Le ministre de la Santé et de la protection sociale a pris part aux travaux de la troisième édition de la Conférence internationale sur la santé publique en Afrique (CPHIA). Organisé du 27 au 30 novembre 2023 à Lusaka en Zambie, cet événement a été initié par le Centre africain pour la surveillance et la prévention des maladies (CDC Afrique) avec l’appui de l’Union africaine sous le thème : «Franchir les barrières: repositionner l’Afrique dans l’Architecture mondiale de la santé». L’objectif de cette rencontre est de permettre aux dirigeants et décideurs africains d’échanger sur les moyens à mettre en place en vue de disposer de systèmes de santé plus résilients.
Dans son intervention, Khalid Aït Taleb a souligné que le Maroc s’est fortement engagé dans une stratégie nationale axée sur la réalisation d’une véritable souveraineté sanitaire en renforçant la production locale de vaccins, de médicaments et de produits de santé. «Ceci a été réalisé conformément aux Hautes Directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI», a-t-il souligné avant de préciser que des projets pionniers ont été mis en place et à leur tête celui baptisé «Marbio». Il s’agit d’un centre d’innovation dans les industries biologiques et les vaccins. «Ce projet est considéré aujourd’hui comme un symbole de la détermination de Sa Majesté le Roi à défendre la souveraineté de Son pays ainsi que celle de l’Afrique dans le domaine de la santé», précise-t-il.
Dans ce sens, le ministre a tenu à noter qu’aujourd’hui, 70% des médicaments sont produits localement, ce qui constitue un exploit. Le ministre a aussi souligné la nécessité pour les États de travailler main dans la main pour promouvoir la santé publique en Afrique. Ceci permettrait, ajoute le ministre marocain, de renforcer la résilience de systèmes de santé et de favoriser l’accès aux soins de santé adaptés aux femmes et aux filles. La convergence des efforts, d’après M. Aït Taleb, permettrait d’assurer la sécurité sanitaire face aux menaces telles que les catastrophes naturelles et les maladies infectieuses.
À noter que la troisième Conférence internationale sur la santé publique en Afrique, qui réunit les leaders de la santé publique du continent, constitue une plateforme annuelle pour les responsables et les professionnels de la santé leur permettant de mener des réflexions sur la situation de la santé publique en Afrique. Des spécialistes marocains ont pris part à ce grand événement en vue de contribuer aux échanges. La couverture médiatique de ce grand événement a été accordée en exclusivité au Groupe «Le Matin».
Dans son intervention, Khalid Aït Taleb a souligné que le Maroc s’est fortement engagé dans une stratégie nationale axée sur la réalisation d’une véritable souveraineté sanitaire en renforçant la production locale de vaccins, de médicaments et de produits de santé. «Ceci a été réalisé conformément aux Hautes Directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI», a-t-il souligné avant de préciser que des projets pionniers ont été mis en place et à leur tête celui baptisé «Marbio». Il s’agit d’un centre d’innovation dans les industries biologiques et les vaccins. «Ce projet est considéré aujourd’hui comme un symbole de la détermination de Sa Majesté le Roi à défendre la souveraineté de Son pays ainsi que celle de l’Afrique dans le domaine de la santé», précise-t-il.
Dans ce sens, le ministre a tenu à noter qu’aujourd’hui, 70% des médicaments sont produits localement, ce qui constitue un exploit. Le ministre a aussi souligné la nécessité pour les États de travailler main dans la main pour promouvoir la santé publique en Afrique. Ceci permettrait, ajoute le ministre marocain, de renforcer la résilience de systèmes de santé et de favoriser l’accès aux soins de santé adaptés aux femmes et aux filles. La convergence des efforts, d’après M. Aït Taleb, permettrait d’assurer la sécurité sanitaire face aux menaces telles que les catastrophes naturelles et les maladies infectieuses.
La recherche-développement, plus qu’une nécessité pour l’Afrique
M. Aït Taleb a en outre insisté sur l’importance d’investir dans la recherche-développement pour anticiper les risques futurs. En effet, explique-t-il, le monde est en perpétuel changement et c’est grâce à la recherche-développement que l’on pourrait avancer ensemble et, par conséquent, repositionner l’Afrique dans l’architecture de la santé mondiale. le ministre estime que des efforts doivent également être fournis pour l’intégration de la santé dans l’innovation numérique. C’est désormais une nécessité, insiste-t-il, pour améliorer l’efficacité et l’efficience des systèmes de soins de santé en Afrique.À noter que la troisième Conférence internationale sur la santé publique en Afrique, qui réunit les leaders de la santé publique du continent, constitue une plateforme annuelle pour les responsables et les professionnels de la santé leur permettant de mener des réflexions sur la situation de la santé publique en Afrique. Des spécialistes marocains ont pris part à ce grand événement en vue de contribuer aux échanges. La couverture médiatique de ce grand événement a été accordée en exclusivité au Groupe «Le Matin».