise. En avril 2025, le robot Tien Kung Ultra, développé à Pékin, avait déjà attiré l’attention en complétant un semi-marathon de 21 kilomètres en deux heures quarante. Avec la marche de 106 kilomètres enregistrée en novembre, la Chine démontre désormais sa capacité non seulement à faire courir ses humanoïdes mais aussi à leur confier des missions d’endurance en milieu urbain réel.
